salut!!!
<<comme dit le dicton "le mensonge prend l'ascenseur et la vérité,l'escalier">>
voilà ce que j'ai toujours dénoncé sur le hamas mais aussi sur d'autre pays (que je savais pas qui mais aujourd'hui on sait que c'est l'iran) qui profite de la situation des palestiniens pour envoyé leur terroristes provoqué les sionnistes alors que eux sont bien habrités avec leur familles dans des hotels de luxe aux émiratsL’exemple vient d’en haut. À Gaza, le Hamas continue d'appeler la population palestinienne à tenir bon dans l’adversité et à se préparer à un inévitable prochain round de la « guerre sainte contre l’ennemi sioniste ». Ismaïl Haniyeh, ancien Premier ministre du Hamas, est pourtant parti en septembre du camp de réfugiés d'Al-Shati, dont il est originaire, pour les cieux plus cléments de Doha, la capitale de Qatar. Par la même occasion, il a exfiltré son épouse et ses enfants de Gaza soumis au blocus israélien.Parmi les autres membres de la nomenklatura islamiste, Khalil al-Hayya, membre du bureau politique et second de Yahya Sinwar, homme fort et l'un des fondateurs de la branche militaire de l’organisation, a lui aussi décidé de partir avec armes et bagages en compagnie de sa famille entre des palaces de Turquie et de Syrie. Sa mission ? « Assurer la liaison avec les pays arabes et musulmans ». Salah al-Bardawil, également membre du bureau politique, s’est octroyé au moins une année sabbatique dans le Golfe. De même, deux figures très connues sur le front médiatique en tant que porte-parole de l’organisation islamique, Sami Abou Zuhi et Taher Al-Nounou, ainsi que Fathi Hamad, ancien ministre de l’Intérieur considéré comme un des leaders de la faction la plus extrémiste de l’organisation, ont choisi de faire un « break » en prenant le large sans fixer la date d’un éventuel retour.Détresse des PalestiniensLes départs concernent aussi la direction du Jihad islamique, un mouvement encore plus radical, concurrent du Hamas et très proche de l’Iran. Deux des cadres de cette organisation ont fait leurs valises pour aller mener la « dolce vita » à Istanbul, Beyrouth ou Bagdad. Sans comparaison avec les conditions de vie de plus en plus dures des deux millions d’habitants de la bande de Gaza, les grands oubliés de l’histoire. La dernière épreuve de force entre le Hamas, le Jihad islamique et Israël en mai n’a fait qu’empirer les choses. Les chiffres illustrent la détresse extrême de la population.À LIRE AUSSI : Corruption et vie de pacha : la dolce vita du Hamas révéléeSelon un rapport de l’ONU, pas moins de 56 000 maisons ont été endommagées et 2 100 totalement détruites durant les onze jours de combats après des raids aériens et de tirs de missiles israéliens, tandis que 250 Palestiniens, dont 66 enfants, ont été tués. De l’autre côté, 13 Israéliens ont trouvé la mort, dont deux enfants. La direction du Hamas avait déclenché les affrontements en tirant des roquettes vers Jérusalem afin de dénoncer les projets d’expulsion de Palestiniens du quartier de Sheikh Jarrah, à Jérusalem-Est. En choisissant cette cible, le Hamas a provoqué des représailles israéliennes, sans doute sans en mesurer à l’avance l’ampleur. Les habitations personnelles de la plupart des dirigeants du Hamas ont été rasées.Les combats achevés, l’heure est désormais à ce qui est censé être la reconstruction. Une mission qui relève de la gageure. Selon les experts internationaux, il faudrait mobiliser au moins un demi-milliard de dollars pour réparer les dégâts. Or l’aide internationale, notamment de l’Égypte et du Qatar, n’est débloquée qu’au compte-goutte. Comme le reconnaît Naji Sarhan, un responsable du ministère du Logement du Hamas, « les donateurs commencent à être sérieusement fatigués. À chaque fois, c’est la même histoire : lors des combats des maisons sont détruites puis reconstruites, avant d’être nouveau détruites lors de la guerre suivante ». Un cercle vicieux et surtout une réalité sans espoir que certains caciques du Hamas préfèrent décidément laisser derrière eux.