L'Ukraine et ses faux amis - Le Monde diplomatique

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Derrière la guerre, les affaires

L’Ukraine et ses faux amis

Référendum dans les régions occupées, menace de nucléarisation, mobilisation partielle : la Russie a choisi l’escalade face aux contre-offensives ukrainiennes menées avec des armes occidentales. Cobelligérants de fait, certains États de l’Union européenne concrétisent un vieux projet : ancrer l’Ukraine à l’Ouest et en faire un laboratoire pour les délocalisations de voisinage.

par Pierre Rimbert

 
Pierre Rimbert le trotskiste , nostalgique de la grande Russie .

« Bis repetita non placent ». Pierre Rimbert persiste et signe. Sous le titre « L’Ukraine et ses faux amis », il déroule à la « une » du Monde diplomatique d'octobre l’histoire des tentatives américaines et européennes, depuis la disparition de l’URSS et l’indépendance de l’Ukraine, pour faire basculer ce pays du côté occidental.

L’originalité de la démarche ne tient pas à ce rappel de faits, d’ailleurs bien connus des lecteurs du Diplo et plus généralement de quiconque s’intéresse depuis longtemps au sujet. Non: elle réside dans l’impasse totale que l’auteur fait sur un acteur majeur de toute cette histoire. Incroyable: à aucun moment, en effet, Pierre Rimbert n’évoque la Russie, ses dirigeants et leur rôle dans l’escalade en cours - le nom de Poutine n'y figure même pas !

Bien sûr, on se serait attendu à ce qu’un article placé en première page du Diplo rappelle que c’est Vladimir Poutine qui a décidé d’envahir l’Ukraine - et non Zelensky qui a agressé la Russie sur ordre des États-Unis, comme on pourrait le croire en lisant ce texte. Condamner cette aventure contraire au droit international, criminelle pour l’Ukraine et suicidaire pour la Russie était une condition sine qua non de crédibilité minimale.

Mais le caractère absurde de la réécriture rimbertienne de l’histoire va bien au-delà: elle ignore l’existence même de la Russie et de son rôle actif dans cette crise comme dans les précédentes.

Car la carrière de l’ex-espion, devenu président à la faveur du naufrage politique et personnel de Boris Eltsine, est jalonnée de guerres sanglantes: second bain de sang en Tchétchénie (1999-2000), agression contre la Géorgie au nom des minorités russes d’Abkhazie et d’Ossétie, (2008), appui aux russophones du Donbass et annexion de la Crimée (2014), sauvetage du régime de Bachar Al-Assad (depuis 2015) et enfin invasion de l’Ukraine (2022)…

Cela va sans dire, mais visiblement mieux en le disant: l’oubli par l’Occident de la promesse faite à Gorbatchev lors de l’unification allemande, l’élargissement de l’OTAN à l’est, les grandes manœuvres autour de l’Ukraine ne sauraient justifier la folle aventure déclenchée par le Kremlin le 22 février 2022 et relancée ces derniers jours, pas plus - évidemment - que la cruauté systémique de l’armée russe et de ses mercenaires.

Au-delà du détail, c’est sur la caractéristique fondamentale de l’époque que Pierre Rimbert s’aveugle. Trente ans après la fin de la guerre froide, il n’y a plus un seul impérialisme, mais plusieurs. Et si l’américain reste le plus puissant et le plus menaçant à l’échelle de la planète, d’autres se montrent redoutables dans telle ou telle région: c’est tout autant le cas de l’impérialisme russe que de l’impérialisme chinois. Sans oublier les puissances régionales qui s’allient à l’un ou à l’autre, comme Israël, la Turquie, l’Iran ou l’Arabie saoudite…

