Aderrbal
Aime et fais ce que tu veux
À la veille de la cérémonie de prestation de serment du président Abdelaziz Bouteflika, pour un quatrième mandat des médias locaux font état de l'arrestation de ressortissants marocains en Algérie, accusé de semer la Fitna et vouloir changer le régime. Des interpellations qui interviennent alors que la Kabylie est en effervescence.
Cette nouvelle vague d'arrestations dans la communauté marocaine installée en Algérie fait monter la tension car cette fois, l'accusation est beaucoup plus grave, il ne s'agit plus de séjour illégal mais d'espionnage et d'atteinte à la stabilité du pays.
Les trois citoyens marocains accusés d'espionnage travaillaient avec des associés à eux, deux tunisiens et un algérien, dans un bureau de consulting juridique, implanté à la rue Didouche-Mourad à Alger.
Le contre-espionnage algérien a prétendu avoir mis sous surveillance étroite, les trois ressortissants marocains, avant de leur coller cette accusation d’espionnage.
Il aurait été saisi dans le cabinet des trois marocains, des plans de sites dits stratégiques, notamment des mosquées, des établissements scolaires ou des places publiques, des endroits que n’importe qui peut s’en procurer les plans, à l’aide des services Google Earth ou autres.
La police politique algérienne a indiqué aussi, qu’elle a saisi chez les marocains accusés, des formulaires à remplir, destinées à réaliser des sondages auprès des citoyens algériens, une activité un peu trop visible, pour des espions.
On a même accusé les trois marocains, d’avoir constitué un réseau d’espionnage, composé de femmes algériennes, appâtées par des promesses de facilitation d’immigrations vers l’Europe.
Ces femmes devaient en échange, fournir des renseignements aux prétendus espions marocains, reste à savoir quelle classe d'informations sensibles, peuvent détenir, de simples citoyennes algériennes de petites conditions, ne vivant que pour immigrer à l’étranger.
Les trois marocains enlevés par la police politique algérienne, travaillaient en tant que consultants juridiques pour les investisseurs étrangers désirant s’installer en Algérie.
Du côté du Maroc, on ne réagit pas. Face à la multiplication de cas d'arrestation de ressortissants marocains en Algérie, le gouvernement Benkirane observe un silence total. Il n'avait fait, jusqu'à, présent aucun commentaire alors même que de graves accusations sont portées contre le royaume.
Maghrebinfo.fr
Cette nouvelle vague d'arrestations dans la communauté marocaine installée en Algérie fait monter la tension car cette fois, l'accusation est beaucoup plus grave, il ne s'agit plus de séjour illégal mais d'espionnage et d'atteinte à la stabilité du pays.
Les trois citoyens marocains accusés d'espionnage travaillaient avec des associés à eux, deux tunisiens et un algérien, dans un bureau de consulting juridique, implanté à la rue Didouche-Mourad à Alger.
Le contre-espionnage algérien a prétendu avoir mis sous surveillance étroite, les trois ressortissants marocains, avant de leur coller cette accusation d’espionnage.
Il aurait été saisi dans le cabinet des trois marocains, des plans de sites dits stratégiques, notamment des mosquées, des établissements scolaires ou des places publiques, des endroits que n’importe qui peut s’en procurer les plans, à l’aide des services Google Earth ou autres.
La police politique algérienne a indiqué aussi, qu’elle a saisi chez les marocains accusés, des formulaires à remplir, destinées à réaliser des sondages auprès des citoyens algériens, une activité un peu trop visible, pour des espions.
On a même accusé les trois marocains, d’avoir constitué un réseau d’espionnage, composé de femmes algériennes, appâtées par des promesses de facilitation d’immigrations vers l’Europe.
Ces femmes devaient en échange, fournir des renseignements aux prétendus espions marocains, reste à savoir quelle classe d'informations sensibles, peuvent détenir, de simples citoyennes algériennes de petites conditions, ne vivant que pour immigrer à l’étranger.
Les trois marocains enlevés par la police politique algérienne, travaillaient en tant que consultants juridiques pour les investisseurs étrangers désirant s’installer en Algérie.
Du côté du Maroc, on ne réagit pas. Face à la multiplication de cas d'arrestation de ressortissants marocains en Algérie, le gouvernement Benkirane observe un silence total. Il n'avait fait, jusqu'à, présent aucun commentaire alors même que de graves accusations sont portées contre le royaume.
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