C'est drole en France, les journaliste tourne sur 3 sujets dans l'année qu'il cuisine à toutes les sauces.
Mohamed Merah 9ème épisode saison 2 :
Agression antisémite dans un train contre un élève de l'école visée par Mohamed Merah
Deux jeunes ont été interpellés jeudi à Lyon après la violente agression mercredi soir dans un train Toulouse-Lyon d'un élève de l'école juive de Toulouse où quatre juifs avaient été tués par Mohamed Merah, un mois après une attaque contre de jeunes juifs dans la banlieue de Lyon.
Les deux jeunes hommes, âgés d'environ 18 ans, ont été interpellés peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue, selon une source policière.
Les identités des deux agresseurs, qui avaient été contrôlés dans le train, "étaient connues", selon le ministère, mais ils n'avaient pas pu être interpellés à leur descente du train. "Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", poursuit le ministère de l'Intérieur, qui juge que "ces actes d'une extrême violence sont inadmissibles".
Scolarisé à l'école Ozar Hatorah de Toulouse, l'adolescent rentrait dans sa famille à Lyon. Portant une étoile de David en pendentif, il a alors été pris à partie et insulté par ses deux agresseurs.
"L'adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par ces deux mêmes individus qui l'ont roué de coups", souligne le ministère.
Souffrant d'une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme de 17 ans a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon, où une enquête a été ouverte. Son avocat est Me Alain Jakubowicz, avocat lyonnais et président de la Licra.
Ozar Hatorah est l'école dans laquelle Mohamed Merah avait tué le 19 mars trois enfants et un père de famille.
Début juin, trois jeunes juifs portant la kippa avaient été agressés à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon. Ces jeunes hommes se rendaient à un office religieux dans une école juive lorsqu'ils avaient été agressés à coups de marteau et de barre de fer. Quatre participants présumés à cette agression antisémite ont été interpellés et mis en examen pour "violences aggravées".
Après cette agression, les représentants de la communauté juive s'étaient inquiétés d'une recrudescence des actes antisémites depuis les tueries perpétrées par Mohamed Merah. Les recevant, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'était employé à les rassurer, promettant des mesures de sécurité "renforcées".
Selon l'Intérieur, les actes et menaces antisémites ont augmenté de 46% de janvier à avril 2012 par rapport à l'an dernier. Mais après un pic en mars dans le contexte des tueries de militaires et d'enfants juifs ainsi que d'un père à Montauban et Toulouse, la tendance des autres mois est stable.
Le Crif cite "90 actes recensés par le ministère de l'Intérieur dans les dix jours qui ont suivi" la tuerie de Toulouse et "148 actes entre le 19 mars et le 30 avril" relevés par le Service de protection de la communauté juive.
Jeudi, le ministère s'est à nouveau dit déterminé "à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu'est l'antisémitisme", "une offense aux valeurs et à l'histoire de notre République".
"Les lois de la République prévoient en réponse des sanctions sévères", met en garde le ministère.
M6 actualité
Mohamed Merah 9ème épisode saison 2 :
Agression antisémite dans un train contre un élève de l'école visée par Mohamed Merah
Deux jeunes ont été interpellés jeudi à Lyon après la violente agression mercredi soir dans un train Toulouse-Lyon d'un élève de l'école juive de Toulouse où quatre juifs avaient été tués par Mohamed Merah, un mois après une attaque contre de jeunes juifs dans la banlieue de Lyon.
Les deux jeunes hommes, âgés d'environ 18 ans, ont été interpellés peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue, selon une source policière.
Les identités des deux agresseurs, qui avaient été contrôlés dans le train, "étaient connues", selon le ministère, mais ils n'avaient pas pu être interpellés à leur descente du train. "Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", poursuit le ministère de l'Intérieur, qui juge que "ces actes d'une extrême violence sont inadmissibles".
Scolarisé à l'école Ozar Hatorah de Toulouse, l'adolescent rentrait dans sa famille à Lyon. Portant une étoile de David en pendentif, il a alors été pris à partie et insulté par ses deux agresseurs.
"L'adolescent a ensuite été agressé au niveau de la plate-forme des toilettes par ces deux mêmes individus qui l'ont roué de coups", souligne le ministère.
Souffrant d'une interruption temporaire de travail de huit jours, le jeune homme de 17 ans a déposé plainte dans la nuit au commissariat de Lyon, où une enquête a été ouverte. Son avocat est Me Alain Jakubowicz, avocat lyonnais et président de la Licra.
Ozar Hatorah est l'école dans laquelle Mohamed Merah avait tué le 19 mars trois enfants et un père de famille.
Début juin, trois jeunes juifs portant la kippa avaient été agressés à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon. Ces jeunes hommes se rendaient à un office religieux dans une école juive lorsqu'ils avaient été agressés à coups de marteau et de barre de fer. Quatre participants présumés à cette agression antisémite ont été interpellés et mis en examen pour "violences aggravées".
Après cette agression, les représentants de la communauté juive s'étaient inquiétés d'une recrudescence des actes antisémites depuis les tueries perpétrées par Mohamed Merah. Les recevant, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'était employé à les rassurer, promettant des mesures de sécurité "renforcées".
Selon l'Intérieur, les actes et menaces antisémites ont augmenté de 46% de janvier à avril 2012 par rapport à l'an dernier. Mais après un pic en mars dans le contexte des tueries de militaires et d'enfants juifs ainsi que d'un père à Montauban et Toulouse, la tendance des autres mois est stable.
Le Crif cite "90 actes recensés par le ministère de l'Intérieur dans les dix jours qui ont suivi" la tuerie de Toulouse et "148 actes entre le 19 mars et le 30 avril" relevés par le Service de protection de la communauté juive.
Jeudi, le ministère s'est à nouveau dit déterminé "à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu'est l'antisémitisme", "une offense aux valeurs et à l'histoire de notre République".
"Les lois de la République prévoient en réponse des sanctions sévères", met en garde le ministère.
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