«TOUS les départements ministériels réussissent bien leurs tâches à lexception de deux ou
trois». Les propos sont du Premier ministre qui animait, dimanche 29 août à Fès, une
conférence sous le thème: «Plus dacquis politiques, économiques, sociaux et diplomatiques».
Aujourdhui, trois départements semblent ne pas avoir convaincu le chef du gouvernement,
à savoir lEnseignement, la Justice et lHabitat. Se référant au discours du Trône, Abbas El
Fassi a souligné «les déficits que connaît le secteur de lenseignement malgré limportance
des fonds qui lui sont dédiés». Pour ce qui est de la Justice, El Fassi a rappelé que «le
Souverain a demandé un planning détaillé pour une réforme globale». Quant à lHabitat, le
Premier ministre avoue que «ce département na jamais connu un aussi brillant ministre du
calibre de Taoufiq Hejira mais il faut que la problématique des bidonvilles soit résolue de
manière méthodique et sévère comme le veut le Souverain». Cette sortie du chef du
gouvernement annonce-t-elle le départ imminent dAhmed Akhchichine, Mohamed Naciri et
Toufiq Hejira?
Sur le plan politique, le secrétaire général du Parti de lIstiqlal (PI) se dit déjà en campagne
pour 2012. A cet effet, il a demandé aux militants de Fès -quil a qualifié au passage de
ville rayonnante où la réussite de la gouvernance locale ne laisse personne indifférent- de
se mobiliser pour briguer la première place à léchéance de 2012. Maintenant, poursuit El
Fassi, que «le Premier ministre est issu des urnes, tous les partis seront en compétition
pour avoir la Primature». Youness Saad Alami , léconomiste
La question qui se pose Mr le Ministre, vous êtes fâché contre ces ministères, cest bien,
mais Est-ce que les marocains sont ils fâchés contre vous lors de laffaire « ennajat », Est-
ce que les marocains sont ils satisfaits de votre mandat ? Est-ce que les marocains
voudront-ils encore voter pour toi et ton parti ? Est-ce que les marocains veulent ils des
ministres qui font rien comme leurs prédécesseurs ? Est-ce que les marocains feront-ils
confiance aux partis ? La réponse est au cur des marocains qui aiment ce Maroc alors
comme la dit Paul Valéry : « On se refugie de ce quon ignore, on sy cache de ce quon
sait, linconnu est lespoir de lespoir» .
trois». Les propos sont du Premier ministre qui animait, dimanche 29 août à Fès, une
conférence sous le thème: «Plus dacquis politiques, économiques, sociaux et diplomatiques».
Aujourdhui, trois départements semblent ne pas avoir convaincu le chef du gouvernement,
à savoir lEnseignement, la Justice et lHabitat. Se référant au discours du Trône, Abbas El
Fassi a souligné «les déficits que connaît le secteur de lenseignement malgré limportance
des fonds qui lui sont dédiés». Pour ce qui est de la Justice, El Fassi a rappelé que «le
Souverain a demandé un planning détaillé pour une réforme globale». Quant à lHabitat, le
Premier ministre avoue que «ce département na jamais connu un aussi brillant ministre du
calibre de Taoufiq Hejira mais il faut que la problématique des bidonvilles soit résolue de
manière méthodique et sévère comme le veut le Souverain». Cette sortie du chef du
gouvernement annonce-t-elle le départ imminent dAhmed Akhchichine, Mohamed Naciri et
Toufiq Hejira?
Sur le plan politique, le secrétaire général du Parti de lIstiqlal (PI) se dit déjà en campagne
pour 2012. A cet effet, il a demandé aux militants de Fès -quil a qualifié au passage de
ville rayonnante où la réussite de la gouvernance locale ne laisse personne indifférent- de
se mobiliser pour briguer la première place à léchéance de 2012. Maintenant, poursuit El
Fassi, que «le Premier ministre est issu des urnes, tous les partis seront en compétition
pour avoir la Primature». Youness Saad Alami , léconomiste
La question qui se pose Mr le Ministre, vous êtes fâché contre ces ministères, cest bien,
mais Est-ce que les marocains sont ils fâchés contre vous lors de laffaire « ennajat », Est-
ce que les marocains sont ils satisfaits de votre mandat ? Est-ce que les marocains
voudront-ils encore voter pour toi et ton parti ? Est-ce que les marocains veulent ils des
ministres qui font rien comme leurs prédécesseurs ? Est-ce que les marocains feront-ils
confiance aux partis ? La réponse est au cur des marocains qui aiment ce Maroc alors
comme la dit Paul Valéry : « On se refugie de ce quon ignore, on sy cache de ce quon
sait, linconnu est lespoir de lespoir» .