Meridor : "Pas de retour aux frontières de 67"
"Personne n'attend plus de faveurs de la part du Premier ministre Binyamin Netanyahou que n'en a offert [l'ancien Premier ministre Ehoud] Olmert au [chef de l'Autorité Palestinienne Mahmoud] Abbas". Telles sont les dernières déclarations du ministre des Renseignements, Dan Meridor (Likoud), dans les colonnes du magazine allemand Der Spiegel. L'interview a été publiée mardi, peu de temps avant la visite de Netanyahou à Berlin - l'une de ses destinations européennes cette semaine.
Meridor a notamment souligné la disposition du gouvernement israélien à reprendre les négociations avec les Palestiniens, annoncée dimanche par Netanyahou au conseil des ministres.
Il rappelle également le refus d'Abbas de négocier avant un gel complet des constructions d'implantations . Et ce, malgré trois ans de négociations avec Olmert pendant lesquelles la situation concernant les implantations était pourtant la même.
La position d'Abbas est aujourd'hui très affectée par des problèmes internes, précise cependant le ministre. "Peut-être [Abbas] a-t-il réagi comme cela parce qu'il ne contrôle pas la bande de Gaza, où vit 40 % de la population des territoires et dans laquelle il ne peut même voyager", a-t-il expliqué.
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1251145111424&pagename=JFrench/JPArticle/ShowFull
"Personne n'attend plus de faveurs de la part du Premier ministre Binyamin Netanyahou que n'en a offert [l'ancien Premier ministre Ehoud] Olmert au [chef de l'Autorité Palestinienne Mahmoud] Abbas". Telles sont les dernières déclarations du ministre des Renseignements, Dan Meridor (Likoud), dans les colonnes du magazine allemand Der Spiegel. L'interview a été publiée mardi, peu de temps avant la visite de Netanyahou à Berlin - l'une de ses destinations européennes cette semaine.
Meridor a notamment souligné la disposition du gouvernement israélien à reprendre les négociations avec les Palestiniens, annoncée dimanche par Netanyahou au conseil des ministres.
Il rappelle également le refus d'Abbas de négocier avant un gel complet des constructions d'implantations . Et ce, malgré trois ans de négociations avec Olmert pendant lesquelles la situation concernant les implantations était pourtant la même.
La position d'Abbas est aujourd'hui très affectée par des problèmes internes, précise cependant le ministre. "Peut-être [Abbas] a-t-il réagi comme cela parce qu'il ne contrôle pas la bande de Gaza, où vit 40 % de la population des territoires et dans laquelle il ne peut même voyager", a-t-il expliqué.
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