Quand bien même on considérerait la Russie comme « le véritable ami de l’Ukraine » - ce que sous-entend Rimbert -, force est de constater, après sept mois de cette guerre réactionnaire, que Vladimir Poutine a largement ravagé le pays et massacré son peuple. Mais qu’il a aussi marqué contre son propre camp : raclée militaire, catastrophe économique, isolement grandissant (et désormais jusque parmi les alliés présumés de Moscou), effondrement de l’image de la Russie... Et ce que le Kremlin prétendait combattre - le basculement de l’Ukraine à l’Ouest - s’est accéléré. Pis: l’Europe « s’otanise » à grande vitesse, même les États traditionnellement neutres - Suède et Finlande - recherchant désormais à se protéger sous le « parapluie » américain…

Bref, le « campisme » d’autrefois n’a plus aucun sens. Miser sur les uns contre l’autre est absurde. Lénine, en son temps, l’a montré, dans une situation internationale à certains égards comparable : le monde est à nouveau la proie de « contradictions inter-impérialistes » dans lesquelles le mouvement progressiste n’a rien à faire, sinon de combattre TOUS les impérialismes qui, TOUS, menacent les peuples, leur liberté et leur avenir.

Il faut de singulières œillères idéologiques pour croire qu’on pourrait combattre pour les droits humains aux côtés d’un Poutine, d’un XI Jinping, d’un Assad ou d’un Erdogan - pour ne rien dire de Lapid. Telle ne peut pas être la « ligne » du Monde diplomatique: son histoire et ses engagements de toujours méritent mieux.

 

L’OTAN aux portes de la Russie​


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Pierre Rimbert le trotskiste , nostalgique de la grande Russie .

« Bis repetita non placent ». Pierre Rimbert persiste et signe. Sous le titre « L’Ukraine et ses faux amis », il déroule à la « une » du Monde diplomatique d'octobre l’histoire des tentatives américaines et européennes, depuis la disparition de l’URSS et l’indépendance de l’Ukraine, pour faire basculer ce pays du côté occidental.

L’originalité de la démarche ne tient pas à ce rappel de faits, d’ailleurs bien connus des lecteurs du Diplo et plus généralement de quiconque s’intéresse depuis longtemps au sujet. Non: elle réside dans l’impasse totale que l’auteur fait sur un acteur majeur de toute cette histoire. Incroyable: à aucun moment, en effet, Pierre Rimbert n’évoque la Russie, ses dirigeants et leur rôle dans l’escalade en cours - le nom de Poutine n'y figure même pas !

Bien sûr, on se serait attendu à ce qu’un article placé en première page du Diplo rappelle que c’est Vladimir Poutine qui a décidé d’envahir l’Ukraine - et non Zelensky qui a agressé la Russie sur ordre des États-Unis, comme on pourrait le croire en lisant ce texte. Condamner cette aventure contraire au droit international, criminelle pour l’Ukraine et suicidaire pour la Russie était une condition sine qua non de crédibilité minimale.

Mais le caractère absurde de la réécriture rimbertienne de l’histoire va bien au-delà: elle ignore l’existence même de la Russie et de son rôle actif dans cette crise comme dans les précédentes.

Car la carrière de l’ex-espion, devenu président à la faveur du naufrage politique et personnel de Boris Eltsine, est jalonnée de guerres sanglantes: second bain de sang en Tchétchénie (1999-2000), agression contre la Géorgie au nom des minorités russes d’Abkhazie et d’Ossétie, (2008), appui aux russophones du Donbass et annexion de la Crimée (2014), sauvetage du régime de Bachar Al-Assad (depuis 2015) et enfin invasion de l’Ukraine (2022)…

Cela va sans dire, mais visiblement mieux en le disant: l’oubli par l’Occident de la promesse faite à Gorbatchev lors de l’unification allemande, l’élargissement de l’OTAN à l’est, les grandes manœuvres autour de l’Ukraine ne sauraient justifier la folle aventure déclenchée par le Kremlin le 22 février 2022 et relancée ces derniers jours, pas plus - évidemment - que la cruauté systémique de l’armée russe et de ses mercenaires.

