Après la démission de Boris Johnson en pleine tourmente après les parties en plein Covid et les conflits d'intérêts, le premier ministre a dû démissionner.
Avec une avance de plus de 20.000 vote (à 81326 voix pour à 57,4%), les Tories, le parti conservateur britannique, ont désigné Liz Truss comme leader puis candidate au poste de Premier Ministre au 10 Downing Street.
Dans ses premières déclarations, elle a indiqué vouloir rapidement régler les nombreux défis après le Brexit : l'inflation (> 10%), l'énergie (les factures ont explosé) et la croissance économique en pleine guerre en Ukraine. Guerre dans laquelle BoJo, pour sauver sa peau, n'a pas lésiné sur un soutien militaire massif et autres claquettes dont seul lui a le secret.
Rishi Sunak, d'origine indienne, ancien ministre de l'échiquier (Ministre des finances) qui a lâché BoJo en raz campagne était l'opposant à l'investiture. Empêtré dans un scandale de fraude fiscale et vilipendé pour sa fortune colossale, il ne pouvait que perdre.
Pas ingrate, Liz Truss, grande blonde dans une tenue des plus épurées avec large décolleté (la gynocratie est en marche), a remercié "son ami" BoJo et en a profité pour saluer son adversaire malheureux perdant après une "campagne difficile". C'est de bonne guerre. Pour ceux qui croirait à un revirement, ils peuvent espérer. Comme elle s'y est engagée, elle "a fait campagne en tant que conservatrice, elle "gouvernera en tant que conservatrice". Elle finira en indiquant "We will deliver, we will deliver, we will deliver". Bof. N'est pas Churchill qui veut.
Attendons de voir. La France va pouvoir tourner la page Johnson elle qui qualifiait l'encore premier ministre de "clown".
++
Avec une avance de plus de 20.000 vote (à 81326 voix pour à 57,4%), les Tories, le parti conservateur britannique, ont désigné Liz Truss comme leader puis candidate au poste de Premier Ministre au 10 Downing Street.
Dans ses premières déclarations, elle a indiqué vouloir rapidement régler les nombreux défis après le Brexit : l'inflation (> 10%), l'énergie (les factures ont explosé) et la croissance économique en pleine guerre en Ukraine. Guerre dans laquelle BoJo, pour sauver sa peau, n'a pas lésiné sur un soutien militaire massif et autres claquettes dont seul lui a le secret.
Rishi Sunak, d'origine indienne, ancien ministre de l'échiquier (Ministre des finances) qui a lâché BoJo en raz campagne était l'opposant à l'investiture. Empêtré dans un scandale de fraude fiscale et vilipendé pour sa fortune colossale, il ne pouvait que perdre.
Pas ingrate, Liz Truss, grande blonde dans une tenue des plus épurées avec large décolleté (la gynocratie est en marche), a remercié "son ami" BoJo et en a profité pour saluer son adversaire malheureux perdant après une "campagne difficile". C'est de bonne guerre. Pour ceux qui croirait à un revirement, ils peuvent espérer. Comme elle s'y est engagée, elle "a fait campagne en tant que conservatrice, elle "gouvernera en tant que conservatrice". Elle finira en indiquant "We will deliver, we will deliver, we will deliver". Bof. N'est pas Churchill qui veut.
Attendons de voir. La France va pouvoir tourner la page Johnson elle qui qualifiait l'encore premier ministre de "clown".
++
Pièces jointes
Dernière édition: