Sur la question du Sahara, l'Espagne officielle joue en vérité un jeu trouble depuis des décennies car elle a en vérité des visées boulimiques sur les ressources de poissons en face du Sahara ....et ....sur les possibles ressources pétrolières au large des côtes en face du Sahara.
De plus, l'Espagne officielle sait très bien, qu'une fois le problème du Sahara réglé, ce sera le tour des présides occupés.
C'est aussi la raison pour laquelle l'Algérie officielle ( qui elle aussi rêve de s'approprier le Sahara en utilisant son bébé le Polisario) a été le seul état dit arabo-musulman à soutenir l'Espagne lors du conflit entre le Maroc et l'Espagne lors de l'affaire de l'îlot de Persil / Leïla.
Bref, plus de détails dans l'article ci-dessous :
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Kiosque360. Une nouvelle crise viendrait ternir les relations entre Rabat et Madrid. Le voisin ibérique tente un forcing à l’ONU pour procéder à des prospections pétrolières dans les eaux territoriales entre les Îles Canaries et les côtes marocaines du Sud.
La prospection pétrolière pourrait être à la source d’une nouvelle crise entre le Maroc et l’Espagne. Selon Al Massae, daté de ce lundi 16 mars, la diplomatie marocaine s’est activée dernièrement pour barrer la route à une initiative espagnole à l’ONU visant à obtenir l’extension des eaux territoriales des Îles Canaries. Le Maroc, explique Al Massae, s’est opposé à cette requête espagnole, arguant qu’elle concernait les frontières maritimes des deux pays qui, d’ailleurs, n’ont pas encore été délimitées. La requête espagnole risque de ce fait de déboucher sur une crise sans précédent dans les relations entre Rabat et Madrid, surtout que Paulino Rivero, président du gouvernement autonome canarien, est connu pour ses positions sur le tracé des frontières maritimes.
Selon des analystes interviewés par le journal, cette crise est d’autant plus à craindre que l’Espagne compte remettre sa requête sur le tapis en juillet prochain, son objectif étant d’étendre ses frontières maritimes et de pouvoir prospecter sur une large zone dépassant 296.000 km2.
Mais le jour «J», il faudra à Madrid convaincre la Commission des limites du plateau continental relevant de l’ONU. Sur le terrain, le voisin ibérique veut imposer le fait accompli: le navire-plateforme «Rowan Renaissance», appartenant à la compagnie Repsol, a commencé les prospections pétrolières à 50 km de l’archipel canarien, non loin des îles Lanzarote et Fuera Ventura.
Et ce malgré l’opposition du Maroc, du moment qu'il n’existe aucun tracé des frontières maritimes entre les deux pays.
De plus, l'Espagne officielle sait très bien, qu'une fois le problème du Sahara réglé, ce sera le tour des présides occupés.
C'est aussi la raison pour laquelle l'Algérie officielle ( qui elle aussi rêve de s'approprier le Sahara en utilisant son bébé le Polisario) a été le seul état dit arabo-musulman à soutenir l'Espagne lors du conflit entre le Maroc et l'Espagne lors de l'affaire de l'îlot de Persil / Leïla.
Bref, plus de détails dans l'article ci-dessous :
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Kiosque360. Une nouvelle crise viendrait ternir les relations entre Rabat et Madrid. Le voisin ibérique tente un forcing à l’ONU pour procéder à des prospections pétrolières dans les eaux territoriales entre les Îles Canaries et les côtes marocaines du Sud.
La prospection pétrolière pourrait être à la source d’une nouvelle crise entre le Maroc et l’Espagne. Selon Al Massae, daté de ce lundi 16 mars, la diplomatie marocaine s’est activée dernièrement pour barrer la route à une initiative espagnole à l’ONU visant à obtenir l’extension des eaux territoriales des Îles Canaries. Le Maroc, explique Al Massae, s’est opposé à cette requête espagnole, arguant qu’elle concernait les frontières maritimes des deux pays qui, d’ailleurs, n’ont pas encore été délimitées. La requête espagnole risque de ce fait de déboucher sur une crise sans précédent dans les relations entre Rabat et Madrid, surtout que Paulino Rivero, président du gouvernement autonome canarien, est connu pour ses positions sur le tracé des frontières maritimes.
Selon des analystes interviewés par le journal, cette crise est d’autant plus à craindre que l’Espagne compte remettre sa requête sur le tapis en juillet prochain, son objectif étant d’étendre ses frontières maritimes et de pouvoir prospecter sur une large zone dépassant 296.000 km2.
Mais le jour «J», il faudra à Madrid convaincre la Commission des limites du plateau continental relevant de l’ONU. Sur le terrain, le voisin ibérique veut imposer le fait accompli: le navire-plateforme «Rowan Renaissance», appartenant à la compagnie Repsol, a commencé les prospections pétrolières à 50 km de l’archipel canarien, non loin des îles Lanzarote et Fuera Ventura.
Et ce malgré l’opposition du Maroc, du moment qu'il n’existe aucun tracé des frontières maritimes entre les deux pays.
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