Un plan vidéo protection disposant de mille caméras va être lancé à Paris d'ici à la fin 2009, aux abords des gares et des zones à risques, annonce «Le Figaro» ce jeudi.
Le plan sera présenté officiellement le 20 octobre au Conseil de Paris par le préfet de police, Michel Gaudin, croit savoir le quotidien. Contactée par 20minutes.fr, la préfecture n'était pas joignable pour l'instant.
Quadrupler le nombre de caméras
Baptisé «1000 caméras pour Paris», il permettra de quadrupler le nombre de caméras sur la voie publique. Selon le journal, le dispositif qui sera mis en place devrait passer de 330 à plus 1200.
Les lieux de vigilance privilégiés seront les abords des gares, celle du Nord notamment et les zones à risques comme le champ-de-mars ou le 19e arrondissement.
Images conservées trente jours
Selon ce projet, précise le Figaro, «l'objectif n'est pas de couvrir chaque rue, chaque recoin de la ville, mais de mettre des moyens vidéo là où le bon sens l'exige».
Une charte, qui sera proposée par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, prévoit notamment que les images seront conservées trente jours maximum. Le contrôle serait assurée par un comité éthique composé de personnalités nommé à parité par le maire et le préfet.
Avec agence
Le plan sera présenté officiellement le 20 octobre au Conseil de Paris par le préfet de police, Michel Gaudin, croit savoir le quotidien. Contactée par 20minutes.fr, la préfecture n'était pas joignable pour l'instant.
Quadrupler le nombre de caméras
Baptisé «1000 caméras pour Paris», il permettra de quadrupler le nombre de caméras sur la voie publique. Selon le journal, le dispositif qui sera mis en place devrait passer de 330 à plus 1200.
Les lieux de vigilance privilégiés seront les abords des gares, celle du Nord notamment et les zones à risques comme le champ-de-mars ou le 19e arrondissement.
Images conservées trente jours
Selon ce projet, précise le Figaro, «l'objectif n'est pas de couvrir chaque rue, chaque recoin de la ville, mais de mettre des moyens vidéo là où le bon sens l'exige».
Une charte, qui sera proposée par la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, prévoit notamment que les images seront conservées trente jours maximum. Le contrôle serait assurée par un comité éthique composé de personnalités nommé à parité par le maire et le préfet.
Avec agence
