En cette période estivale, lEspagne ne se prépare pas seulement à lopération transit des MRE, mais, également, aux visites inopinées des activistes marocains dans les îlots quelle occupe en Méditerranée. Et cette année, Madrid tente déviter le remake des incidents de 2012.
Le gouvernement Rajoy vient dordonner le renforcement de la sécurité autour des rochers Chafarinas, Pejeril, Tierra, la Goméra et Alborán. La publication en ligne, elconfidencialdigital.com, connue pour être proche des services secrets, indique que la Guardia Civil a été chargée de lexécution de ce plan. Ses membres, soutenus par un hélicoptère basé à Melilla, ont déjà commencé leurs patrouilles, guettant les moindres gestes des Marocains affiliés au Comité de libération de Sebta et Melilla.
Les services secrets espagnols sont sollicités
A lorigine de cette mobilisation dans les eaux calmes de la Méditerranée, des informations des services secrets, au parfum des projets des activistes marocains dont lobjectif nodal est la revendication de la marocanité des îlots. Elconfidencialdigital.com rapporte que les autorités espagnoles ont la certitude que le Comité de libération de Sebta et Melilla est en train de « préparer un été difficile », et ce, par des « actions politiques conjointes et coordonnées » sur les rochers.
Lan dernier, les membres de ce Comité avaient réussi à tromper la vigilance de la Guardia Civil et planter le drapeau marocain dans ses territoires. Désemparées à cause de la succession de ces incidents, les autorités du voisin du nord avaient demandé à Rabat, à loccasion de la visite, novembre 2012, du ministre espagnol de la Défense, Pedro Morenés, la protection des îlots Chafarinas, Pejeril, Tierra, la Goméra et Alborán.
Les immigrés clandestins sont également dans le viseur
Outre les actions des activistes marocains, les mesures sécuritaires des Espagnols visent, également, les pateras des candidats à limmigration illégale, notamment les Subsahariens. Madrid ne souhaite pas que les embarcations de fortune des Africains échouent sur les sables des îlots quelle occupe. La publication en ligne elconfidencialdigital.com indique que la Guardia Civil a enregistré peu dincidents de ce genre. La dernière remonte à mai, lorsque une patera à bord de laquelle se trouvait huit Subsahariens a accosté sur le rocher Charfarinas.
Pour mémoire, en septembre 2012, les Marocains avaient aidé les Espagnols à expulser 80 immigrés de lîlot Tierra, pourtant occupé par lEspagne.Et même plus, ils avaient rapatrié 70 Subsahariens. C'était bien avant la signature de l'accord sur la mobilité des personnes entre le Maroc et l'Union européenne.
Yabiladi
Le gouvernement Rajoy vient dordonner le renforcement de la sécurité autour des rochers Chafarinas, Pejeril, Tierra, la Goméra et Alborán. La publication en ligne, elconfidencialdigital.com, connue pour être proche des services secrets, indique que la Guardia Civil a été chargée de lexécution de ce plan. Ses membres, soutenus par un hélicoptère basé à Melilla, ont déjà commencé leurs patrouilles, guettant les moindres gestes des Marocains affiliés au Comité de libération de Sebta et Melilla.
Les services secrets espagnols sont sollicités
A lorigine de cette mobilisation dans les eaux calmes de la Méditerranée, des informations des services secrets, au parfum des projets des activistes marocains dont lobjectif nodal est la revendication de la marocanité des îlots. Elconfidencialdigital.com rapporte que les autorités espagnoles ont la certitude que le Comité de libération de Sebta et Melilla est en train de « préparer un été difficile », et ce, par des « actions politiques conjointes et coordonnées » sur les rochers.
Lan dernier, les membres de ce Comité avaient réussi à tromper la vigilance de la Guardia Civil et planter le drapeau marocain dans ses territoires. Désemparées à cause de la succession de ces incidents, les autorités du voisin du nord avaient demandé à Rabat, à loccasion de la visite, novembre 2012, du ministre espagnol de la Défense, Pedro Morenés, la protection des îlots Chafarinas, Pejeril, Tierra, la Goméra et Alborán.
Les immigrés clandestins sont également dans le viseur
Outre les actions des activistes marocains, les mesures sécuritaires des Espagnols visent, également, les pateras des candidats à limmigration illégale, notamment les Subsahariens. Madrid ne souhaite pas que les embarcations de fortune des Africains échouent sur les sables des îlots quelle occupe. La publication en ligne elconfidencialdigital.com indique que la Guardia Civil a enregistré peu dincidents de ce genre. La dernière remonte à mai, lorsque une patera à bord de laquelle se trouvait huit Subsahariens a accosté sur le rocher Charfarinas.
Pour mémoire, en septembre 2012, les Marocains avaient aidé les Espagnols à expulser 80 immigrés de lîlot Tierra, pourtant occupé par lEspagne.Et même plus, ils avaient rapatrié 70 Subsahariens. C'était bien avant la signature de l'accord sur la mobilité des personnes entre le Maroc et l'Union européenne.
Yabiladi