Morale d'une histoire

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Ici posté vos histoires (grande ou petite, belle ou moche) possédant une moralité (quelle soit sérieuse ou humoristique).

C'est l'histoire d'un jeune homme de 22 ans travaillant en intérim dans une entreprise, lors de la pause, il se retrouve avec ses collègues autour de la table, durant la discussion, le sujet tourne à "la vie", un homme dit avec ferveur "la vie c'est marche ou crève ! c'est comme ça, si tu t'impose pas on te marche dessus, c'est cruel mais c'est la vie" le jeune homme affiche alors sa contestation "moi je pense que non, si chacun étais un peu moins égoïste et plus honnête la vie serait pas parfaite mais plus vivable". Face à ça, l'homme conteste : "Ecoute j'ai 30 ans, 15 ans de métier ! toi t'es un bleu bite qui rêve les yeux ouvert et en plein jour avec tes histoires, alors c'est pas toi qui va m'apprendre ce que c'est que la vie"...ridiculisé, le jeune homme se tais...

2 ans passe, l'homme de 30 ans a perdu son travail, c'est l'hiver et le vent est glacial, l'homme pour faire des économies, va au resto du coeur, la recherche d'un taf est très dur. Arrivée au resto du coeur, il tourne autour des tables, placé en U, pour prendre de quoi nourrir sa famille, jusqu'au moment ou un jeune volontaire du resto, cacher derrière son écharpe lui tend un paquet de coquillette ! discrètement l'homme réponds "merci", mais en prenant le paquet, l'homme s'aperçoit que le jeune ne lâche pas le paquet ! le jeune alors enlève sont écharpe et répond "de la part d'un bleu bite qui rêve les yeux ouvert et en plein jour..." ;)
 
Qui choisis-tu ? (Les trois vieillards)




Une femme arrosait le jardin de sa maison quand tout d'un coup elle vit trois vieillards lui paraissant remplis d'expérience de la vie à l'entrée de sa maison. Elle ne les connaissait pas mais leur dit :

- Je ne vous connais pas mais vous devez avoir faim. S'il vous plaît, entrez chez moi pour manger un morceau

Ils lui demandèrent :

-Ton mari est- il à la maison?

-Non, il n'y est pas, répondit-elle.

- Alors nous ne pouvons pas entrer, lui dirent-ils.

Quand arrive enfin le mari, sa femme lui fait état de la situation.

- Alors, qu'ils rentrent maintenant puisque je suis arrivé !

La femme sortit pour inviter les vieillards de nouveau à sa table, puisqu'ils étaient encore là.

-Nous ne pouvons pas entrer ensemble, répliquent les petits vieux.

La femme tout étonnée leur demanda :

- Pourquoi?

L'un des trois s'avança donc pour lui expliquer en commençant par se désigner.

- Je suis la Richesse, dit-il.

Puis il présente le second qui est Bonheur et enfin le dernier qui est Amour.

- Maintenant, lui dirent-ils, retourne pour choisir avec ton mari lequel de nous trois devra rentrer et dîner avec vous.

La femme rentre à la maison et raconte à son mari ce que les vieux viennent de lui dire. L'homme s'éclate de contentement et dit:

- Que de chance avons-nous. Que vienne la Richesse, ainsi nous aurons tout ce que nous voulons.

Son épouse pourtant n'était pas de cet avis:

- Et pourquoi pas la joie de préférence?

La fille qui, dans un coin, écoutait arriva tout en courant.

- Ne serait-il pas mieux d'inviter l'Amour? Notre foyer serait toujours rempli d'Amour.

- Écoutons ce que dit notre fille, dit le mari à sa femme, va au dehors et invite l'Amour à rentrer chez nous.

La femme sortit et demande:

- Lequel de vous est Amour? Qu'il vienne et dîne avec nous.

Amour commençait donc à s'avancer en direction de la maison.

Quand les deux autres se mirent à le suivre.

Surprise, la dame demande à Richesse et Bonheur:

- Je n'ai invité que Amour. Pourquoi venez vous aussi?.

Les vieux répondirent ensemble:

- Si tu avais invité Richesse ou Bonheur les 2 autres resteraient dehors, mais maintenant que tu as invité à l'Amour. Partout ou va l'Amour, nous devons y allons avec lui.

N'importe où, il y a de l'Amour il y aura aussi la Richesse et le Bonheur.

MON SOUHAIT POUR TOI. . .

Où il y a la douleur, je te souhaite paix et joie.

Quand la foi te manquerait et que tu serais désorienté, je te souhaite une entière confiance en tes capacités.

