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Le ministre des Affaires étrangères est en tournée en Afrique. Algérie, Mali, Côte d'Ivoire.
Pour la première escale algérienne, Didier Reynders était accompagné de Maggie De Block, secrétaire d'Etat à l'Asile et à l'Immigration. Depuis quelques années, la Belgique constate l'arrivée massive de demandeurs d'asile algériens. C'est mystérieux, et peut-être même suspect.
Il dit s'appeler Mourad, il dit venir d'Algérie et il demande l'asile à la Belgique, seulement, il n'a pas de papiers et la Belgique n'a aucun moyen de vérifier sa véritable nationalité.
Ce cas de figure est de plus en plus fréquent, Maggie De Block explique : "On a 5500 personnes qui se déclarent d'être Algériens, pour vraiment savoir combien, il y en a, il faut les identifier et c'est pour ça qu'il faut coopérer".
Il faut donc que l'Algérie participe à l'identification de ces ressortissants.
Voilà pourquoi Maggie De Block a rencontré le secrétaire d'Etat aux Algériens de l'étranger, Samir Bel Kassem :
"Tout d'abord, il faut identifier ces Algériens, comme étant des Algériens, voilà autre chose, mais, plus de 80% de gens qui sont présumés Algériens, ne sont pas Algériens.
On ne peut pas accepter quelqu'un qui n'est pas algérien".
Une piste pourrait être l'échange d'empreintes digitales de ces Algériens présumés.
Françoise Wallemacq
http://www.rtbf.be/info/belgique/de...e-ses-demandeurs-d-asile-algeriens?id=7926805
Pour la première escale algérienne, Didier Reynders était accompagné de Maggie De Block, secrétaire d'Etat à l'Asile et à l'Immigration. Depuis quelques années, la Belgique constate l'arrivée massive de demandeurs d'asile algériens. C'est mystérieux, et peut-être même suspect.
Il dit s'appeler Mourad, il dit venir d'Algérie et il demande l'asile à la Belgique, seulement, il n'a pas de papiers et la Belgique n'a aucun moyen de vérifier sa véritable nationalité.
Ce cas de figure est de plus en plus fréquent, Maggie De Block explique : "On a 5500 personnes qui se déclarent d'être Algériens, pour vraiment savoir combien, il y en a, il faut les identifier et c'est pour ça qu'il faut coopérer".
Il faut donc que l'Algérie participe à l'identification de ces ressortissants.
Voilà pourquoi Maggie De Block a rencontré le secrétaire d'Etat aux Algériens de l'étranger, Samir Bel Kassem :
"Tout d'abord, il faut identifier ces Algériens, comme étant des Algériens, voilà autre chose, mais, plus de 80% de gens qui sont présumés Algériens, ne sont pas Algériens.
On ne peut pas accepter quelqu'un qui n'est pas algérien".
Une piste pourrait être l'échange d'empreintes digitales de ces Algériens présumés.
Françoise Wallemacq
http://www.rtbf.be/info/belgique/de...e-ses-demandeurs-d-asile-algeriens?id=7926805