CATASTROPHE - Plusieurs d'entre eux entretenaient des relations extraconjugales...
Il nest pas dit que tous les mineurs, parmi les 33 bloqués dans la mine de San José (Chili) depuis le 5 août dernier, aient envie de sortir de sitôt. Le campement Esperanza («Espérance»), qui accueille leurs familles à l'extérieur de la mine, a vécu des troubles un peu particuliers ces derniers jours, a rapporté jeudi le Daily Telegraph: laffrontement dépouses de mineurs avec leurs maîtresses.
Les autorités chiliennes ont en effet promis une compensation financière de lordre de plusieurs dizaines de milliers deuros pour les familles des mineurs. Ceux-ci devront nommer les personnes à qui ils désirent voir remettre cette somme dargent. Cest devant une telle aubaine quau moins cinq épouses de mineurs ont ainsi vu débarquer sur le camp plusieurs femmes, jusquà quatre pour le même homme, prétendant être leur véritable amour.
Quand les femmes en viennent aux mains
«Il y a eu une grosse tension à la cantine quand une épouse sest jetée sur une femme qui prétendait être la maîtresse de son mari. Nous avons été obligés de les séparer avant quelles nen viennent aux mains», a raconté au quotidien britannique Marta Flores, de la Croix-Rouge.
La plupart des épouses concernées ont découvert à cette occasion les relations extraconjugales de leur mari. «Certains mineurs ont eu des enfants avec plusieurs femmes et ils sont tous arrivés sur le camp pour réclamer leur dû. Jai rencontré cinq familles dans ce cas, mais je suis sûr quil y en a plus», a poursuivi la travailleuse humanitaire. Des fonctionnaires spécialisés dans les questions familiales ont alors été réquisitionnés sur le campement Esperanza afin dapporter de laide aux épouses confrontées à linfidélité de leur mari.
Quatre partenaires pour un seul mineur
Le cas le plus complexe est celui dun mineur qui, outre sa partenaire officielle, a poursuivi une relation avec une femme dont il na jamais divorcé, une autre avec qui il a eu un enfant et une quatrième personne qui prétend être son actuelle petite amie. Et elles sont toutes venues prendre de ses nouvelles. «Cest un cauchemar logistique que dessayer de les tenir à part les unes des autres», :langue: a déploré Marta Flores.
Afin déviter dajouter plus de stress aux mineurs bloqués 688 mètres sous terre et qui ne sortiront pas de leur refuge avant plusieurs mois, léquipe de psychologues du camp est ainsi obligée de lire toutes les lettres qui leur sont envoyées. Les retrouvailles risquent sans doute dêtre encore plus rudes à la sortie
20 Minutes
Il nest pas dit que tous les mineurs, parmi les 33 bloqués dans la mine de San José (Chili) depuis le 5 août dernier, aient envie de sortir de sitôt. Le campement Esperanza («Espérance»), qui accueille leurs familles à l'extérieur de la mine, a vécu des troubles un peu particuliers ces derniers jours, a rapporté jeudi le Daily Telegraph: laffrontement dépouses de mineurs avec leurs maîtresses.
Les autorités chiliennes ont en effet promis une compensation financière de lordre de plusieurs dizaines de milliers deuros pour les familles des mineurs. Ceux-ci devront nommer les personnes à qui ils désirent voir remettre cette somme dargent. Cest devant une telle aubaine quau moins cinq épouses de mineurs ont ainsi vu débarquer sur le camp plusieurs femmes, jusquà quatre pour le même homme, prétendant être leur véritable amour.
Quand les femmes en viennent aux mains
«Il y a eu une grosse tension à la cantine quand une épouse sest jetée sur une femme qui prétendait être la maîtresse de son mari. Nous avons été obligés de les séparer avant quelles nen viennent aux mains», a raconté au quotidien britannique Marta Flores, de la Croix-Rouge.
La plupart des épouses concernées ont découvert à cette occasion les relations extraconjugales de leur mari. «Certains mineurs ont eu des enfants avec plusieurs femmes et ils sont tous arrivés sur le camp pour réclamer leur dû. Jai rencontré cinq familles dans ce cas, mais je suis sûr quil y en a plus», a poursuivi la travailleuse humanitaire. Des fonctionnaires spécialisés dans les questions familiales ont alors été réquisitionnés sur le campement Esperanza afin dapporter de laide aux épouses confrontées à linfidélité de leur mari.
Quatre partenaires pour un seul mineur
Le cas le plus complexe est celui dun mineur qui, outre sa partenaire officielle, a poursuivi une relation avec une femme dont il na jamais divorcé, une autre avec qui il a eu un enfant et une quatrième personne qui prétend être son actuelle petite amie. Et elles sont toutes venues prendre de ses nouvelles. «Cest un cauchemar logistique que dessayer de les tenir à part les unes des autres», :langue: a déploré Marta Flores.
Afin déviter dajouter plus de stress aux mineurs bloqués 688 mètres sous terre et qui ne sortiront pas de leur refuge avant plusieurs mois, léquipe de psychologues du camp est ainsi obligée de lire toutes les lettres qui leur sont envoyées. Les retrouvailles risquent sans doute dêtre encore plus rudes à la sortie
20 Minutes