LYON3
L Espoir Ne Disparait
Salam Aleykoum
J ouvre ce post pour bien faire la distinction entre le fait de declarer des actes que peut avoir un individu,d actes mecreants et entre le fait de declarer la personne elle-meme mecreante,ce qu il faut bien dissocier.
Un fait connu et définitivement admis dans la croyance des gens de la Sunna et du Regroupement Communautaire (ahlul Sunna wal jamâ`a) est la distinction qui existe entre d'une part le fait de qualifier d'impiété ou de chirk (association dans le culte d'Allah), une croyance, une parole ou un acte et d'autre part celui d'affirmer que tel musulman précis [est effectivement mécréant] parce qu'il adopte une pensée mécréante, commet un acte qui rend mécréant ou prononce une parole impie.
Juger une parole ou un acte comme étant une mécréance c’est énoncer le jugement légal général, mais pour affirmer qu'une personne précise ayant prononcé ou pratiqué une impiété qui exclut de la religion, (par exemple nier un point fondamental de la religion, injurier Allah ou insulter l'Islam), est effectivement mécréante, il faut s'informer parfaitement de la position de cette personne sur ces points, en cherchant à savoir si toutes les conditions requises pour le takfîr sont réunies ou non, et si toutes les entraves possibles à une telle sentence sont réellement absentes. Si donc toutes les conditions nécessaires pour la qualifier de mécréante sont vérifiées chez elle et qu'il n'y a aucune entrave légale à cette procédure, elle est alors jugée mécréante. En revanche, s'il manque au moins une des conditions requises ou s'il existe ne serait-ce qu'une entrave, on ne peut la qualifier de mécréante.
Cheikh Al Islam Ibn Taymiyya –Qu’Allah lui accorde la miséricorde- a dit :
" Le takfîr a des conditions et des entraves qui peuvent ne pas être réunies dans le cas d'une personne précise. En outre, traiter [un acte] de mécréance de manière générale n'implique pas nécessairement qu'on puisse traiter de mécréant l’individu précis qui le commet, sauf si les conditions requises sont présentes et les entraves absentes. Ce qui nous le prouve, c’est que l'Imam Ahmad et la plupart des imams qui ont fait ces déclarations d'ordre général, [à savoir que celui qui dit ou fait telle chose a mécru], n'ont pas eux-mêmes qualifié de mécréantes la plupart des personnes qui avaient précisément proféré ces paroles.
J ouvre ce post pour bien faire la distinction entre le fait de declarer des actes que peut avoir un individu,d actes mecreants et entre le fait de declarer la personne elle-meme mecreante,ce qu il faut bien dissocier.
Un fait connu et définitivement admis dans la croyance des gens de la Sunna et du Regroupement Communautaire (ahlul Sunna wal jamâ`a) est la distinction qui existe entre d'une part le fait de qualifier d'impiété ou de chirk (association dans le culte d'Allah), une croyance, une parole ou un acte et d'autre part celui d'affirmer que tel musulman précis [est effectivement mécréant] parce qu'il adopte une pensée mécréante, commet un acte qui rend mécréant ou prononce une parole impie.
Juger une parole ou un acte comme étant une mécréance c’est énoncer le jugement légal général, mais pour affirmer qu'une personne précise ayant prononcé ou pratiqué une impiété qui exclut de la religion, (par exemple nier un point fondamental de la religion, injurier Allah ou insulter l'Islam), est effectivement mécréante, il faut s'informer parfaitement de la position de cette personne sur ces points, en cherchant à savoir si toutes les conditions requises pour le takfîr sont réunies ou non, et si toutes les entraves possibles à une telle sentence sont réellement absentes. Si donc toutes les conditions nécessaires pour la qualifier de mécréante sont vérifiées chez elle et qu'il n'y a aucune entrave légale à cette procédure, elle est alors jugée mécréante. En revanche, s'il manque au moins une des conditions requises ou s'il existe ne serait-ce qu'une entrave, on ne peut la qualifier de mécréante.
Cheikh Al Islam Ibn Taymiyya –Qu’Allah lui accorde la miséricorde- a dit :
" Le takfîr a des conditions et des entraves qui peuvent ne pas être réunies dans le cas d'une personne précise. En outre, traiter [un acte] de mécréance de manière générale n'implique pas nécessairement qu'on puisse traiter de mécréant l’individu précis qui le commet, sauf si les conditions requises sont présentes et les entraves absentes. Ce qui nous le prouve, c’est que l'Imam Ahmad et la plupart des imams qui ont fait ces déclarations d'ordre général, [à savoir que celui qui dit ou fait telle chose a mécru], n'ont pas eux-mêmes qualifié de mécréantes la plupart des personnes qui avaient précisément proféré ces paroles.