Pour parler, lire et écrire, les Marocains sont confrontés, dès leur plus jeune âge, à plusieurs langues. Cette richesse est-elle une bénédiction ? se demande Fouad Laroui.
Le dernier livre de notre collaborateur Fouad Laroui aurait pu sintituler « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la question des langues au Maroc sans jamais oser le demander ». Troquant les habits du romancier pour ceux de lessayiste, lauteur sest attelé à une mission difficile à laquelle nul navait songé ou, du moins, ne sétait attaqué dune manière aussi limpide, courageuse et argumentée ce qui nexclut pas quelques accès de drôlerie.
De quoi est-il question ? Rien moins que dexpliquer la raison majeure des carences du Maroc en termes de scolarité et dalpha*bétisation, qui le placent loin derrière des pays au niveau de développement économique comparable
http://www.jeuneafrique.com/Article...francaismaroc-schizophrenie-linguistique.html
Le dernier livre de notre collaborateur Fouad Laroui aurait pu sintituler « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la question des langues au Maroc sans jamais oser le demander ». Troquant les habits du romancier pour ceux de lessayiste, lauteur sest attelé à une mission difficile à laquelle nul navait songé ou, du moins, ne sétait attaqué dune manière aussi limpide, courageuse et argumentée ce qui nexclut pas quelques accès de drôlerie.
De quoi est-il question ? Rien moins que dexpliquer la raison majeure des carences du Maroc en termes de scolarité et dalpha*bétisation, qui le placent loin derrière des pays au niveau de développement économique comparable
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