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Manifestation devant la Commission européenne pour Gilad Shalit
Environ 800 personnes ont manifesté jeudi devant le siège des institutions européennes à Bruxelles pour appeler l'UE à agir en faveur de la libération du soldat israélien Gilad Shalit, prisonnier depuis trois ans jour pour jour du Hamas palestinien. "Ce n'est pas une manifestation, c'est une chaîne humaine de solidarité à l'égard d'un jeune homme kidnappé il y a trois ans et qui devrait au minimum être traité conformément aux lois internationales", a déclaré le président de l'association belge de soutien à Gilad Shalit, Maurice Blibaum. "J'ai remis une lettre d'une page écrite de la main du père de Gilad, Noam, adressée au président (de la Commission européenne José Manuel) Barroso", a indiqué M. Blibaum. Il a reçu l'assurance des collaborateurs de M. Barroso que celui-ci, absent de Bruxelles jeudi, "répondrait aux parents". "Dans cette lettre, où il demande la libération de son fils, M. Shalit père demande que durant sa détention il soit au moins traité conformément au droit international", a confié M. Blibaum.
(GFR)
Environ 800 personnes ont manifesté jeudi devant le siège des institutions européennes à Bruxelles pour appeler l'UE à agir en faveur de la libération du soldat israélien Gilad Shalit, prisonnier depuis trois ans jour pour jour du Hamas palestinien. "Ce n'est pas une manifestation, c'est une chaîne humaine de solidarité à l'égard d'un jeune homme kidnappé il y a trois ans et qui devrait au minimum être traité conformément aux lois internationales", a déclaré le président de l'association belge de soutien à Gilad Shalit, Maurice Blibaum. "J'ai remis une lettre d'une page écrite de la main du père de Gilad, Noam, adressée au président (de la Commission européenne José Manuel) Barroso", a indiqué M. Blibaum. Il a reçu l'assurance des collaborateurs de M. Barroso que celui-ci, absent de Bruxelles jeudi, "répondrait aux parents". "Dans cette lettre, où il demande la libération de son fils, M. Shalit père demande que durant sa détention il soit au moins traité conformément au droit international", a confié M. Blibaum.
(GFR)