Là ou il y a la peur, je te souhaite amitié et valeur.
 
Mon histoire favorite: LES TROIS BŒUFS ET LE LION

"Trois bœufs paissaient toujours ensemble. Un lion voulait les dévorer ; mais leur union l’en empêchait. Alors il les brouilla par des discours perfides et les sépara les uns des autres ; dès lors, les trouvant isolés, il les dévora l’un après l’autre."

Si tu désires vraiment vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis, mais aie confiance en tes amis, et conserve-les.
http://fr.wikisource.org/wiki/Fables_d’Ésope/Les_Trois_Bœufs_et_le_Lion


Spéciale dédicace à tous les musulmans du monde :fou:
 
Mon histoire favorite: LES TROIS BŒUFS ET LE LION

"Trois bœufs paissaient toujours ensemble. Un lion voulait les dévorer ; mais leur union l’en empêchait. Alors il les brouilla par des discours perfides et les sépara les uns des autres ; dès lors, les trouvant isolés, il les dévora l’un après l’autre."

Si tu désires vraiment vivre en sûreté, défie-toi de tes ennemis, mais aie confiance en tes amis, et conserve-les.
http://fr.wikisource.org/wiki/Fables_d’Ésope/Les_Trois_Bœufs_et_le_Lion


Spéciale dédicace à tous les musulmans du monde :fou:





Celle là est très vraie!
Et ta spéciale dédicace juste mdr!!!!!!!!!!!!!!:D
 
Un chauffeur de taxi new yorkais raconte :

Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture? » dit-elle. J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »

« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,

« Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je.

« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »

J'ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. « Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. » J'ai discrètement arrêté le compteur.
« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m'a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d'ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d'un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bâtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».

Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
 
« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.

« Rien » lui dis-je.

« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.

« Il y aura d'autres passagers, » ai-je répondu.

Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.

« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d'une vie qui se termine.
Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»
 
Comment faire cesser une rumeurs !

Personne n’est à l’abri des rumeurs, de la médisance et de la calomnie. Souvent nourries par la jalousie, la convoitise, la vengeance, ou tout autre chose, elles peuvent nous blesser, voire détruire une vie, une réputation.
J’ai conscience que, moi aussi, je peux déranger ou qu’on me juge. Au fond, je ne peux pas plaire à tout le monde, n'est-ce pas ? Je l'accepte et puis c'est vrai : on ne peut pas plaire ou se faire aimer de tous, et c'est tant mieux, cela prouve nos diversités et cela fait toute la richesse de l'Humanité.

Tout comme vous, je ne suis pas à l’abri des ragots. En revanche, s’il y a bien une chose qui m’affecte particulièrement, c’est de voir comment une rumeur, telle une tâche d’huile, peut se disperser à grande vitesse, d’autant plus qu’aujourd’hui, à l’ère de la communication instantanée, et détruire des années de travail ou de conduite « exemplaire ». Et comme une tâche d'huile, il est difficile, voire impossible de la nettoyer complètement. Et le plus fou dans ce processus, c’est que ceux qui écoutent et intègrent ces rumeurs comme étant des « vérités », les acceptent sans aucune autre forme de procès, sans prendre la peine de vérivier la teneur de ces histoires, on se contente de penser que tout simplement parce que la personne « est digne de confiance ».
Mais que savons-nous sur les intentions de cette soit-disant personne « digne de confiance » ?
Qu’est-ce qui anime les rumeurs et les avivent tels de grands feux de forêts dévastateurs ?
Oh bien sûr il existe autant de raisons qu’il y a de personnalités. Et à les entendre, il y a toujours une « bonne raison » pour détruire l’autre et se trouver des excuses pour diffuser à grande échelle une rumeur. La pire des excuses est : "je tiens à te mettre en garde contre ceci ou celà ou celui-ci".
Que faire ?
Comment agir ?
C’est alors que je puise inspiration et courage d'une des histoires que nous est contée par Socrate qui, dans sa sagesse légendaire, avait « inventé » le test des trois passoires :

Dans la Grèce antique, nous savons tous que Socrate était doté d’une grande sagesse.
Un jour, une de ses connaissance est venu trouver le grand philosophe et lui dit :

- Sais-tu ce que je viens d’apprendre au sujet de ton ami ?

- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu ne me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.

- Les trois passoires ? Répliqua son interlocuteur.

- Oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire. C’est ce que j’appelle le test des trois passoires.

La première passoire est celle de la Vérité.

As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

- Non, j’en ai seulement entendu parler…

- Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une seconde passoire,
celle de la Bonté.
 
Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ?

- Ah non ! Au contraire !

- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur mon ami et tu n’es même pas sûr qu’elles soient vraies…

Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une troisième passoire, celle de l’Utilité.
Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?

- Non, pas vraiment… hésita l'ami.

- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?

Que dois-je ajouter de plus après une telle sagesse ?
Les rumeur… Ne les tranmettez pas, elles font tellement de mal et le comble c'est que nous en avons tous horreur et nous avons conscience de leurs effets sur notre propre vie !
A méditer et surtout… APPLIQUER !

Michel POULAERT.
 
LE POT FÊLÉ

Une vieille dame chinoise possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d'une perche qu'elle transportait, appuyée derrière son cou.
Un des pots était fêlé, alors que l'autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d'eau. À la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison, le pot fêlé lui n'était plus qu'à moitié rempli d'eau.
Tout ceci se déroula quotidiennement pendant deux années complètes, alors que la vieille dame ne rapportait chez elle qu'un pot et demi d'eau.
Bien sûr, le pot intact était très fier de ses accomplissements. Mais le pauvre pot fêlé lui avait honte de ses propres imperfections, et se sentait triste, car il ne pouvait faire que la moitié du travail pour lequel il avait été créé.
Après deux années de ce qu'il percevait comme un échec, il s'adressa un jour à la vieille dame, alors qu'ils étaient près du ruisseau. «J'ai honte de moi-même, parce que la fêlure sur mon côté laisse l'eau s'échapper tout le long du chemin lors du retour vers la maison.»
La vieille dame sourit : «As-tu remarqué qu'il y a des fleurs sur ton côté du chemin, et qu'il n'y en a pas de l'autre côté ? J'ai toujours su à propos de ta fêlure, donc j'ai semé des graines de fleurs de ton côté du chemin, et chaque jour, lors du retour à la maison, tu les arrosais.
Pendant deux ans, j'ai pu ainsi cueillir de superbes fleurs pour décorer la table. Sans toi, étant simplement tel que tu es, il n'aurait pu y avoir cette beauté pour agrémenter la nature et la maison.»

Chacun de nous, avons nos propres manques, nos propres fêlures. Mais ce sont chacune de ces craques et chacun de ces manques qui rendent nos vies ensemble si intéressantes et enrichissantes à trouver ce qu'elle a de bon en elle.
 
Un homme entre dans la douche au moment précis ou sa femme en sort, en ce moment la sonnerie retentit à la porte de leur maison.
La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée : C'est Abdeslam, le voisin de palier.
Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui montre une liasse de billets et lui lance :
"Je te donne 8000 DH immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre et que tu me laisses te toucher".
Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette.
Il l'admire à loisir, la caresse et lui tend 8000 DH en liquide.
Un peu éberluée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'oeil, elle remonte dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui demande
"C'était qui ?"
"C'était Abdeslam"
"Super, il t'a rendu les 8000DH qu'il me devait ?"

Morale n°1
:
Si vous travaillez en équipe, partagez rapidement les informations concernant les dossiers communs, vous pourrez ainsi éviter une mauvaise publicité ou des malentendus.

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Un représentant, une employée de bureau et un directeur du personnel sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant lorsqu'ils trouvent, sur un banc, une vieille lampe à huile.
Ils la frottent et un génie s'en échappe.
"D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun".
L'employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant :
" A moi, à moi! Je veux être sur une plage des Bahamas, en vacances éternelles, sans aucun souci qui pourraient m'empêcher de profiter de la vie"
Et pouf, l'employée de bureau disparaît.
Le représentant s'avance à son tour
"A moi, à moi ! Je veux siroter une pina colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !"
Et pouf, le représentant disparaît.
" C'est à toi " dit le génie en regardant le directeur du personnel.
"Je veux que ces deux là soient de retour au bureau après le déjeuner..."

Morale n°2 :

Laissez toujours les chefs s'exprimer en premier.

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Au volant de la 2 CV, un prêtre raccompagne une nonne au couvent. Le prêtre ne peut s'empêcher de regarder ses superbes jambes croisées. Il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.

Elle le regarde et lui dit : " Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129?"

Penaud, le prêtre retire sa main et se confond en excuses. Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d'un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui demande :

" Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?"

Il rougit une fois de plus et retire sa main, cherchant une excuse bidon. Les voilà arrivés au couvent.
La nonne descend de la voiture sans dire un mot.

Le prêtre pris de remords pour son geste déplacé se précipite sur la Bible, à la recherche du Psaume 129.

Psaume 129: " Allez de l'avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire"

Morale n°3 :

Au travail, soyez toujours bien informé ou vous risquez de passer à côté de belles occasions.
 
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