LOUADDEN : de l'eau, des vélos et un minibus avec "LES DEUX RIVES"

[mam80]

bonjour
en tant que habitant d'Amiens "Amiénoise", je suis heureuse de vous donner cette information :

COOPERATION

LE PARTENARIAT COULE de SOURCE

Un projet d'accès à l'eau potable dans un village du nord-est du pays ravive les liens entre la métropole Amiénoise et le Maroc

Un ruban de bitume qui longe la mer, puis une vingtaine de kilomètres de pistes à travers des terres arides. Les collines prennent de la hauteur et se teintent d'ocre. Au bout du voyage, le village de LOUADDEN, dans la région de Nador.
C'est depuis ce nord est marocain que, dans les années 1970, de nombreuses familles ont rejoint Amiens. Il existe un lien très fort entre cette partie du Maroc et Amiens.
Nous nous sommes donc engagés dans cette coopération proposée par l'association «*Les Deux Rives*» : coopération qui porte d'abord sur l'EAU POTABLE;
Malgré 2 000 habitants, LAOUDDEN dispose d'un point de ravitaillement. Autant dire une goutte d'eau. «*Le projet consiste à creuser trois puits, puis à installer une grande fontaine pour que tout le village ait accès à l'eau potable facilement*» décrit Salah El Manouzi., des deux rives. LAOUDDEN n'attend plus que la visite des ingénieurs d'Amiens.
Effets en cascades attendus :
«*Les filles iront davantage à l'école, anticipe Salah El Manouzi. En effet, c'est souvent elles que les parents envoient chercher l'eau, parfois à des kilomètres de là, au détriment des cours*»
Peut-être, d'ailleurs, se rendront-elles à l'école au guidon d'un vélo vert.
C'est, en effet, l'autre volet du partenariat : envoyer des minibus et les fameuses bicyclettes amiénoises pour améliorer le transport scolaire.
Quant aux jeunes Amiénois, ils pourront aussi apporter leur pierre à la coopération, via des chantiers de rénovation que l'association envisage de mettre en place.
Les petits ruisseaux ne font-ils pas les grandes rivières ?
AB

mam

 

[mam80]

UN ARTICLE :

Les «Villes sans taudis» dans la .. Est réalisations concrètes et les obstacles doivent être surmontés

Profité à environ 4500 familles de la «Villes sans bidonvilles» à l'est, tandis que les efforts se poursuivent pour trouver des solutions aux obstacles qui empêchent l'achèvement du reste du processus mis en place dans le cadre de ce programme, le montant de l'investissement total à 320 millions de dirhams, avec le soutien de l'État de 220 millions de dirhams.

Considéré comme l'Inspection régionale pour le logement qui a été «enregistré des résultats substantiels au niveau de l'Orient, tant en ce qui concerne la démolition Albrarik, quartiers résidentiels, des plaquettes, ou au niveau de la suppression et la réinstallation des familles ciblées", en soulignant que, indépendamment du fait que ces opérations de l'impact positif tant sur le physique et l'environnement, que Le programme permet la possibilité d'améliorer les conditions de vie de la population concernée qui vivent dans un «mode de vie est faible."

Sur les 5680 familles ont été dénombrées dans différents endroits de plaquettes dans 12 villes et un centre sur le côté est, qui a fait l'objet d'un accord signé en 2005 entre les différents partenaires locaux, permettra 4500 les familles bénéficient des lopins de terre consacrée à la relogement, ou d'unités de logement.

Selon la même source, cette initiative a donné l'occasion "d'améliorer les conditions sociales indispensables pour les personnes qui souffrent de la «*marginalisation*«*. Également permis d'améliorer le paysage urbain et l'environnement standard sur toutes les villes."

Dans ce contexte, l'est a été en mesure d'annoncer huit villes et centres urbains comme la «Villes sans taudis», et il est livré dans les villes de Nador et Taourirt Saidia Figuig, et construit Talcent Tajjit et Abou-Khal, blanc Bomrem.

En ce qui concerne les familles qui n'ont pas bénéficié à partir de 1180 le programme de sa famille, selon les statistiques disponibles, se dresse sur les villes de Jeddah 70 familles, et Bboarafp 500 familles, et le volcan 470 lits, ainsi que plus de 140 familles occupent des sites en danger d'effondrement dans Twisit, Sidi Boubacar.

Selon les responsables de l'Inspection régionale du logement, le programme est mis en œuvre en coordination et en consultation avec divers intervenants, les autorités locales, les communautés et le Ministère du logement et de l'urbanisme reconstruction et le développement, et les associations des personnes et des établissements de crédit et d'autres organismes.

Et enregistré le programme a rencontré quelques problèmes liés à l'immobilier particulier est nécessaire pour trouver le navire et l'utilisation des familles concernées des prêts, ainsi que les problèmes liés à la participation de certaines des familles ciblées par le programme et rejeté dans certains cas, la démolition de leurs abris.
Les autorités ont déclaré que, pour la première fois dans l'Est a été mis au point un logement de valeur à faible coût de l'immobilier en 2009 la disposition des familles qui vivaient dans des bidonvilles, des logements et s'adresse en priorité aux familles ayant un faible revenu, et de l'immobilier une valeur de 140 mille dirhams. Ont été attribués aux familles descendant des bidonvilles à un prix fixé à 90 mille dirhams, tandis que l'Etat prend à sa charge le reste, ce qui équivaut à 50 mille dirhams.

A noté la même source a déclaré que les banques ont montré une sorte de réticence quant à l'octroi de prêts financiers aux habitants des bidonvilles, que les problèmes rencontrés pour couvrir la dette, notant que certaines familles qui n'ont pas de possibilité de tirer parti des prêts refuser la démolition Albrarik habitée par dépit du fait que certains correctifs terrestres ou unités d'habitation ont été mis à leur disposition.

Obstacle à l'application Villes sans taudis programme également un autre problème est le refus de certaines familles, la démolition de Albrarik habitant au motif qu'il ya des familles, plusieurs vivent dans Bracke un, n'ont pas été comptés au cours du processus d'identification des familles bénéficiaires, et exige donc de leur donner des taches au sol égal au nombre de ménages.

En outre, les autres familles refusent de relogement dans d'autres domaines, ou des endroits loin des positions qu'ils prennent, y compris les sans-abri.

En dépit de ces problèmes, les fonctionnaires de l'Inspection de l'habitation d'un registre régional avec les résultats positifs de béton défini par les villes sans taudis programme, soulignant que les efforts doivent se poursuivre afin de déraciner le total Albrarik et résidentiel plaquettes bâtiments dans les villes et les centres de l'Est, et a été déclarée nulle principaux centres urbains, la région, à savoir les villes de Jeddah, un volcan, sans taudis des villes au cours de l'année 2010.

(Par: Mohammed al-Yacoubi MAP)

mam