salam
Le mariage des mineurs continue de représenter une des questions juridiques et politiques les plus délicates au Maroc. Même si le nouveau Code de la famille ne l'autorise que sous certaines conditions, ce phénomène ne cesse d'interpeller. La semaine dernière, le Parti de la Justice et du Développement (PJD) a appelé à la Chambre des représentants, à un amendement des articles 20 et 21 de la Mouadawana, relatifs à la question.
Malgré son interdiction par le nouveau Code de la famille, le mariage des mineures reste un phénomène social en nette augmentation au Maroc./DR
Malgré son interdiction par le nouveau Code de la famille, le mariage des mineures reste un phénomène social en nette augmentation au Maroc./DR
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Lentrée en vigueur du nouveau Code de la famille, en 2004, na pas impulsé la révolution sociale escomptée.
Ainsi, malgré le fait que l'âge minimum pour le mariage soit fixé à 18 ans et que les exceptions soient soumises à l'autorisation du juge de la famille, le phénomène du mariage des mineurs est toujours une réalité au Maroc. Il continue de prendre de lampleur, et d'engendrer des dégâts sociaux irrémédiables.
Ainsi, entre abrogation et amendement des articles 20 et 21 du Code de la famille relatifs au mariage des mineurs, la polémique est toujours dactualité.
Le mariage des mineurs continue de représenter une des questions juridiques et politiques les plus délicates au Maroc. Même si le nouveau Code de la famille ne l'autorise que sous certaines conditions, ce phénomène ne cesse d'interpeller. La semaine dernière, le Parti de la Justice et du Développement (PJD) a appelé à la Chambre des représentants, à un amendement des articles 20 et 21 de la Mouadawana, relatifs à la question.
Malgré son interdiction par le nouveau Code de la famille, le mariage des mineures reste un phénomène social en nette augmentation au Maroc./DR
Malgré son interdiction par le nouveau Code de la famille, le mariage des mineures reste un phénomène social en nette augmentation au Maroc./DR
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Lentrée en vigueur du nouveau Code de la famille, en 2004, na pas impulsé la révolution sociale escomptée.
Ainsi, malgré le fait que l'âge minimum pour le mariage soit fixé à 18 ans et que les exceptions soient soumises à l'autorisation du juge de la famille, le phénomène du mariage des mineurs est toujours une réalité au Maroc. Il continue de prendre de lampleur, et d'engendrer des dégâts sociaux irrémédiables.
Ainsi, entre abrogation et amendement des articles 20 et 21 du Code de la famille relatifs au mariage des mineurs, la polémique est toujours dactualité.