Maroc : un père retrouvé encastré dans un mur, la famille condamnée

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Un drame familial sordide s'est joué à Tanger, où une famille a été condamnée pour le meurtre du père, dont le corps a été retrouvé emmuré dans leur domicile.
Ainsi, le fils aîné, Mohamed A., écope de la prison à perpétuité, tandis que sa mère, Fatima T., a été condamnée à 25 ans de réclusion criminelle. Deux autres frères ont été condamnés à 20 ans de prison ferme, deux autres à 3 ans et un ami du fils à 6 ans.
L'affaire a révélé un enchevêtrement de crimes allant du meurtre à la (…)

- Maroc / Tanger, Procès, Drogues, Homicide

Maroc : un père retrouvé encastré dans un mur, la famille condamnée
 
Comment peux tu espérer t'en sortir en emmurant quelqu'un, couler une personne dans un poteau en béton je veux bien, mais derrière des briques??? En plus ce n'est pas étanche, ça a du vraiment sentir mauvais à un moment.
 
Ça me rappelle la série du ramadan Dar Nsa qui se passait à Tanger où le « chef de famille » avait été « enterré » dans le stah

Regarde la pièce jointe 403600

En Belgique il y a eu un pasteur hongrois qui a tué des membres de sa famille et durant des années ces cadavres sont restés dans l'une de ses propriétés.

Pandy, «c'est Dracula doublé de Raspoutine. La fille du pasteur hongrois avoue sa complicité dans le meurtre des membres de sa famille.​


Sa fille était complice dans l'assassinat de sa mère et ses quatre frères et soeurs ainsi que d'une épouse de son pêre.

Agnès Pandy a finalement avoué. Interpellée en milieu de semaine dernière par la police judiciaire bruxelloise, la fille du pasteur Pandy a craqué jeudi soir, avouant sa participation à l'assassinat de sa propre mère et de quatre autres membres de sa famille.

Les propos d'Agnès Pandy, 39 ans, ont été confrontés ce week-end à ceux de son septuagénaire de père, qui nie depuis son arrestation toute implication dans ces «disparitions».

Agnès, elle, a affirmé avoir tué sa mère «toute seule», et les autres victimes en «collaboration» avec le pasteur.

«C'est Dracula doublé de Raspoutine!» s'est exclamé un inspecteur. Les révélations de la fille aînée du mystérieux pasteur hongrois, rendues publiques samedi, ont surpris les enquêteurs, reconnaît un magistrat du parquet de Bruxelles.

Car Agnès Pandy s'était jusque-là posée en victime de son père; elle avait déposé plainte, en 1992, contre le pasteur pour faits de moeurs.

L'affaire a été classée faute de preuve. Au printemps, alors que la police commençait à s'intéresser aux douteuses activités du septuagénaire, elle se serait ouverte aux enquêteurs, reconnaissant qu'elle suspectait son père d'être impliqué dans la disparition, entre 1986 et 1989, de ses quatre frères et soeurs, de sa mère et de la précédente épouse.

.
 
Comment peux tu espérer t'en sortir en emmurant quelqu'un, couler une personne dans un poteau en béton je veux bien, mais derrière des briques??? En plus ce n'est pas étanche, ça a du vraiment sentir mauvais à un moment.
Au delà de ça
Comment tu peux dormir ou avoir la conscience tranquille en ayant fait ça en fait ?
 
Au delà de ça
Comment tu peux dormir ou avoir la conscience tranquille en ayant fait ça en fait ?

C'est ça qui surprend des gens ordinaires comme nous...même si par accident un malheur arrive...la mauvaise conscience taraude les gens ordinaires et craquent...mais un esprit habité par de mauvaises pensées arrive à vivre avec


.
 

Raya et Sakina​


Au moins 17 femmes kidnapper et tuer dans leurs unique chambre avant d'enterrer leurs corps sous leurs maisons dans les vieux quartiers d'Alexandri


Les sœurs Raya et Sakina (arabe : ريا وسكينة) sont des tueuses en série égyptiennes, responsables du meurtre de près de 17 femmes

Les deux sœurs sont nées en Haute Égypte, Raya est l'aînée de sept ans. Après le décès de leur père, la famille déménage à Beni Suef puis à Kafr El Zayyat (en), où Raya travaille dans la collecte de coton. Elle y épouse Hasb-Allah Said, avec qui elle a une fille nommée Badia ainsi qu'un fils décédé peu de temps après sa naissance. Sakina déménage en 1918 avec son mari dans le quartier Labban à Alexandrie ; l'aînée la rejoint ensuite avec sa famille. Sakina divorce peu après et épouse Mohammed Abdel-Al, leur voisin de l'époque.

Contexte​


L'Egypte est au début du xxe siècle confrontée à d'importantes difficultés économiques, en raison du chômage et des coûts de la Première Guerre mondiale. La prostitution et les débits d'alcools sont, à l'époque, légalisés par l'Empire britannique, ce qui permet à Raya et Sakina d'ouvrir de nombreuses maisons closes et de se lancer dans le proxénétisme.


Entre le 20 décembre 1919 et le 12 novembre 1920, Raya et Sakina, assistées de leurs maris, Hasb-Allah Saïd et Mohamed Abd El-'Al, ainsi que de deux autres complices Orabi Hassan et Abd El-Razik Yossef travaillant comme gardes des maisons closes, kidnappent et tuent 17 femmes égyptiennes avant d'enterrer leurs corps sous leurs maisons dans les vieux quartiers d'Alexandrie

Les victimes sont des prostituées et d'anciennes travailleuses des maisons closes gérées par Raya et Sakina. La plupart connaissent personnellement les deux femmes et sont amies avec elles depuis de nombreuses années. Les deux sœurs et leurs complices procèdent souvent de la même manière. Les deux femmes attirent d'abord la victime dans une des maisons des complices et leur offrent de l'alcool. Les complices masculins se chargent ensuite de maitriser physiquement la victime en restreignant ses mouvements, puis ils la tuent par étouffement à l'aide d'un linge mouillé placé sur le nez et la bouche. Une fois décédée, la victime est dépouillée de ses bijoux, vêtements et objets de valeur, puis enterrée sur le lieu du crime. Les hommes retirent le carrelage du sol, creusent un trou, enterrent le corps puis replacent les carreaux. Les deux sœurs vendent ensuite l'or dérobé à un orfèvre avant de partager le butin avec leurs complices
 
Retour
Haut