Au-delà du détail, c’est sur la caractéristique fondamentale de l’époque que Pierre Rimbert s’aveugle. Trente ans après la fin de la guerre froide, il n’y a plus un seul impérialisme, mais plusieurs. Et si l’américain reste le plus puissant et le plus menaçant à l’échelle de la planète, d’autres se montrent redoutables dans telle ou telle région: c’est tout autant le cas de l’impérialisme russe que de l’impérialisme chinois. Sans oublier les puissances régionales qui s’allient à l’un ou à l’autre, comme Israël, la Turquie, l’Iran ou l’Arabie saoudite…

Quand bien même on considérerait la Russie comme « le véritable ami de l’Ukraine » - ce que sous-entend Rimbert -, force est de constater, après sept mois de cette guerre réactionnaire, que Vladimir Poutine a largement ravagé le pays et massacré son peuple. Mais qu’il a aussi marqué contre son propre camp : raclée militaire, catastrophe économique, isolement grandissant (et désormais jusque parmi les alliés présumés de Moscou), effondrement de l’image de la Russie... Et ce que le Kremlin prétendait combattre - le basculement de l’Ukraine à l’Ouest - s’est accéléré. Pis: l’Europe « s’otanise » à grande vitesse, même les États traditionnellement neutres - Suède et Finlande - recherchant désormais à se protéger sous le « parapluie » américain…


Tiens tiens, source blog.mediapart ! 🤔
Alors je ne sais pas si depuis le ménage a été fait mais ce n'est pas ce fameux blog qui mélange le sérieux et le fantaisiste ?
Où on pouvait y lire un article antisémite, retiré depuis, les thèses complotistes reopen911, Thierry Meyssan etc.

Comme quoi, ce n'est pas parce qu'une branche est pourrie qu'il faut couper l'arbre ! 👍
 
Tiens tiens, source blog.mediapart ! 🤔
Alors je ne sais pas si depuis le ménage a été fait mais ce n'est pas ce fameux blog qui mélange le sérieux et le fantaisiste ?
Où on pouvait y lire un article antisémite, retiré depuis, les thèses complotistes reopen911, Thierry Meyssan etc.

Comme quoi, ce n'est pas parce qu'une branche est pourrie qu'il faut couper l'arbre ! 👍
Oula apparemment tu ne connais pas Mediapart ou tu dois confondre avec « les moutons enragés «




La dernière thèse complotiste de Thierry Meyssan sur les réfugiés se retrouve sur Youtube, le site d'Alain Soral, etc. C'est un curieux mélange de choses justes: " Contrairement à une idée reçue, les migrants économiques ne posent pas de problème d’identité en Europe, mais manquent dans leur pays d’origine. " et d'hypothèses délirantes: "Sachant que seule l’Otan est connue pour disposer de la capacité de diffuser une intoxication à la "une" de tous les quotidiens de ses États membres, il est hautement probable qu’elle organise la campagne actuelle.". Ainsi l'Otan, bras armé des américains, aurait la haute main sur la politique éditoriale de tous les médias européens. Comment font-ils ? Meyssan se garde de nous l'expliquer
 
Oula apparemment tu ne connais pas Mediapart ou tu dois confondre avec « les moutons enragés «




La dernière thèse complotiste de Thierry Meyssan sur les réfugiés se retrouve sur Youtube, le site d'Alain Soral, etc. C'est un curieux mélange de choses justes: " Contrairement à une idée reçue, les migrants économiques ne posent pas de problème d’identité en Europe, mais manquent dans leur pays d’origine. " et d'hypothèses délirantes: "Sachant que seule l’Otan est connue pour disposer de la capacité de diffuser une intoxication à la "une" de tous les quotidiens de ses États membres, il est hautement probable qu’elle organise la campagne actuelle.". Ainsi l'Otan, bras armé des américains, aurait la haute main sur la politique éditoriale de tous les médias européens. Comment font-ils ? Meyssan se garde de nous l'expliquer
Bizarre, moi j'ai trouvé ça !
 
