Une vingtaine de manifestants portant des gilets jaunes ont tenté d'interpeller Macron lors de sa visite à Albert... sans succès. Ils ont été évacués par des CRS avant l'arrivée du président de la République.
«Il faut aller au contact de la colère», a déclaré Emmanuel Macron ce 9 novembre. Sauf peut-être à Albert, où des manifestants arborant des «gilets jaunes», en signe de ralliement au mouvement du 17 novembre contre la hausse du prix des carburants, se sont réunis pour exprimer leur colère contre leur président avant d'être rapidement évacués par des CRS peu avant sa venue.
Aux cris de «Macron démission», la vingtaine de personnes mobilisées ont exposé leurs divers soucis quotidiens, bien au-delà de la hausse du carburant. «Quand je fais des courses, j’ai peur que ma carte ne passe pas, qu’elle soit refusée. Je suis veuve. On nous a piqué la demi-part des impôts. On est en train de crever !», s'est ainsi indignée une femme.
Les manifestants n'ont cependant pas pu témoigner leur mécontentement face au principal intéressé, Emmanuel Macron, des CRS les ayant poussés à l'écart en amont de son arrivée.
Une grande opération de blocage des routes est prévue le 17 novembre prochain pour protester contre la hausse du prix des carburants. Le mouvement a trouvé son signe de ralliement : un gilet jaune. Ce symbole a ainsi rapidement fleuri sur les réseaux sociaux le mot-clé #GiletJaune et s'affiche désormais sur les pare-brise.
«Il faut aller au contact de la colère», a déclaré Emmanuel Macron ce 9 novembre. Sauf peut-être à Albert, où des manifestants arborant des «gilets jaunes», en signe de ralliement au mouvement du 17 novembre contre la hausse du prix des carburants, se sont réunis pour exprimer leur colère contre leur président avant d'être rapidement évacués par des CRS peu avant sa venue.
Aux cris de «Macron démission», la vingtaine de personnes mobilisées ont exposé leurs divers soucis quotidiens, bien au-delà de la hausse du carburant. «Quand je fais des courses, j’ai peur que ma carte ne passe pas, qu’elle soit refusée. Je suis veuve. On nous a piqué la demi-part des impôts. On est en train de crever !», s'est ainsi indignée une femme.
Les manifestants n'ont cependant pas pu témoigner leur mécontentement face au principal intéressé, Emmanuel Macron, des CRS les ayant poussés à l'écart en amont de son arrivée.
Une grande opération de blocage des routes est prévue le 17 novembre prochain pour protester contre la hausse du prix des carburants. Le mouvement a trouvé son signe de ralliement : un gilet jaune. Ce symbole a ainsi rapidement fleuri sur les réseaux sociaux le mot-clé #GiletJaune et s'affiche désormais sur les pare-brise.