aid el kebir au maghreb Maghreb • A quoi est due la cherté des prix du mouton de l’Aïd el Kébir ?A quelques jours de l’Aïd el-Kébir qui aura donc lieu lundi en Algérie et Tunisie et mardi au Maroc, le prix du mouton fait l’évènement dans la presse maghrébine d’aujourd’hui. Un prix clairement élevé cette année, expliquent les journaux, en raison des intempéries mais aussi de la spéculation galopante.
Chaque ménage sait qu’il faudra débourser en moyenne de 16.000 à 30.000 dinars en Algérie, de 2500 à 5000 dirhams au Maroc pour fêter l’Aïd el-Kébir, 500 à 1000 dirhams de plus que l’année dernière pour un bélier, confirmation ce matin à la une du quotidien marocain Al Bayane.
Alors les familles les plus démunies vont devoir s’endetter, certaines pour longtemps mais comment faire autrement, comme nous le rappelle le quotidien marocain L’Opinion, la pression sociale est forte, ce serait une situation à la limite de l’humiliation si l’on a pas un mouton à découper chez soi.
Cette année la cherté des prix a plusieurs explications, que ce soit La Tribune en Algérie ou Libération au Maroc, les intempéries ont touché certaines régions réputées pour leur élevage, les pertes y ont été très importantes. Les éleveurs dénoncent aussi la hausse de l’alimentation fourragère due à la flambée des prix sur le marché international.
Mais il y a aussi les revendeurs, maillon incontournable pendant cette période, certains nous dit la presse en Algérie, s’emparent de l’occasion, ils font vite, les moutons sont achetés très tôt sur le marché à des prix raisonnables revendus ensuite à la pièce à des prix beaucoup plus élevés. Des revendeurs qui n’hésitent pas pendant cette période de l’année à s’enrichir par tous les moyens.
http://maghrebinfo.actu-monde.com/archives/article1386.html
Chaque ménage sait qu’il faudra débourser en moyenne de 16.000 à 30.000 dinars en Algérie, de 2500 à 5000 dirhams au Maroc pour fêter l’Aïd el-Kébir, 500 à 1000 dirhams de plus que l’année dernière pour un bélier, confirmation ce matin à la une du quotidien marocain Al Bayane.
Alors les familles les plus démunies vont devoir s’endetter, certaines pour longtemps mais comment faire autrement, comme nous le rappelle le quotidien marocain L’Opinion, la pression sociale est forte, ce serait une situation à la limite de l’humiliation si l’on a pas un mouton à découper chez soi.
Cette année la cherté des prix a plusieurs explications, que ce soit La Tribune en Algérie ou Libération au Maroc, les intempéries ont touché certaines régions réputées pour leur élevage, les pertes y ont été très importantes. Les éleveurs dénoncent aussi la hausse de l’alimentation fourragère due à la flambée des prix sur le marché international.
Mais il y a aussi les revendeurs, maillon incontournable pendant cette période, certains nous dit la presse en Algérie, s’emparent de l’occasion, ils font vite, les moutons sont achetés très tôt sur le marché à des prix raisonnables revendus ensuite à la pièce à des prix beaucoup plus élevés. Des revendeurs qui n’hésitent pas pendant cette période de l’année à s’enrichir par tous les moyens.
http://maghrebinfo.actu-monde.com/archives/article1386.html