TerneT
Noyer le poisson
Le chantier de la Marina de Casablanca avance. Les deux premières tranches, environ 260 000 m² de construction, seront livrées en 2013.
MAROC. Avec son futur palais des congrès, ses tours de bureaux, son port de plaisance, son centre commercial, ses hôtels et ses résidences de luxe, la Marina de Casablanca, encore en chantier, affiche la couleur : devenir un nouveau centre daffaires moderne et touristique.
Depuis le retrait de Sama Dubaï en 2011, la Compagnie générale immobilière (CGI), filiale de la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc (CDG), assure seule laménagement et la viabilisation du projet. Dun coût total de 750 M, celui-ci couvre 26 hectares dont une douzaine gagnés sur la mer : une prouesse technique.
En 2013, 260 000 m² de surface construite (sur un total de 672 000 m²), principalement des bureaux et des appartements, seront livrés : une première tranche au premier semestre, une seconde à la fin de lannée. Le programme se répartit en bureaux (33%), résidentiel (30%), hôtellerie (12%), commerce (15%), équipements de loisirs, services et animation (10%).
Lannée 2013 verra aussi le démarrage des travaux du centre commercial (60 000 m² SHON), de trois unités hôtelières et du palais des congrès.
Quasiment achevé, le port de plaisance doit encore être équipé. Destiné aux navires de luxe, il sera opérationnel en 2015.
Un coup de fouet pour l'économie locale
« Avec Casablanca Marina, nous avons une nouvelle offre aux normes internationales. Un palais des congrès notamment, le plus grand du Maroc, qui pourra accueillir 3 500 personnes. Cest un investissement qui permettra à Casablanca daccueillir dans de très bonnes conditions les entreprises internationales, qui sintéressent au Maroc et qui à travers le Maroc sintéressent aussi à lAfrique », explique MHammed El Merini, directeur général dAl Manar, société daménagement du groupe CGI.
Pour léconomie locale, le chantier de la Marina est un coup de fouet : une cinquantaine dentreprises ont créé 1 500 emplois directs. Parmi elles : des sociétés marocaines et des filiales de grands groupes français (SGTM, la Route Marocaine, Vinci, Cegelec, Colas).
www.econostrum.info
MAROC. Avec son futur palais des congrès, ses tours de bureaux, son port de plaisance, son centre commercial, ses hôtels et ses résidences de luxe, la Marina de Casablanca, encore en chantier, affiche la couleur : devenir un nouveau centre daffaires moderne et touristique.
Depuis le retrait de Sama Dubaï en 2011, la Compagnie générale immobilière (CGI), filiale de la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc (CDG), assure seule laménagement et la viabilisation du projet. Dun coût total de 750 M, celui-ci couvre 26 hectares dont une douzaine gagnés sur la mer : une prouesse technique.
En 2013, 260 000 m² de surface construite (sur un total de 672 000 m²), principalement des bureaux et des appartements, seront livrés : une première tranche au premier semestre, une seconde à la fin de lannée. Le programme se répartit en bureaux (33%), résidentiel (30%), hôtellerie (12%), commerce (15%), équipements de loisirs, services et animation (10%).
Lannée 2013 verra aussi le démarrage des travaux du centre commercial (60 000 m² SHON), de trois unités hôtelières et du palais des congrès.
Quasiment achevé, le port de plaisance doit encore être équipé. Destiné aux navires de luxe, il sera opérationnel en 2015.
Un coup de fouet pour l'économie locale
« Avec Casablanca Marina, nous avons une nouvelle offre aux normes internationales. Un palais des congrès notamment, le plus grand du Maroc, qui pourra accueillir 3 500 personnes. Cest un investissement qui permettra à Casablanca daccueillir dans de très bonnes conditions les entreprises internationales, qui sintéressent au Maroc et qui à travers le Maroc sintéressent aussi à lAfrique », explique MHammed El Merini, directeur général dAl Manar, société daménagement du groupe CGI.
Pour léconomie locale, le chantier de la Marina est un coup de fouet : une cinquantaine dentreprises ont créé 1 500 emplois directs. Parmi elles : des sociétés marocaines et des filiales de grands groupes français (SGTM, la Route Marocaine, Vinci, Cegelec, Colas).
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