Lundi 24 décembre 2012, Al Adl Wal Ihsane a annoncé avoir choisi Mohamed El Abbadi secrétaire général du mouvement.
Un poste nouvellement créé à la suite du décès, le 13 décembre 2012, du fondateur du mouvement, Abdessalam Yassine qui garde pour toujours le titre de guide. [/b]
Si lon connaît plus le parcours du secrétaire général adjoint, Fathallah Arsalane, homme médiatique qui avait pendant des années été le porte parole de la Jamaâ, M. Abbadi, lui, reste discret.
Loin des feux des projecteurs.
Né en 1949 dans la ville dAl Hoceïma, dans le Nord du Maroc, dans une famille profondément religieuse, il a appris le coran à 12 ans.
Après ses études secondaires, il entame, en 1970, un cursus dans la charia.
(....)
En 1975, il commence à enseigner les sciences charaïques à lInstitut des Habous de la ville dAzemmour.
Déjà, son militantisme était connu de tous.
(...)
Il commence à prêcher dans nombre de mosquées du royaume. En 1981, El Abbadi est, aux côtés de Yassine, un des membres fondateurs dAl Adl Wal Ihsane.
En parallèle, El Abbadi poursuit une carrière dans lenseignement.
Il intègre, en 1977, lInstitut de Formation des Enseignants afin de pouvoir donner des cours la langue arabe.
Vers 1982, il obtient finalement une licence à la faculté de principologie de la ville de Tétouan.
Ainsi, plus tard, il enseigne les sciences islamiques dans la ville dOujda. Mais son actualité est surtout politique.
En 1989, El Abbadi est interdit de prêche par les autorités.
Une année plus tard, en 1990, il est condamné à deux ans de prison ferme à cause de ses activités.
Et, pendant huit ans, il sera interdit denseigner.
En 2000, il est de nouveau condamné, à trois ans de prison avec sursis, pour avoir participé à des manifestations à loccasion de la Journée mondiale des droits humains..
En 2006, la maison dEl Abbadi est mise sous scellés décision qui court jusquà aujourdhui à cause de cours de prédication quil y donnait.
MAP
Un poste nouvellement créé à la suite du décès, le 13 décembre 2012, du fondateur du mouvement, Abdessalam Yassine qui garde pour toujours le titre de guide. [/b]
Si lon connaît plus le parcours du secrétaire général adjoint, Fathallah Arsalane, homme médiatique qui avait pendant des années été le porte parole de la Jamaâ, M. Abbadi, lui, reste discret.
Loin des feux des projecteurs.
Né en 1949 dans la ville dAl Hoceïma, dans le Nord du Maroc, dans une famille profondément religieuse, il a appris le coran à 12 ans.
Après ses études secondaires, il entame, en 1970, un cursus dans la charia.
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En 1975, il commence à enseigner les sciences charaïques à lInstitut des Habous de la ville dAzemmour.
Déjà, son militantisme était connu de tous.
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Il commence à prêcher dans nombre de mosquées du royaume. En 1981, El Abbadi est, aux côtés de Yassine, un des membres fondateurs dAl Adl Wal Ihsane.
En parallèle, El Abbadi poursuit une carrière dans lenseignement.
Il intègre, en 1977, lInstitut de Formation des Enseignants afin de pouvoir donner des cours la langue arabe.
Vers 1982, il obtient finalement une licence à la faculté de principologie de la ville de Tétouan.
Ainsi, plus tard, il enseigne les sciences islamiques dans la ville dOujda. Mais son actualité est surtout politique.
En 1989, El Abbadi est interdit de prêche par les autorités.
Une année plus tard, en 1990, il est condamné à deux ans de prison ferme à cause de ses activités.
Et, pendant huit ans, il sera interdit denseigner.
En 2000, il est de nouveau condamné, à trois ans de prison avec sursis, pour avoir participé à des manifestations à loccasion de la Journée mondiale des droits humains..
En 2006, la maison dEl Abbadi est mise sous scellés décision qui court jusquà aujourdhui à cause de cours de prédication quil y donnait.
MAP