Avec Tarek RAMADAN la presse nous avait habitué au prétendu langage ambigu de l'intellectuel. Le double langage. Celui que l'on adresse à l'occidental pour le berner et que l'on délivre aux musulmans pour mieux les radicaliser. FOUREST en la matière a cédé le pas à LUZ qui nous présente un Mohamed dont la moustache est une langue double. La duplicité du langage appelle à oublier la larme de crocodile , elle évoque la bifidité diabolique . Mohamed ne serait que Satan.