Meridor : "Pas de retour aux frontières de 67"

Meridor : "Pas de retour aux frontières de 67"

"Personne n'attend plus de faveurs de la part du Premier ministre Binyamin Netanyahou que n'en a offert [l'ancien Premier ministre Ehoud] Olmert au [chef de l'Autorité Palestinienne Mahmoud] Abbas". Telles sont les dernières déclarations du ministre des Renseignements, Dan Meridor (Likoud), dans les colonnes du magazine allemand Der Spiegel. L'interview a été publiée mardi, peu de temps avant la visite de Netanyahou à Berlin - l'une de ses destinations européennes cette semaine.

Meridor a notamment souligné la disposition du gouvernement israélien à reprendre les négociations avec les Palestiniens, annoncée dimanche par Netanyahou au conseil des ministres. :D

Il rappelle également le refus d'Abbas de négocier avant un gel complet des constructions d'implantations :rolleyes:. Et ce, malgré trois ans de négociations avec Olmert pendant lesquelles la situation concernant les implantations était pourtant la même.

La position d'Abbas est aujourd'hui très affectée par des problèmes internes, précise cependant le ministre. "Peut-être [Abbas] a-t-il réagi comme cela parce qu'il ne contrôle pas la bande de Gaza, où vit 40 % de la population des territoires et dans laquelle il ne peut même voyager", a-t-il expliqué.

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Par ailleurs, le ministre des Renseignements est revenu sur quelques "fondamentaux" du conflit. Selon lui, l'introduction de la religion, par exemple, dans un conflit historiquement basé sur des idées nationalistes, a beaucoup compliqué les choses. "C'est devenu plus difficile au fil des années. Nous avons toujours été en conflit avec les Arabes sur des théories nationalistes. Mais, depuis la Révolution à Téhéran [1979], le discours a changé : les Iraniens, le Hezbollah et le Hamas nous combattent au nom de la religion."

Meridor insiste d'ailleurs sur le fait que le sort de Jérusalem n'a jamais été une question de religion. "Nous n'avons aucune prétention religieuse sur Jérusalem mais des revendications nationales. Jérusalem est notre capitale."

Aicha64
 
Par ailleurs, le ministre des Renseignements est revenu sur quelques "fondamentaux" du conflit. Selon lui, l'introduction de la religion, par exemple, dans un conflit historiquement basé sur des idées nationalistes, a beaucoup compliqué les choses. "C'est devenu plus difficile au fil des années. Nous avons toujours été en conflit avec les Arabes sur des théories nationalistes. Mais, depuis la Révolution à Téhéran [1979], le discours a changé : les Iraniens, le Hezbollah et le Hamas nous combattent au nom de la religion."

Meridor insiste d'ailleurs sur le fait que le sort de Jérusalem n'a jamais été une question de religion. "Nous n'avons aucune prétention religieuse sur Jérusalem mais des revendications nationales. Jérusalem est notre capitale."

Aicha64

Merci pour ce fourire

:rolleyes:
 
Par ailleurs, le ministre des Renseignements est revenu sur quelques "fondamentaux" du conflit. Selon lui, l'introduction de la religion, par exemple, dans un conflit historiquement basé sur des idées nationalistes, a beaucoup compliqué les choses. "C'est devenu plus difficile au fil des années. Nous avons toujours été en conflit avec les Arabes sur des théories nationalistes. Mais, depuis la Révolution à Téhéran [1979], le discours a changé : les Iraniens, le Hezbollah et le Hamas nous combattent au nom de la religion."

Meridor insiste d'ailleurs sur le fait que le sort de Jérusalem n'a jamais été une question de religion. "Nous n'avons aucune prétention religieuse sur Jérusalem mais des revendications nationales. Jérusalem est notre capitale."

Aicha64

Israel n'était-elle pas la terre de tous les juifs et non pas des israéliens.

Et ils veulent nous faire croire que le grand israel, tant convoité, n'est nullement une ambition religieusse, il répondrait simplement à un besoin démographique.

:rolleyes: :rolleyes:
 
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