FPP75
VIB
Quand il y a de bonnes nouvelles, il ne faut pas hésiter à les relayer
La photo du sourire du petit et de sa maman est magnifique !
L'irrégularité de la procédure d'adoption n'a pas empêché la justice de remettre officiellement le garçonnet retrouvé seul dans la rue, en août, à la femme qui en avait la garde.
«Il est là, ça y est, je suis très très contente. Je vais maintenant le ramener à la maison. On va faire une grande fête». Fatma Ghalem s'est réjouie de la décision d'un juge pour enfants vendredi, de lui remettre officiellement le petit Mohammed, ce garçonnet de 2 ans et demi retrouvé seul dans une cité de Marseille en août, qu'elle avait adopté peu après sa naissance. Après trois mois d'enquête de la justice et des services sociaux, le magistrat a en effet estimé que le petit garçon, placé depuis cet été dans un foyer des quartiers sud de la ville, devait bénéficier de la présence de sa mère adoptive.
Une expertise ADN avait démontré qu'elle n'était pas la mère biologique de l'enfant. Il avait bénéficié d'une procédure de «kefala», c'est-à-dire une délégation de l'autorité parentale qui permet un recueil légal de l'enfant en Algérie, mais qui n'est pas reconnue en France.
Procédure
Personne n'avait réclamé le petit garçon retrouvé seul durant deux semaines jusqu'à ce qu'une cousine de Fatma Ghalem reconnaisse sa photo dans la presse et la prévienne. La jeune femme avait alors expliqué aux policiers être partie dans sa famille en Algérie avec ses quatre enfants biologiques. Mohamed, resté en France à cause d'un problème de passeport, avait été confié à une amie qui lui avait caché la disparition de l'enfant. Cette amie est restée introuvable depuis la révélation de l'affaire. Il semblerait qu'elle ait perdu l'enfant, et que, en situation irrégulière, elle n'ait pas osé se présenter devant les policiers.
«Nous allons maintenant engager une nouvelle procédure afin que Mohamed obtienne le plus légalement du monde des papiers en France, pour simplifier les choses», a précisé l'avocate de Fatma Ghalem.
La photo du sourire du petit et de sa maman est magnifique !
L'irrégularité de la procédure d'adoption n'a pas empêché la justice de remettre officiellement le garçonnet retrouvé seul dans la rue, en août, à la femme qui en avait la garde.
«Il est là, ça y est, je suis très très contente. Je vais maintenant le ramener à la maison. On va faire une grande fête». Fatma Ghalem s'est réjouie de la décision d'un juge pour enfants vendredi, de lui remettre officiellement le petit Mohammed, ce garçonnet de 2 ans et demi retrouvé seul dans une cité de Marseille en août, qu'elle avait adopté peu après sa naissance. Après trois mois d'enquête de la justice et des services sociaux, le magistrat a en effet estimé que le petit garçon, placé depuis cet été dans un foyer des quartiers sud de la ville, devait bénéficier de la présence de sa mère adoptive.
Une expertise ADN avait démontré qu'elle n'était pas la mère biologique de l'enfant. Il avait bénéficié d'une procédure de «kefala», c'est-à-dire une délégation de l'autorité parentale qui permet un recueil légal de l'enfant en Algérie, mais qui n'est pas reconnue en France.
Procédure
Personne n'avait réclamé le petit garçon retrouvé seul durant deux semaines jusqu'à ce qu'une cousine de Fatma Ghalem reconnaisse sa photo dans la presse et la prévienne. La jeune femme avait alors expliqué aux policiers être partie dans sa famille en Algérie avec ses quatre enfants biologiques. Mohamed, resté en France à cause d'un problème de passeport, avait été confié à une amie qui lui avait caché la disparition de l'enfant. Cette amie est restée introuvable depuis la révélation de l'affaire. Il semblerait qu'elle ait perdu l'enfant, et que, en situation irrégulière, elle n'ait pas osé se présenter devant les policiers.
«Nous allons maintenant engager une nouvelle procédure afin que Mohamed obtienne le plus légalement du monde des papiers en France, pour simplifier les choses», a précisé l'avocate de Fatma Ghalem.