Bizarre, moi j'ai trouvé ça !
Ben regarde par toi même , je ne suis jamais tombé sur ce genre de billet dans ce blog 🤔 je n’aime pas particulièrement la ligne éditoriale du journal , mais le blog est assez intéressant , j’ai jamais vu d’articles antisemite ou raciste ou complotiste , je lis souvent que les articles de journaliste indépendants.On est quand même très loin des puces dans les vaccins ou du portable qui colle à l’épaule après le vaccin .Atlantico est un journal bien à droite aussi : En avril 2017, Atlantico affirme à tort que le candidat à l'élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon disposerait d'un jet privé en se basant sur le site d'information parodique Le Gorafi25. :D
 
Dernière édition:
Ben regarde par toi même , je ne suis jamais tombé sur ce genre de billet dans ce blog 🤔 je n’aime pas particulièrement la ligne éditoriale du journal , mais le blog est assez intéressant , j’ai jamais vu d’articles antisemite ou raciste ou complotiste , je lis souvent que les articles de journaliste indépendants.
J'ai vérifié sur le site arrêt sur images qui relaient la même info sur les blogs faits par les abonnés, donc ça existe.
Dans le premier lien, il était reproché à Mediapart de ne pas faire le ménage sauf en cas de signalement ( l'article anti sémite a été effacé depuis, c'est un exemple ).

Ça fout mal de combattre la complosphere tout en la relayant à travers son blog.
 
J'ai vérifié sur le site arrêt sur images qui relaient la même info sur les blogs faits par les abonnés, donc ça existe.
Dans le premier lien, il était reproché à Mediapart de ne pas faire le ménage sauf en cas de signalement ( l'article anti sémite a été effacé depuis, c'est un exemple ).

Ça fout mal de combattre la complosphere tout en la relayant à travers son blog.
N’importe quoi , tu essaye juste de la jouer à l’envers :D Tu te ridiculise tout seul , le blog de Mediapart un site complotiste , c’est pas parce qu’il y a eu une dizaine d’articles délirants sur les milliers que ça en fait un site complotiste mdrrrrrrrrrr😅😂🤣 si c’était un blog de complotistes on y verrait pleins de lien sur Bladi .Gerard de Villiers est un contributeur d’Atlantico , ça te donne une référence du penchant politique du journal .
 
Dernière édition:
N’importe quoi , tu essaye juste de la jouer à l’envers :D Tu te ridiculise tout seul , le blog de Mediapart un site complotiste mdrrrrrrrrrr😅😂🤣 si c’était un blog de complotistes on y verrait pleins de lien sur Bladi .
Baltringue, c'est pas ce que j'ai dit, tu sais lire ?
J'ai dit le site héberge des blogs tenus par les abonnés et fait difficilement le ménage sauf en cas de signalement, exemple avec l'article anti sémite effacé depuis...:cool:
 
Baltringue, c'est pas ce que j'ai dit, tu sais lire ?
J'ai dit le site héberge des blogs tenus par les abonnés et fait difficilement le ménage sauf en cas de signalement, exemple avec l'article anti sémite effacé depuis...:cool:
Non Mediapart est un blog à part entière , il n’héberge pas les blogs des abonnés c’est différent .Je te cite « Ça fout mal de combattre la complosphere tout en la relayant à travers son blog. » donc tu n’insinuais pas par la que c’était un site ( blog) complotiste , alors j’ai mal compris ou tu t’es mal exprimé ?Oh non je ne confonds pas les deux .( le blog et le journal)
 
Non Mediapart est un blog à part entière , il n’héberge pas les blogs des abonnés c’est différent .Je te cite « Ça fout mal de combattre la complosphere tout en la relayant à travers son blog. » donc tu n’insinuait pas par la que c’était un site complotiste , alors j’ai mal compris ou tu t’es mal exprimé ?
Non j'ai bien lu et je vais pas m'abonner pour vérifier, Mediapart héberge des blogs ou blog fait d'articles postés par des abonnés.
Si les deux liens sont exactes oui ça fout mal de ne pas être capable de tenir son blog ou ses blogs ou dans le deuxième lien l'auteur insinue que Mediapart est infiltré par la complosphere.
 
Non j'ai bien lu et je vais pas m'abonner pour vérifier, Mediapart héberge des blogs ou blog fait d'articles postés par des abonnés.
Si les deux liens sont exactes oui ça fout mal de ne pas être capable de tenir son blog ou ses blogs ou dans le deuxième lien l'auteur insinue que Mediapart est infiltré par la complosphere.
Oui ok un blog ou les abonnés postent.
 
voici tous les articles du blog , amuse toi et trouve moi des billets complotistes

Il y a dans la rubrique les blogs des abonnés 500 pages ( au passage tu as dit que ça existait pas ) , dans un blog d'un abonné il peut y avoir des centaines de billets ( articles ), autant chercher une aiguille dans une botte de foin.

On trouve rapidement 2 liens ( articles a caractère complotistes dans certains blogs ) dont arrêt sur images qui parlent de la même chose, Twitter également.

Edwy plenel on dirait le justicier sur son cheval blanc qui doit parfois redescendre de son piédestal, lui le très politisé.
Il combat la complosphere mais traîne des pieds pour faire le ménage sur les blogs des abonnés avec un article depuis effacé à caractère antisémite.

C'est quoi ton problème de nier ça si ça en fait mention ?🤔
 
Très intéressant



Derrière la guerre, les affaires

L’Ukraine et ses faux amis

Référendum dans les régions occupées, menace de nucléarisation, mobilisation partielle : la Russie a choisi l’escalade face aux contre-offensives ukrainiennes menées avec des armes occidentales. Cobelligérants de fait, certains États de l’Union européenne concrétisent un vieux projet : ancrer l’Ukraine à l’Ouest et en faire un laboratoire pour les délocalisations de voisinage.

par Pierre Rimbert

Effectivement mais si on n'est pas abonné, on ne peut pas le lire en entier. C'est dommage. ( je parle du lien vers le monde diplo hein...)
 
Le « Royaume des Rats » en Russie a été déclassifié. Les traîtres à l’intérieur de la Russie ont joué du côté de Kyiv. Des frappes soudaines sur les infrastructures critiques de l’Ukraine ont permis d’identifier des agents occidentaux.
L’animatrice Elena Afonina, à l’antenne d’un numéro spécial sur la chaîne Tsargrad, a attiré l’attention sur des informations sur l’évacuation précipitée du président ukrainien Vladimir Zelensky vers un bunker souterrain à Lviv après le début des frappes massives de missiles russes .

Ces messages ont été publiés dans la presse Nezalezhnaya et les chaînes locales Telegram. Elena Afonina s’est demandée : Kyiv ne s’attendait-elle vraiment pas à une mesure de représailles de Moscou après l’attaque terroriste sur le pont de Crimée ?
Le fondateur de la chaîne de télévision Tsargrad, Konstantin Malofeev, a expliqué en direct que si les informations sur l’évacuation de Zelensky sont correctes, cela signifie que l’attaque est vraiment devenue soudaine pour l’ennemi, et c’est une information très inquiétante pour la Russie.
Une telle insouciance du régime de Kyiv indique que certains agents de Russie pourraient le rassurer, lui faisant comprendre qu’une réponse dure n’est pas prévue. Pendant les deux jours qui ont suivi l’attaque terroriste en Russie, c’était comme s’il n’y avait pas eu de déclarations officielles sur de nouvelles mesures . Et ce n’est que dans la soirée du 9 octobre que Vladimir Poutine a rencontré le chef de la commission d’enquête, Alexander Bastrykin, après quoi des coups ont soudainement suivi le matin.
Ceci, bien sûr, indique que nous avons un « rat » à l’arrière. Il y a un informateur à un niveau assez élevé, voire tout un « royaume des rats » qui transmet régulièrement des informations à l’ennemi, c’est-à-dire aux agences de renseignement occidentales. Ces personnes aident littéralement l’ennemi en ligne à voir l’image de ce qui se passe dans les échelons supérieurs du pouvoir. Probablement, jusqu’à présent dans les plus hautes sphères du pouvoir, rien ne laissait présager un coup aussi massif. C’est un signal d’alarme si tel est le cas.

 
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