mon père est mort hier à l'âge de 86 ans, et il n'a jamais accepté l'islam !
le jour même de sa mort, j'ai passé plus de deux heures avec lui pour essayer de lui faire juste dire "oui" (il avait du mal à parler et à rester lucide) en lui demandant s'il témoignait qu'il n'y avait pas de dieu digne d'être adoré en dehors d'allah et que mohammed était le messager d'allah, mais il n'a même pas prononcé ce simple "oui" !
c'est un vrai malheur pour ma mère (ça ne fait que 8 jours qu'elle est musulmane) et pour moi !
j'irai l'enterrer mais je serais seul à son enterrement !
il n'a plus de famille en france à part ma mère, ma femme et mes enfants que je n'emmenerais pas assister à ce malheur (être enterré sans prières, ni invocations) !
d'ailleurs mon père a lui même laissé un courrier dans lequel il disait ne pas vouloir de "cérémonie religieuse" le jour de son enterrement !
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allah avait révélé à propos d'abou talib, l'oncle du prophète (salallahou alaihi wa sallam) le Verset 56 du chapitre 28, dans lequel le Très Haut dit :
« Certes tu (Mohammad) ne guide pas celui que tu aimes, mais c’est Allah qui guide qui Il veut… »
Nous savons que le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) perdit son père avant même sa naissance, et qu’il perdit sa mère à l’âge de 6 ans.
Mais Il (salallahou alaihi wa sallam) a quand même trouvé dans ces premières années un espace d’affection à travers 2 êtres qui le chérissaient : son grand-père, Abdoul Mouttalib, puis à la mort de ce dernier, son oncle Abou Talib.
C’est ce même oncle Abou Talib qui va réellement accompagner et protéger le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) lorsqu’Il va rencontrer ses premières difficultés dans sa mission de Prophète.
Il lui sera d’un grand soutien face à l’adversité des infidèles de Makkah. C’est donc tout naturellement que le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) vouait à cet oncle un attachement particulier.
Mais une chose l’attristait également : ce dernier n’avait toujours pas embrassé l’Islam.
Il est rapporté que, lorsque Abou Talib était sur le point de mourir, le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) l’invita une fois de plus vers l’Islam, en lui disant :
« Ô oncle ! Dis ! Il n’y a point de Dieu à part Allah, une parole par laquelle je témoignerai en ta faveur auprès d’Allah »
Mais Abou Talib refusa. Le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) dit alors :
« J’implorerai le Pardon en ta faveur tant que cela ne me sera pas interdit ».
Le Très Haut révéla alors ce verset :
« Certes, tu ne guides pas celui que tu aimes, mais c’est Allah qui guide qui Il veut …»
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2:155: Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants,
2:156: qui disent, quand un malheur les atteint: ‹Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons›.
2:157: Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés.
‹Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons›.
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et je suis reconnaissant à allah d'avoir guidé ma mère qui surmonte cette épreuve avec beaucoup de patience, allahoumma barik !
Louange à Allah qui nous a guidés à ceci. Nous n'aurions pas été guidés, si Allah ne nous avait pas guidés (7:43)
le jour même de sa mort, j'ai passé plus de deux heures avec lui pour essayer de lui faire juste dire "oui" (il avait du mal à parler et à rester lucide) en lui demandant s'il témoignait qu'il n'y avait pas de dieu digne d'être adoré en dehors d'allah et que mohammed était le messager d'allah, mais il n'a même pas prononcé ce simple "oui" !
c'est un vrai malheur pour ma mère (ça ne fait que 8 jours qu'elle est musulmane) et pour moi !
j'irai l'enterrer mais je serais seul à son enterrement !
il n'a plus de famille en france à part ma mère, ma femme et mes enfants que je n'emmenerais pas assister à ce malheur (être enterré sans prières, ni invocations) !
d'ailleurs mon père a lui même laissé un courrier dans lequel il disait ne pas vouloir de "cérémonie religieuse" le jour de son enterrement !
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allah avait révélé à propos d'abou talib, l'oncle du prophète (salallahou alaihi wa sallam) le Verset 56 du chapitre 28, dans lequel le Très Haut dit :
« Certes tu (Mohammad) ne guide pas celui que tu aimes, mais c’est Allah qui guide qui Il veut… »
Nous savons que le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) perdit son père avant même sa naissance, et qu’il perdit sa mère à l’âge de 6 ans.
Mais Il (salallahou alaihi wa sallam) a quand même trouvé dans ces premières années un espace d’affection à travers 2 êtres qui le chérissaient : son grand-père, Abdoul Mouttalib, puis à la mort de ce dernier, son oncle Abou Talib.
C’est ce même oncle Abou Talib qui va réellement accompagner et protéger le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) lorsqu’Il va rencontrer ses premières difficultés dans sa mission de Prophète.
Il lui sera d’un grand soutien face à l’adversité des infidèles de Makkah. C’est donc tout naturellement que le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) vouait à cet oncle un attachement particulier.
Mais une chose l’attristait également : ce dernier n’avait toujours pas embrassé l’Islam.
Il est rapporté que, lorsque Abou Talib était sur le point de mourir, le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) l’invita une fois de plus vers l’Islam, en lui disant :
« Ô oncle ! Dis ! Il n’y a point de Dieu à part Allah, une parole par laquelle je témoignerai en ta faveur auprès d’Allah »
Mais Abou Talib refusa. Le Prophète (salallahou alaihi wa sallam) dit alors :
« J’implorerai le Pardon en ta faveur tant que cela ne me sera pas interdit ».
Le Très Haut révéla alors ce verset :
« Certes, tu ne guides pas celui que tu aimes, mais c’est Allah qui guide qui Il veut …»
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2:155: Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants,
2:156: qui disent, quand un malheur les atteint: ‹Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons›.
2:157: Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés.
‹Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons›.
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et je suis reconnaissant à allah d'avoir guidé ma mère qui surmonte cette épreuve avec beaucoup de patience, allahoumma barik !
Louange à Allah qui nous a guidés à ceci. Nous n'aurions pas été guidés, si Allah ne nous avait pas guidés (7:43)
rie pour lui