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Mendicité dans nos villes: "Les bébés des mamans qui mendient sont sous somnifères"
Le gang des petites voleuses sévit toujours, même si la police française détiendrait le responsable.
Mais la mendicité est toujours présente dans nos villes et, pour Emmanuelle Praet, il ne faudrait pas y céder.
Le gang des petites voleuses est composé de femmes de pays de l'Est, manipulées par un "parrain", originaire également des pays de l'Est. Une enquête de 2 ans a été menée en France.
Et 22 personnes ont été arrêtées: "la maman, le papa et les enfants", précise Emmanuelle Praet, journaliste au Soir Magazine, sur RTL-TVI. "On reproche à ce parrain d'être allé chercher ces filles en Bosnie.
Certaines sont venues volontairement. Certaines ont été vendues par les parents. Elles sont amenées là où il y a du monde: dans le métro parisien mais le gang des petites voleuses est également connu à Bruxelles.
Et ces petites filles doivent, sous peine de punition corporelle elles sont brûlées ou violées , ramener entre 200 et 300 euros par jour. Et elles ne récupèrent que 10 euros pour elles."
13 000 euros par jour
Les policiers ont calculé que le 'parrain' engrangeait 13 000 euros par jour.
"Une fois traquée par la police, elles donnent toutes le même nom de famille mais on ne peut rien faire", continue la journaliste.
"Car comme elles sont mineures, on n'a pas la possibilité de sanctionner. Elles se disent mineures alors qu'elles sont parfois majeures.
C'est donc impossible d'endiguer ce phénomène." La police se bat mais a du mal à combattre cette tendance.
"Quand ces jeunes filles viennent laver vos parebrises, c'est pour regarder ce qu'il y a dans votre voiture et vous vous faites arracher la portière au prochain feu."
Et de savoir si on peut être rassuré quand on voit un enfant dans les bras de sa maman. "Ces enfants dont les parents mendient sont souvent endormis. On leur donne des somnifères", ajoute Emmanuelle Praet.
http://www.rtl.be/info/belgique/soc...des-mamans-qui-mendient-sont-sous-somniferes-
Le gang des petites voleuses sévit toujours, même si la police française détiendrait le responsable.
Mais la mendicité est toujours présente dans nos villes et, pour Emmanuelle Praet, il ne faudrait pas y céder.
Le gang des petites voleuses est composé de femmes de pays de l'Est, manipulées par un "parrain", originaire également des pays de l'Est. Une enquête de 2 ans a été menée en France.
Et 22 personnes ont été arrêtées: "la maman, le papa et les enfants", précise Emmanuelle Praet, journaliste au Soir Magazine, sur RTL-TVI. "On reproche à ce parrain d'être allé chercher ces filles en Bosnie.
Certaines sont venues volontairement. Certaines ont été vendues par les parents. Elles sont amenées là où il y a du monde: dans le métro parisien mais le gang des petites voleuses est également connu à Bruxelles.
Et ces petites filles doivent, sous peine de punition corporelle elles sont brûlées ou violées , ramener entre 200 et 300 euros par jour. Et elles ne récupèrent que 10 euros pour elles."
13 000 euros par jour
Les policiers ont calculé que le 'parrain' engrangeait 13 000 euros par jour.
"Une fois traquée par la police, elles donnent toutes le même nom de famille mais on ne peut rien faire", continue la journaliste.
"Car comme elles sont mineures, on n'a pas la possibilité de sanctionner. Elles se disent mineures alors qu'elles sont parfois majeures.
C'est donc impossible d'endiguer ce phénomène." La police se bat mais a du mal à combattre cette tendance.
"Quand ces jeunes filles viennent laver vos parebrises, c'est pour regarder ce qu'il y a dans votre voiture et vous vous faites arracher la portière au prochain feu."
Et de savoir si on peut être rassuré quand on voit un enfant dans les bras de sa maman. "Ces enfants dont les parents mendient sont souvent endormis. On leur donne des somnifères", ajoute Emmanuelle Praet.
http://www.rtl.be/info/belgique/soc...des-mamans-qui-mendient-sont-sous-somniferes-
