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Yvelines : le couple échangiste*filmé avant son agression
La veille des faits, le couple s'était rendu dans une boîte du XIXe arrondissement. Une équipe de tournage de Paris Première était présente. Le couple avait donné son accord pour être filmé.*
Le reportage sur léchangisme diffusé ce mercredi soir sur Paris Première pourrait apporter un nouvel éclairage à laffaire de Mahfoud. Cet homme de 44 ans a été mis en examen le 13 septembre pour « tentative dhomicide, menaces de mort réitérées, violences et séquestration » sur sa compagne.
Depuis deux ans, lui et Anissa, 29 ans, entretenaient une relation sadomasochiste, qui a atteint son paroxysme le 11 septembre dernier. Ce jour-là, les policiers sont appelés dans un appartement chemin Grand-Choisy à Maurecourt. La femme, réfugiée chez sa voisine, indique que son compagnon la séquestrée, violentée, attachée avec du ruban adhésif et a tenté de létouffer avec un oreiller.
Lhomme, à la vue des forces de lordre, se sauve par les balcons du 4e étage. Il est interpellé en fin de journée. Lors de son audition, il naura de cesse de nier les faits. Ecroué depuis à la maison darrêt de Bois-dArcy, toujours aussi amoureux dAnissa, il plaide non coupable. Ses proches le soutiennent.
Anissa naurait pas hésité à envoyer son « esclave » en prison
« Mahfoud est quelquun de gentil, de bosseur. Il a eu plein de copines avant et jamais il na eu de problème. Ça ne colle pas avec sa personnalité », raconte son frère, Aziz. Lhistoire damour tortueuse avec Anissa se ponctue, elle, de jeux violents et de procédures judiciaires. Notamment, en mai dernier où la jeune femme de 29 ans porte plainte contre lui pour viol. Il sera cité comme témoin assisté, car les éléments à charge ne semblent pas suffisants. Quelques jours plus tard, le couple se remet ensemble. « Qui irait vivre avec son violeur? » sinterroge Aziz.
Sagissant de cette nouvelle accusation pour laquelle le quadragénaire encourt plusieurs années de prison, sa famille refuse dy croire. « Tout ce quelle dit est faux. Elle veut juste se faire de largent et elle sait que mon frère gagne bien sa vie », assure un autre frère. Certains évoquent la poursuite jusquau-boutiste de leur relation sadomaso. Anissa, dominatrice, naurait pas hésité pas à envoyer son « esclave » en prison. Dautres évoquent une vengeance de la jeune femme, à la suite dun différend survenu le soir ayant précédé le drame dans un club échangiste parisien.
Ce soir-là, ils se rendent dans une boîte du XIXe arrondissement. Une équipe de tournage de Paris Première est présente. Le couple donne son accord pour être filmé. Réticent, Mahfoud participe de mauvaise grâce à cette soirée. Lors de leurs ébats, sous lil de la caméra, avec un autre couple, la perruque de sa compagne tombe malencontreusement.
Peur dêtre reconnue, elle lui aurait alors sifflé : « Tu vas me le payer. » Lui serait rentré à leur domicile, tandis quelle aurait poursuivi la soirée avec le couple. Rentrée au petit matin, elle aurait cherché querelle à son compagnon. Il serait finalement parvenu à la calmer quand il aurait entendu frapper à la porte et découvert les policiers. Guidé par la peur, il aurait pris la fuite.
Aujourdhui, selon des proches, Mahfoud, depuis sa cellule à Bois-dArcy, sinquiète du sort dAnissa. Quant à elle, elle souhaiterait, selon certaines sources, trouver un arrangement.
Source : Le Parisien
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La veille des faits, le couple s'était rendu dans une boîte du XIXe arrondissement. Une équipe de tournage de Paris Première était présente. Le couple avait donné son accord pour être filmé.*
Le reportage sur léchangisme diffusé ce mercredi soir sur Paris Première pourrait apporter un nouvel éclairage à laffaire de Mahfoud. Cet homme de 44 ans a été mis en examen le 13 septembre pour « tentative dhomicide, menaces de mort réitérées, violences et séquestration » sur sa compagne.
Depuis deux ans, lui et Anissa, 29 ans, entretenaient une relation sadomasochiste, qui a atteint son paroxysme le 11 septembre dernier. Ce jour-là, les policiers sont appelés dans un appartement chemin Grand-Choisy à Maurecourt. La femme, réfugiée chez sa voisine, indique que son compagnon la séquestrée, violentée, attachée avec du ruban adhésif et a tenté de létouffer avec un oreiller.
Lhomme, à la vue des forces de lordre, se sauve par les balcons du 4e étage. Il est interpellé en fin de journée. Lors de son audition, il naura de cesse de nier les faits. Ecroué depuis à la maison darrêt de Bois-dArcy, toujours aussi amoureux dAnissa, il plaide non coupable. Ses proches le soutiennent.
Anissa naurait pas hésité à envoyer son « esclave » en prison
« Mahfoud est quelquun de gentil, de bosseur. Il a eu plein de copines avant et jamais il na eu de problème. Ça ne colle pas avec sa personnalité », raconte son frère, Aziz. Lhistoire damour tortueuse avec Anissa se ponctue, elle, de jeux violents et de procédures judiciaires. Notamment, en mai dernier où la jeune femme de 29 ans porte plainte contre lui pour viol. Il sera cité comme témoin assisté, car les éléments à charge ne semblent pas suffisants. Quelques jours plus tard, le couple se remet ensemble. « Qui irait vivre avec son violeur? » sinterroge Aziz.
Sagissant de cette nouvelle accusation pour laquelle le quadragénaire encourt plusieurs années de prison, sa famille refuse dy croire. « Tout ce quelle dit est faux. Elle veut juste se faire de largent et elle sait que mon frère gagne bien sa vie », assure un autre frère. Certains évoquent la poursuite jusquau-boutiste de leur relation sadomaso. Anissa, dominatrice, naurait pas hésité pas à envoyer son « esclave » en prison. Dautres évoquent une vengeance de la jeune femme, à la suite dun différend survenu le soir ayant précédé le drame dans un club échangiste parisien.
Ce soir-là, ils se rendent dans une boîte du XIXe arrondissement. Une équipe de tournage de Paris Première est présente. Le couple donne son accord pour être filmé. Réticent, Mahfoud participe de mauvaise grâce à cette soirée. Lors de leurs ébats, sous lil de la caméra, avec un autre couple, la perruque de sa compagne tombe malencontreusement.
Peur dêtre reconnue, elle lui aurait alors sifflé : « Tu vas me le payer. » Lui serait rentré à leur domicile, tandis quelle aurait poursuivi la soirée avec le couple. Rentrée au petit matin, elle aurait cherché querelle à son compagnon. Il serait finalement parvenu à la calmer quand il aurait entendu frapper à la porte et découvert les policiers. Guidé par la peur, il aurait pris la fuite.
Aujourdhui, selon des proches, Mahfoud, depuis sa cellule à Bois-dArcy, sinquiète du sort dAnissa. Quant à elle, elle souhaiterait, selon certaines sources, trouver un arrangement.
Source : Le Parisien
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