Ce faux gouv us préfère donner des milliards de la planche à billets à une entité qui tue les Palestiniens et colonise depuis 1948 voire avant
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Au Mexique, plusieurs milliers de personnes parties du sud du pays à la veille de Noël veulent rejoindre à pied la frontière avec les États-Unis. Des familles entières, venues d'Amérique centrale, ont entamé un «Exode de la Pauvreté», pancartes à la main. C'est la plus longue caravane de migrants de l'année.
Ils sont plus de 7 000 hommes, femmes et enfants, seuls ou en famille, à avoir pris la route au départ de Tapachula, ville au sud du Mexique, à la frontière guatémaltèque. Ils viennent du Honduras, de Colombie, du Venezuela, de Cuba, ou encore d'Haïti et ils fuient la misère dans laquelle ils vivent. Mais au sud du Mexique : les bureaux d'enregistrement de demande d'asile sont entièrement saturées et les emplois à pourvoir se font rare.
Marchant pendant de longues heures, sous un soleil de plomb, bagages et poussettes à la main, ils ont passé les fêtes de Noël en comptant sur les maigres ressources que peuvent leur apporter sur le chemin l'Église catholique ou des riverains, solidaires. L'objectif, pour eux : sensibiliser les autorités à leur sort, quitte à risquer le passage de la frontière avec les États-Unis.
Le secrétaire d'État Anthony Blinken est justement attendu ce mercredi à Mexico pour rencontre le Président Obrador, afin de « discuter de la sécurité aux frontières » – c'est ce qu'annonce le département d'État – et de la possibilité de « rouvrir les points d'entrée sur cette frontière », fermés récemment face à l'afflux de personnes.
De son côté, le Mexique est le troisième pays au monde à enregistrer le plus grand nombre de demandes d'asile cette année, selon le Haut Commissariat aux réfugiés. Juste après l'Allemagne et les États-Unis.
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Au Mexique, plusieurs milliers de personnes parties du sud du pays à la veille de Noël veulent rejoindre à pied la frontière avec les États-Unis. Des familles entières, venues d'Amérique centrale, ont entamé un «Exode de la Pauvreté», pancartes à la main. C'est la plus longue caravane de migrants de l'année.
Ils sont plus de 7 000 hommes, femmes et enfants, seuls ou en famille, à avoir pris la route au départ de Tapachula, ville au sud du Mexique, à la frontière guatémaltèque. Ils viennent du Honduras, de Colombie, du Venezuela, de Cuba, ou encore d'Haïti et ils fuient la misère dans laquelle ils vivent. Mais au sud du Mexique : les bureaux d'enregistrement de demande d'asile sont entièrement saturées et les emplois à pourvoir se font rare.
Marchant pendant de longues heures, sous un soleil de plomb, bagages et poussettes à la main, ils ont passé les fêtes de Noël en comptant sur les maigres ressources que peuvent leur apporter sur le chemin l'Église catholique ou des riverains, solidaires. L'objectif, pour eux : sensibiliser les autorités à leur sort, quitte à risquer le passage de la frontière avec les États-Unis.
Le secrétaire d'État Anthony Blinken est justement attendu ce mercredi à Mexico pour rencontre le Président Obrador, afin de « discuter de la sécurité aux frontières » – c'est ce qu'annonce le département d'État – et de la possibilité de « rouvrir les points d'entrée sur cette frontière », fermés récemment face à l'afflux de personnes.
De son côté, le Mexique est le troisième pays au monde à enregistrer le plus grand nombre de demandes d'asile cette année, selon le Haut Commissariat aux réfugiés. Juste après l'Allemagne et les États-Unis.