Le Maure
Taza avant Gaza
Les autorités marocaines ont annoncé aujourd'hui le démantèlement récent de "deux cellules liées à Al-Qaïda" et l'arrestation de "neuf personnes dont un ressortissant yéménite".
"Deux cellules terroristes liées à Al-Qaïda composées respectivement de quatre et cinq membres ont été dernièrement démantelées", selon un communiqué du ministère de l'Intérieur publié aujourd'hui à Rabat.
Le ressortissant yéménite -dont l'identité n'a pas été précisée- "a un lien étroit avec Al-Qaïda et est recherché par les autorités de son pays", a ajouté la même source.
Parmi les personnes arrêtées figurent également "deux anciens détenus" marocains ayant été condamnés par le passé pour leur implication présumée dans des projets "terroristes", selon la même source.
La date de l'arrestation des suspects n'a pas été précisée mais selon une source sécuritaire, le démantèlement a eu lieu au "cours du mois d'octobre au Maroc". La première cellule, ont indiqué les autorités, était dirigée par un islamiste ayant résidé en Italie. Elle "s'est faite baptiser Front du Jihad sahraoui", toujours selon la même source.
Le deuxième réseau, quant à lui, menait des activités en "matière de recrutement" et "d'envoi de volontaires pour le 'jihad'" en Irak", en "coordination avec des réseaux appartenant à Al-Qaïda".
Le Figaro
"Deux cellules terroristes liées à Al-Qaïda composées respectivement de quatre et cinq membres ont été dernièrement démantelées", selon un communiqué du ministère de l'Intérieur publié aujourd'hui à Rabat.
Le ressortissant yéménite -dont l'identité n'a pas été précisée- "a un lien étroit avec Al-Qaïda et est recherché par les autorités de son pays", a ajouté la même source.
Parmi les personnes arrêtées figurent également "deux anciens détenus" marocains ayant été condamnés par le passé pour leur implication présumée dans des projets "terroristes", selon la même source.
La date de l'arrestation des suspects n'a pas été précisée mais selon une source sécuritaire, le démantèlement a eu lieu au "cours du mois d'octobre au Maroc". La première cellule, ont indiqué les autorités, était dirigée par un islamiste ayant résidé en Italie. Elle "s'est faite baptiser Front du Jihad sahraoui", toujours selon la même source.
Le deuxième réseau, quant à lui, menait des activités en "matière de recrutement" et "d'envoi de volontaires pour le 'jihad'" en Irak", en "coordination avec des réseaux appartenant à Al-Qaïda".
Le Figaro
