Tupepamtest
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Salam Arlykoum, Bonsoir
Ce week-end, le gouvernement a fait publier un nouveau décret portant sur la lutte contre le financement du terrorisme.
Il prévoit différentes mesures, qui intéressent notamment la « monnaie électronique anonyme ».
Ce texte concerne tous les émetteurs de monnaie électronique et leurs distributeurs, les établissements de crédit, les sociétés de financement, mais aussi les consommateurs ainsi que toute personne qui transfère physiquement des capitaux à partir d’un certain seuil.
Cet arrêté se place dans la lignée du projet de loi contre le financement du crime organisé qui avait déjà eu pour ambition « de limiter les possibilités d’utilisation des cartes prépayées à des fins illicites en limitant la capacité d’emport des cartes et en assurant la traçabilité des opérations ».
Extension des pouvoirs de TRACFIN Première disposition notable, l’extension des pouvoirs de Tracfin, un service du renseignement œuvrant contre le blanchiment d’argent.
Ses agents spécialement habilités pourront dorénavant accéder au fichier des personnes recherchées.
Selon les règles en vigueur, « sont inscrites dans le fichier, à la demande des services et unités de police judiciaire ou des autorités judiciaires, les personnes faisant l'objet d'une recherche pour les besoins d'une enquête de police judiciaire ». Ce fichier est également nourri par informations détenues par les autorités administratives.
On y trouve par exemple les noms des personnes qui constitueraient une menace pour l’ordre public susceptible de justifier un refus d’accès au territoire français, les mineurs qui font l’objet d’une opposition à la sortie du même territoire ou encore « les personnes faisant l'objet de recherches pour prévenir des menaces graves pour la sécurité publique ou la sûreté de l'État », du moins si « des informations ou des indices réels ont été recueillis à leur égard ». Monnaie électronique et obligation de vigilance Autre apport du décret, il supprime l’obligation de vigilance à l’encontre des intermédiaires de paiement, « pour autant qu'il n'existe pas de soupçons de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ».
Ce week-end, le gouvernement a fait publier un nouveau décret portant sur la lutte contre le financement du terrorisme.
Il prévoit différentes mesures, qui intéressent notamment la « monnaie électronique anonyme ».
Ce texte concerne tous les émetteurs de monnaie électronique et leurs distributeurs, les établissements de crédit, les sociétés de financement, mais aussi les consommateurs ainsi que toute personne qui transfère physiquement des capitaux à partir d’un certain seuil.
Cet arrêté se place dans la lignée du projet de loi contre le financement du crime organisé qui avait déjà eu pour ambition « de limiter les possibilités d’utilisation des cartes prépayées à des fins illicites en limitant la capacité d’emport des cartes et en assurant la traçabilité des opérations ».
Extension des pouvoirs de TRACFIN Première disposition notable, l’extension des pouvoirs de Tracfin, un service du renseignement œuvrant contre le blanchiment d’argent.
Ses agents spécialement habilités pourront dorénavant accéder au fichier des personnes recherchées.
Selon les règles en vigueur, « sont inscrites dans le fichier, à la demande des services et unités de police judiciaire ou des autorités judiciaires, les personnes faisant l'objet d'une recherche pour les besoins d'une enquête de police judiciaire ». Ce fichier est également nourri par informations détenues par les autorités administratives.
On y trouve par exemple les noms des personnes qui constitueraient une menace pour l’ordre public susceptible de justifier un refus d’accès au territoire français, les mineurs qui font l’objet d’une opposition à la sortie du même territoire ou encore « les personnes faisant l'objet de recherches pour prévenir des menaces graves pour la sécurité publique ou la sûreté de l'État », du moins si « des informations ou des indices réels ont été recueillis à leur égard ». Monnaie électronique et obligation de vigilance Autre apport du décret, il supprime l’obligation de vigilance à l’encontre des intermédiaires de paiement, « pour autant qu'il n'existe pas de soupçons de blanchiment de capitaux ou de financement du terrorisme ».