marée noire BP

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion mam80
  • Date de début Date de début

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
étonnée de voir
- aucun commentaire sur bladi

- aucune réactions véritables de la part des verts en france

pour info
1 tonne de pétrole = 1 600 litres

reprise d'info dans "langue de bois , s'abstenir"
il faudra 165 j de rejet à la mer de pétrole pour que ça corresponde à la dernière marée noire en date : on y est bientôt

mam
 
étonnée de voir
- aucun commentaire sur bladi

- aucune réactions véritables de la part des verts en france

pour info
1 tonne de pétrole = 1 600 litres

reprise d'info dans "langue de bois , s'abstenir"
il faudra 165 j de rejet à la mer de pétrole pour que ça corresponde à la dernière marée noire en date : on y est bientôt

mam


trop occupé a :

- s'insulter entre voisin amateur de foot
- comparé leur pilosité anal
- convertir au christianisme
- s'inventer une vie
et étaler leur fantasme sexuel



pour les verts : trop occupé a se dechirer pour savoir qui sera le chef qui devrais se courber devant le PS en 2012

pour les states : je comprend tjrs pas comment il ont pu autoriser des forages aussi pres des cotes..
 
étonnée de voir
- aucun commentaire sur bladi

- aucune réactions véritables de la part des verts en france

pour info
1 tonne de pétrole = 1 600 litres

reprise d'info dans "langue de bois , s'abstenir"
il faudra 165 j de rejet à la mer de pétrole pour que ça corresponde à la dernière marée noire en date : on y est bientôt

mam

Moi je n'ai qu'une chose à dire c'est un "bon" retour de baton...
 
"Il parait que" pour les forages en mer les compagnies doivent placer un "robinet" que l'on peut fermer en cas de nécessité.
B.P. ne l'a pas fait: économies et recherche du profit maximum!

Honteux!
 
il y a un article que je trouve très intéressant... :


Mensonges, erreurs et imprévisions

Des conditions de sécurité non respectées
Une série d’erreurs et de consignes de sécurité non respectées par BP a provoqué la marée noire qui souille le golfe du Mexique depuis cinq semaines. C’est en tout cas ce qu’a affirmé Mike Williams, le technicien en charge de l’électronique sur la plate-forme Deepwater, lors d’une interview pour la chaîne CBS. Selon lui, BP exerçait depuis plusieurs mois des pressions pour accélérer les travaux en cours sur le site, ignorant les consignes de sécurité. Car chaque journée de retard coûtait 820.000 € à la compagnie. Ainsi, lorsque, quatre semaines avant l’accident du 20 avril, un incident a endommagé le système anti-explosion, celui-ci n’a pas été réparé. Et selon Mike Williams, le jour de l’explosion, un manager de BP aurait demandé d’accélérer la mise en route du puits et de renoncer à un cimentage final.

Des signes avant-coureurs ignorés
L’explosion a été précédée de trois signes avertissant de l’imminence d’un danger ignoré par BP, ont révélé la semaine dernière des élus américains, citant un rapport interne à BP. Le premier avertissement est arrivé « 51 minutes avant l’explosion, lorsque la quantité de liquides sortant du puits est devenue plus importante que celle pompée à l’intérieur du puits ». Dix minutes plus tard, un autre signal s’est déclenché. Bien qu’il ait été fermé pour effectuer un test, « le puits a continué à s’écouler et la pression dans le conduit de forage a augmenté de façon inattendue ». Enfin, le dernier avertissement est intervenu 18 minutes avant l’accident, ont précisé les parlementaires américains Henry Waxman et Bart Stupak. Ces accusations n’ont pas été démenties par BP. Le directeur général de la compagnie, Tony Hayward, a reconnu que « sept défaillances » étaient apparues avant l’explosion de la plate-forme, sans toutefois préciser s’il s’agissait d’erreurs humaines ou de problèmes techniques.

L’ampleur de la catastrophe minimisée
Il est légitime de se demander si BP « a vraiment été complètement honnête sur l’ampleur des dégâts. Il pourrait être dans son intérêt de minimiser les dégâts », a déclaré jeudi Barack Obama. Le président américain a ajouté que son gouvernement allait vérifier les dires du géant britannique. Car depuis l’explosion de la plate-forme, les déclarations de BP sont systématiquement remises en question par les experts. Si la compagnie pétrolière estime que 800.000 litres de brut s’échappent quotidiennement du puits, les experts du gouvernement américains tablent sur 2 à 3 millions de litres. En outre, le 20 mai, BP annonçait pomper 5.000 barils de brut par jour grâce au système de tube mis en place. Quatre jours plus tard, la compagnie est revenue sur ces chiffres et a avoué n’avoir récupéré qu’entre 1.360 et 3.000 barils par jour.
 
CELLE DONT ON NE PARLE PAS
dans le golfe du mexique
 

Pièces jointes

  • article_maree noire 2  EXPLOSION de la plateforme pétrolière DEEPWATER.jpg
    article_maree noire 2 EXPLOSION de la plateforme pétrolière DEEPWATER.jpg
    25.7 KB · Affichages: 46
Retour
Haut