Vers 17H00, le jeune homme de 25 ans coupait du bois, dans sa propriété, pour chauffer sa maison pour lui et son frère, lorsqu'il avait essuyé un coup de feu.
La balle avait été tirée par un chasseur débutant lors d’une battue aux sangliers qui se déroulait à proximité. La victime s'était effondrée et les secours, arrivés sur les lieux, n'avaient pu que constater son décès.
Morgan avait passé son enfance dans la région et vivait un peu en marge de la société dans cette bâtisse familiale au milieu des bois. Une maison qu’il entretenait avec son jeune frère.
Très proche de ses parents, il avait perdu sa mère il y a plusieurs années et son père était décédé en 2019 d’une grave maladie.
Le chasseur qui a tiré, âgé de 35 ans, et le directeur de la battue, âgé de 51 ans, sont jugés ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Cahors pour homicide involontaire.
Le trentenaire, inexpérimenté, qui avait pris la victime pour un sanglier, ne connaissait pas les lieux. De plus, la battue était mal préparée et avait été mal conduite.
Ce chasseur a notamment été «posté à un endroit impossible», là où «un chasseur aguerri n'aurait pas tiré» sans bien identifier sa cible, estime Benoit Coussy, avocat du frère de la victime, Rowan Keane, qui s'est constitué partie civile.
Les deux prévenus risquent jusqu'à trois ans de prison.
La balle avait été tirée par un chasseur débutant lors d’une battue aux sangliers qui se déroulait à proximité. La victime s'était effondrée et les secours, arrivés sur les lieux, n'avaient pu que constater son décès.
Morgan avait passé son enfance dans la région et vivait un peu en marge de la société dans cette bâtisse familiale au milieu des bois. Une maison qu’il entretenait avec son jeune frère.
Très proche de ses parents, il avait perdu sa mère il y a plusieurs années et son père était décédé en 2019 d’une grave maladie.
Le chasseur qui a tiré, âgé de 35 ans, et le directeur de la battue, âgé de 51 ans, sont jugés ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Cahors pour homicide involontaire.
Le trentenaire, inexpérimenté, qui avait pris la victime pour un sanglier, ne connaissait pas les lieux. De plus, la battue était mal préparée et avait été mal conduite.
Ce chasseur a notamment été «posté à un endroit impossible», là où «un chasseur aguerri n'aurait pas tiré» sans bien identifier sa cible, estime Benoit Coussy, avocat du frère de la victime, Rowan Keane, qui s'est constitué partie civile.
Les deux prévenus risquent jusqu'à trois ans de prison.
