L'Onhym a conclu un accord avec la société brésilienne Petrobras

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’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM) a conclu un accord avec la société brésilienne Petrobras portant sur une étude relative au schiste bitumineux de la région de Timahdit, à environ 35 km d’Azrou.
[Energie : Vers une exploitation du schiste bitumineux de Timahdit?]
Cette étude, qui s’étalera sur un maximum de 24 mois, touchera aux aspects environnemental, économique, technique, commercial et légal de la possible exploitation du schiste bitumineux dont regorge la région.
L’équipe technique de Petrobras a travaillé sur les termes de ce partenariat avec les représentants de l’ONHYM depuis 2006. Le but serait d’évaluer le déploiement d’une unité de production au Maroc pour exploiter le schiste bitumineux.

Le Maroc dispose de 95 milliards de tonnes de pétrole non conventionnel sous cette forme, ce qui le place en sixième position mondiale. Le schiste bitumineux est en effet une roche sédimentaire à forte teneur en matière organique, mais qui n’a pas évolué en pétrole.
La transformation se fait alors par pyrolyse, à 500°C. Cependant, le rendement est mauvais : le bilan énergétique est très faible, voire négatif, dans le sens où l’énergie utilisée pour obtenir le pétrole est souvent supérieure à celle obtenue en brûlant le combustible. De plus, d’énormes quantités de vapeur d’eau sont consommées : il faut un à quatre barils d’eau pour un baril de pétrole.
En revanche, la combustion directe du schiste bitumineux pour la production d’électricité peut être intéressante, mais son impact sur l’environnement reste très mauvais, d’autant plus que certaines questions comme le stockage des cendres restent en suspens.

Cependant les stocks de schiste bitumineux au Maroc auront leur valeur dans les prochaines décennies, leur exploitation serait même incontournable avec la pénurie de pétrole liquide, malgré tous les déséquilibres environnementaux que cette exploitation engendre.

Salma Daki
 
vu ce que dit l'article sur les degats environementaux de l'exploitation des schistes bitumeux ce serait vraiment *** de la part du Maroc de se lancer la dedans. Autant chercher ailleurs du vrai petrole ou continuer a developper une expertise dans le domaine des energies renouvelables.
 
Le problème qui se pose est le coût de la prospection. Normalement pour pouvoir trouver du pétrole, il faut creuser un puits chaque 500 mètres, or en général les puits de prospection creusés au Maroc sont environ d'une distance variant de 2,5 Km à 15 Km l'un de l'autre. C'est extrêmement cher, et le Maroc n'a pas encore les moyens de mettre un bon paquet...
 
Repsol prêt pour la chasse en Afrique pré-sel

explorateur espagnol Repsol veut exporter son pétrole brésilien pré-sel réserves modèle pour le Gabon, le Congo, la République du Congo et l'Angola.

Nouvelles fils 09 Septembre 2010 09:53 GMT

Plusieurs des plus grandes mondiales de pétrole et de gaz découvertes ces dernières années ont été réalisés dans le domaine pré-sel au large des côtes du Brésil, où Repsol possède la superficie importante.

«Nous avons prouvé notre modèle de pré-sel au Brésil, et a obtenu d'excellents résultats. C'est donc un concept mérite d'être explorée davantage", a déclaré un porte-parole de Repsol à Dow Jones.

Repsol, dans un exposé fait au Pérou, affirme qu'il a déjà plusieurs blocs dans les domaines intéressant l'Afrique en Sierra Leone, le Libéria et la Guinée équatoriale, et est à la recherche d'opportunités au Gabon et en Angola.

La poussée vers l'Ouest l'Afrique fait partie d'une stratégie de «développement nouveaux secteurs de croissance via l'exploration» pour assurer «le remplacement de superficie pour l'avenir", Dow Jones a cité comme disant Repsol.

D'autres compagnies pétrolières, dont Chevron et indépendant américain Cobalt International ont également manifesté leur intérêt pour le potentiel de l'Afrique pré-sel, en particulier en Angola.

Société d'Etat angolaise Sonangol-pétrole l'année dernière à Dow Jones Newswires qu'il envisage de forer un ou deux puits de pré-sel d'ici à 2012, et s'attend à ce que il ya des réserves énormes de la région angolaise de pré-sel.

Repsol a également mentionné l'Indonésie et la Russie comme des domaines d'intérêt. Repsol a déjà des participations dans trois blocs de l'Indonésie, et des participations dans deux autres sont en attente d'approbation du gouvernement. En Russie, la compagnie a déclaré qu'elle est «l'identification d'opportunités."

Actuellement, les réserves de Repsol, sans que ceux de l'unité argentine YPF est toujours en déclin, mais la société s'attend à ce que cette tendance se renverser une fois une partie de ses dernières découvertes brésilienne parvenir à un stade plus avancé du développement du projet.

Repsol a dit dans sa présentation de ses réserves prouvées s'élevaient à 1,042 millions de barils équivalent pétrole à la fin du deuxième trimestre. Cela représente une baisse de 1,6 millions de bep à la fin de l'année dernière.

En outre, la société a environ 1,1 millions de bep de réserves de son unité de YPF.
 
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