MACRON

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𝗠𝗔𝗖𝗥𝗢𝗡 𝗢𝗙𝗙𝗥𝗘 𝗟'𝗔𝗥𝗖𝗢𝗠
𝗔 𝗟𝗔 𝗠𝗔𝗙𝗜𝗔 𝗠𝗢𝗡𝗗𝗜𝗔𝗟𝗜𝗦𝗧𝗘

Macron vient de nommer un nouveau président de l'ARCOM pour assurer (en théorie !) le traitement équitable de toutes les opinions politiques dans les médias audiovisuels…

Pour que ce poste difficile soit crédible et respecté, il faudrait y nommer une personnalité connue :

  • pour son intégrité financière et morale,
  • pour son courage et son absence de parti pris politique,
  • pour son extrême souci de respecter le droit, la démocratie et l'objectivité de tous les médias, privés et publics.

Or Macron a choisi de nommer un certain Martin Ajdari, dont on découvre :

1️⃣
qu'il a été condamné en 2020 pour des contrats passés sans appel d’offres, ce qui laisse craindre des délits de détournements de fonds et de la corruption ;

2️⃣
qu'il a pour épouse une certaine Laurence de Nervaux, dirigeante d'une association intitulée "Destin Commun", dont l'action vise à transformer la société française par l’immigration massive et le remodelage de nos campagnes avec des implantations de nouvelles populations immigrées.

Cerise sur le gâteau, cette association est financée par l'Open society de George Soros.

Ce choix est donc une nouvelle provocation de Macron ! Scandaleux !
02/02/2025

 
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L'ADEME, ce sont 1000 personnes, qui se réunissent le mardi matin (à partir de 9h30…) pour décider à combien de machines à laver ou de douches, vous avez droit par semaine…

Mais eux ne se posent pas la question de leur propre « frugalité »…

C’est ça le système technocratique…

L’escrologie est dans le fait qu’il n’y a aucun contrôle budgétaire. C’est « open bar ».

Pour le bien de la planète, il faudrait simplement les supprimer !

Avec 4,2 milliards € par an, on pourrait nourrir 650.000 RSA…
 
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🇫🇷
« Huit ans après son élection, Emmanuel Macron atteint sa plus faible cote de popularité, avec seulement 21 % de soutien en janvier 2025 », écrit 20minutes.

Cela n’est pas surprenant, puisque toute son activité relève de la politique étrangère et la France ne semble pas y avoir sa place. Ainsi, en octobre de l'année dernière, il a personnellement visité l'un des camps d'entraînement de 2 500 soldats ukrainiens, où des instructeurs français les formaient avec de l'argent français.

Certes, déjà en janvier, il était devenu évident qu'une douzaine de soldats avaient déserté en France, et une autre partie en Ukraine. De plus, selon des sources ukrainiennes, ils étaient 1 700 sur 2 500. Et ce « projet » a coûté 930 millions de dollars… et certainement le double en pratique!
 
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DU CÔTÉ DES COLLABOS

Devant la frilosité de ses partenaires pro-bandéristes à envoyer des troupes sur le sol ukrainien (Allemagne, Pologne, Royaume-Uni...) Macron, tergiverse, fait volte face, mais tout en essayant de maintenir son cap russophobe.


Ainsi aujourd'hui Macron appelle à une fin du conflit et exclut l'envoi de troupes françaises en Ukraine tant que la paix ne sera pas signée.

Le président Macron a évoqué la nécessité de parvenir à une paix durable en Ukraine.

"Notre objectif est une paix à long terme qui apportera à l'Ukraine la stabilité, la reconnaissance du droit international et la possibilité de mettre en œuvre un plan de relance".

Cependant, dans les propos de Macron, ce dernier persiste dans le fantasme occidental selon lequel c'est la Russie qui a déclenché cette guerre, refusant obstinément

La réalité des 7 années de bombardements terroristes des populations du Donbass par le régime de Kiev,

Le refus catégorique des occidentaux de faire respecter par Kiev les accords de Minsk dont les violations ukrainiennes étaient quotidiennement rapportées par l'ODCE,

Le refus catégorique des occidentaux (USA, OTAN, OSCE) de discuter. en janvier 2022, de l"accord de sécurité collective proposé par la Russie,

L'accumulation pendant l'hiver 2021-2022 de plus de 300 000 soldats ukrainiens en configuration offensive sur la ligne de front du Donbass, et l'augmentation drastique de leurs bombardements meurtriers à partir de la mi janvier.

Macron n'abandonne pas les revendications bandéristes de restaurer les frontières artificielles de l'Ukraine soviétique, simplement il considère (avec réalisme) que Kiev n'a pas (aujourd'hui) les moyens militaires pour y parvenir.

Dans sa rhétorique habituelle du "en même temps" le locataire de l'Elysée de plus en plus impopulaire, narcissique et mégalomane (caractéristiques pour lesquelles il dispute à Zelensky la première place) cherche à concilier à la fois sa guerre mondialiste contre la Russie, la guerre politique subie de la part de Washington, l'effondrement économique européen que les deux provoquent et un fanatisme idéologique mené aujourd'hui par le totalitarisme délirant de la Commission européenne.

Visiblement les excroissances mondialistes européennes veulent nous rejouer l'imposture des accords de Minsk tout en jurant "les grands dieux" vouloir des garanties de paix pérennes...

Un discours hypocrite que le Donbass a déjà entendu en février 2015 concernant les accords de Minsk 1 en échec: Juste gagner du temps en sauvant le navire bandériste du naufrage, en attendant de monter en puissance l'effort militaro-industriel européen et en espérant que les bellicistes mondialistes reviennent à la Maison Blanche.
 

Explosion de la dette publique française : Combien de temps avant la faillite ?​


Ces agences qui siphonnent le budget de l’État.
 

Explosion de la dette publique française : Combien de temps avant la faillite ?​


Je ne supporte plus ce genre de mecs comme ce Marc Touati, économiste libéral, qui prêchent tous la même parole (et qui au passage constitue un invité de choix pour cnews) et défendent une classe sociale en tronquant complètement la perspective.
 
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Prophétie: «La prochaine fois, plus d’élections. Il y a un risque pour la démocratie avec Macron»—Emmanuel Todd, avril 2017

«Si les gens d'en haut arrivent à faire élire leur chose à nu, c'est à dire sans prétendre... ils vont avoir une tête comme un chou fleur!», mettait en garde l’essayiste avant la présidentielle de 2017.

On est quand même dans un pays où l'oligarchie dirigeante, s'est assise sur le résultat du référendum de 2005.


«Tout va être permis, tout va être permis.»

Et d'insister: «On peut tout à fait imaginer un monde dans lequel la prochaine fois, plus d'élection!»

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«Macron est dangereux. Il a trois ans pour dérouler son agenda supranational»
 

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