BJDI2020
Le general est mort.Vive le général
Bonjour à tous,
Je reviens d’un assault sur Koursk nous sommes en train de gagner difficilement la guerre.
J’ai perdu de nombreux amis et soldats
ah ah mais nous avons détruit pas mal de Panzers.
Je profite de ce moment de répit, pour vous écrire ces quelques lignes afin de remémorer le bon vieux temps.
Cette ex bladinette fut d’abord charmée par la verve et la mâturité découlant de mes propos.
Ce qu’elle put d’abord vérifier en MP puis de vive voix.
Elle consumait de me rencontrer, mais étant un garçon propre sur moi j’hésitais puis elle finit de me convaincre.
J’avais des réticences car c’était une ex femme voilée, divorcée, des enfants et ayant basculé dans certaines délires sexuels.
Elle avait goûté à ce genre de délires, puis c’etait devenu une addiction, plus elle me racontait plus j’avais peur.
Que devais-je faire par cette chaude nuit d’été?
Y’aller ou refuser d’y aller?
J’étais tiraillé entre les 2.
J’avais mon côté pervers qui brûlait et mon côté garçon propre qui me retenait.
Je décidais de prendre la voiture, et j’arrivais dans une rue parrallèle. Elle m’appelle et « tu es là? j’arrive! ».
Je sentais la chaleur et la peur monter en moi.
Je la vois arriver dans le rétro, pas mal jolie bout de femme, assez coquette mini jupe.
J’ai mal â tête j’ai l’impression d’avoir mis un doigt dans un engrenage duquel je ne pourrais plus me défaire, j’avais chaud, j’étais mal, ma tête commençait à tourner.
Parraissait même que je commençais à tourner de l’oeil à la limite de la syncope.
Elle monte côté passager, me fait la bise et commence à me caresser la joue.
Je commençais à souffler, les battements de mon coeur commençaient à redevenir normal.
Je suis moche mais les femmes me trouvent irresistible, sans doute mon côté attendrissant durant la phase d’approche ou elles baissent la garde.
Bref nous décidons de passer sur la banquette arrière pour profiter de la convivialité du moment.
Elle m’embrasse tendrement, puis on discute de tout et de rien en me tenant la main.
Il existe un petite brise agréable qui caressant nos visages.
Apres cette discussion je décide rentrer chez moi:
Quand elle s’est levée j’ai cru voir son porte jarettelles.
Elle me dit m’espérer me revoir pour approfondir cette discussion.
Mais vu son charisme sexuel, j’ai refusé.
J’aurais été incapable de dompter la bête,
Puis bien que pervers mon côté garçon propre me rappelait à l’ordre...
Aurais je du « aller au fond du sujet? »
Ainsi est le paradoxe humain, et bois un grand verre d’oasis à la santé du Général Bejaadi commandant la 6ième armée aux portes de Berlin.
Je reviens d’un assault sur Koursk nous sommes en train de gagner difficilement la guerre.
J’ai perdu de nombreux amis et soldats
ah ah mais nous avons détruit pas mal de Panzers.
Je profite de ce moment de répit, pour vous écrire ces quelques lignes afin de remémorer le bon vieux temps.
Cette ex bladinette fut d’abord charmée par la verve et la mâturité découlant de mes propos.
Ce qu’elle put d’abord vérifier en MP puis de vive voix.
Elle consumait de me rencontrer, mais étant un garçon propre sur moi j’hésitais puis elle finit de me convaincre.
J’avais des réticences car c’était une ex femme voilée, divorcée, des enfants et ayant basculé dans certaines délires sexuels.
Elle avait goûté à ce genre de délires, puis c’etait devenu une addiction, plus elle me racontait plus j’avais peur.
Que devais-je faire par cette chaude nuit d’été?
Y’aller ou refuser d’y aller?
J’étais tiraillé entre les 2.
J’avais mon côté pervers qui brûlait et mon côté garçon propre qui me retenait.
Je décidais de prendre la voiture, et j’arrivais dans une rue parrallèle. Elle m’appelle et « tu es là? j’arrive! ».
Je sentais la chaleur et la peur monter en moi.
Je la vois arriver dans le rétro, pas mal jolie bout de femme, assez coquette mini jupe.
J’ai mal â tête j’ai l’impression d’avoir mis un doigt dans un engrenage duquel je ne pourrais plus me défaire, j’avais chaud, j’étais mal, ma tête commençait à tourner.
Parraissait même que je commençais à tourner de l’oeil à la limite de la syncope.
Elle monte côté passager, me fait la bise et commence à me caresser la joue.
Je commençais à souffler, les battements de mon coeur commençaient à redevenir normal.
Je suis moche mais les femmes me trouvent irresistible, sans doute mon côté attendrissant durant la phase d’approche ou elles baissent la garde.
Bref nous décidons de passer sur la banquette arrière pour profiter de la convivialité du moment.
Elle m’embrasse tendrement, puis on discute de tout et de rien en me tenant la main.
Il existe un petite brise agréable qui caressant nos visages.
Apres cette discussion je décide rentrer chez moi:
Quand elle s’est levée j’ai cru voir son porte jarettelles.
Elle me dit m’espérer me revoir pour approfondir cette discussion.
Mais vu son charisme sexuel, j’ai refusé.
J’aurais été incapable de dompter la bête,
Puis bien que pervers mon côté garçon propre me rappelait à l’ordre...
Aurais je du « aller au fond du sujet? »
Ainsi est le paradoxe humain, et bois un grand verre d’oasis à la santé du Général Bejaadi commandant la 6ième armée aux portes de Berlin.
Dernière édition: