Logement et violences conjugales : un guide pour informer

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la rose et le réséda
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La Fédération nationale solidarité femmes publie le guide juridique «Logement et violences conjugales» afin de mieux accompagner les femmes victimes de violences, depuis leur départ du domicile jusqu’à l’accès à un nouveau «chez soi».
Le 8 mars 2017, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, une circulaire a été signée pour accorder aux femmes victimes de violences un accès prioritaire à un logement social, et leur éviter si possible le recours à un hébergement temporaire.
Dans la droite ligne de cette circulaire et comme annoncé au mois de mars, la Fédération nationale solidarité femmes publie aujourd’hui le guide juridique «Logement et violences conjugales».

Pléthore de fiches et six thématiques pour répondre à vos questions
Comment éloigner du domicile un conjoint violent ?
A quelles conditions le bail peut-il être transféré à la personne victime des violences ?
Au départ du domicile, quelles solutions existent pour le relogement, comment faire une demande de logement social et à quelles aides financières une personne victime de violences conjugales peut-elle prétendre ?
Autant de questions qui se posent dans le parcours des femmes victimes de violences et auxquelles veut répondre le guide «Logement et violences conjugales».

Simple et pratique, ce guide a été écrit à l’attention des associations de lutte contre les violences conjugales, des femmes qu’elles accompagnent et des acteurs et actrices du logement social.

En 34 fiches organisées autour de six thématiques, il présente l’essentiel du droit et la façon de le faire appliquer durant le parcours administratif des femmes victimes de violences.
Pour le consulter : http://www.logement.gouv.fr/logemen...uide-juridique-pour-mieux-informer-les-femmes.

mam
 
L’article a dit:
Depuis plusieurs années, le nombre de victimes de violences conjugales et le nombre de décès dans le couple chez les femmes victimes est en nette régression. On ne pourra que s'en réjouir, car quelque soit le nombre de victimes ce sont toujours des victimes de trop.

Mais le nombre d'hommes victimes ne cessent d'augmenter.
Et ça ne risque pas de changer, parce que la dernière tendance chez les féministes, c’est que le meurtre du conjoint de la part d’une femme, ne devrait pas être puni.
 
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