"Mentir?...je ne sais pas!"

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"Mentir?...je ne sais pas!", c'est le titre d'un l'article paru dans un journal chilien d'une résistante contre la junte de Pinochet tombée entre les griffes de la police et qui s'excusera auprès de ses camarades par ledit article de les avoir dénoncés.

Un article beau, franc, émouvant à en pleurer car si sincère. Hautement probe que la narratrice mérite respect en dépit des conséquences de ses aveux.

Faut-il alors recourir au mensonge quant une situation l'exige?

Là est la question qui vous exposée?
 
Pas aussi évident ma belle. En l'espèce, il vaut mieux se taire. Du moins à mon avis.

bien sur mais tu parlais d"une situation qui l'EXIGEAIT donc oui je préfère mentir plutot que:
blesser quelqu'un
monter les gens les uns contre les autres
envenimer une situation
etc....

si le choix du silence ne m'est pas accordé
 
bien sur mais tu parlais d"une situation qui l'EXIGEAIT donc oui je préfère mentir plutot que:
blesser quelqu'un
monter les gens les uns contre les autres
envenimer une situation
etc....

si le choix du silence ne m'est pas accordé

Aïe, j'ai été mal compris ou je me suis mal exprimé. Il s'agissait de savoir s'il fallait se sacrifier pour taire des renseignements exigés même sous la torture ou bien avouer (d'où le titre du sujet)

Mais aussi, il y a lieu de se taire quand des aveux ne sont pas nécessaires et faire preuve de diplomatie.

Des choix...simplement.
 
Aïe, j'ai été mal compris ou je me suis mal exprimé. Il s'agissait de savoir s'il fallait se sacrifier pour taire des renseignements exigés même sous la torture ou bien avouer (d'où le titre du sujet)

Mais aussi, il y a lieu de se taire quand des aveux ne sont pas nécessaires et faire preuve de diplomatie.

Des choix...simplement.

je n'avais pas compris ça du tout !!
alors je n'aimerais pas etre dans une situation comme celle ci
me taire pour protéger ma famille oui autre chose je ne sais pas ..........


il est clair que c'est préférable de se taire plutot que mentir
 
"Mentir?...je ne sais pas!", c'est le titre d'un l'article paru dans un journal chilien d'une résistante contre la junte de Pinochet tombée entre les griffes de la police et qui s'excusera auprès de ses camarades par ledit article de les avoir dénoncés.

Un article beau, franc, émouvant à en pleurer car si sincère. Hautement probe que la narratrice mérite respect en dépit des conséquences de ses aveux.

Faut-il alors recourir au mensonge quant une situation l'exige?

Là est la question qui vous exposée?


Il vaut mieux se taire dans ce genre de situation (si l'on a assez de courage ou que la torture qu'on vous inflige vous fait mourir rapidement)
c'est la guerre. Ce sont des opposants, des résistants.

Combien de français, d'anglais, de sénégalais, de magrébens, d'américains sont morts sous la torture lors de la dernière guerre 39-45 : nul n'a jamais été certain qu'ils n'aient pas parler, à bout de ce qui est humain de supporter

Je crois que c'est une question sans réponse, en temps de paix,
vraiment sans réponse, vu son contexte particulier

il ne s'agit pas de vouloir ou non mentir
il s'agit de pouvoir supporter l'insupportable
 
Il vaut mieux se taire dans ce genre de situation (si l'on a assez de courage ou que la torture qu'on vous inflige vous fait mourir rapidement)
c'est la guerre. Ce sont des opposants, des résistants.

Combien de français, d'anglais, de sénégalais, de magrébens, d'américains sont morts sous la torture lors de la dernière guerre 39-45 : nul n'a jamais été certain qu'ils n'aient pas parler, à bout de ce qui est humain de supporter

Je crois que c'est une question sans réponse, en temps de paix,
vraiment sans réponse, vu son contexte particulier

il ne s'agit pas de vouloir ou non mentir
il s'agit de pouvoir supporter l'insupportable

Bien sûr! Mais en l'occurrence tu étayes la stratégie guevariste de la guérilla ("prisonniers vous êtes condamnés qui'importe si vous avouez ou pas! Aussi ne sacrifiez pas la révolution en route".
 
il ne s agit pas de sacrifier ou non "la révolution en route",
il s'agit de ne pas sacrifier ses amis, ses copains, ses compagnons d'infortune (ou de combat) (ou de maquis)
C EST UN FOSSE QUI SEPARE LA THEORIE DES BIEN-PENSANT DE LA REALITE HUMAINE
il me semble
 
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