Nathalie, 36 ans, égorgée lors d’une dispute conjugale

harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
« Je l’avais eue au téléphone dix minutes avant, elle devait passer me voir quand ça s’est produit ! Je n’arrive pas toujours à y croire… » Abasourdie, les yeux cernés par une trop courte nuit, Sylvie est encore incrédule. Dimanche, Nathalie P., sa voisine et amie, est morte, tuée par son compagnon. Le drame s’est déroulé vers 16 h 30 dans la cuisine de l’appartement où la jeune femme de 36 ans avait emménagé en 2002, au 12e étage d’un immeuble d’une résidence de Montgeron (Essonne).
Franck C., 41 ans, avec qui elle vivait depuis quelques années et avec lequel elle avait eu une petite fille, âgée de 4 ans aujourd’hui, l’a égorgée. Un seul coup a suffi pour provoquer une entaille très profonde, qui n’a laissé aucune chance de survie à la jeune femme.
A peine son geste exécuté, Franck C. a appelé de lui-même les secours. Dans la foulée, il s’est rendu au commissariat pour se dénoncer, emmenant avec lui sa fillette, mais laissant sur place le fils de Nathalie, âgé de 12 ans, qu’elle avait eu d’un précédent mariage. C’est le garçon qui a accueilli les pompiers et a annoncé la terrible nouvelle aux voisins, dont Jennifer, une autre amie de Nathalie. « Quand j’ai vu Maxime*, il m’a dit : On m’a enlevé ce que j’avais de plus cher au monde. Je lui ai demandé ce qui se passait, et c’est là qu’il m’a dit : Il a tué ma mère, ma mère est morte. C’était affreux, il m’a dit ça avec un mélange de haine et de désespoir », murmure la jeune femme. Le garçon ainsi que sa jeune demi-soeur ont été hospitalisés dimanche soir en état de choc. Les enquêteurs pensent que Maxime a pu être témoin de la scène. Mais les enfants ne sont pas en état d’être interrogés.
Hier, les policiers ont repris l’interrogatoire de Franck pour tenter de comprendre son geste. Son coup de folie semble avoir été motivé par un motif bien dérisoire : la jalousie. Depuis quelque temps, il soupçonnait Nathalie d’avoir une aventure. La découverte d’une photo d’elle et d’un autre homme sur son appareil photo, dimanche, l’aurait fait sortir de ses gonds. Dans le voisinage, on confirme que le couple connaissait des difficultés, mais personne n’aurait imaginé cette issue fatale. Inconnu des services de police, il ne souffrait d’aucune abolition du discernement au moment de son geste, d’après les experts psychiatres. Décrite comme « serviable » et « généreuse », Nathalie travaillait de nuit au marché de Rungis (Val-de-Marne). Une vraie « battante », qui avait aussi un caractère bien trempé et aimait l’ordre et la propreté. « Elle ne se laissait pas faire, reconnaît Sylvie. Mais c’était vraiment un amour, avec ses enfants et avec les autres. Samedi, elle m’avait emmenée faire les courses, car je ne peux pas marcher et hier matin (NDLR : dimanche), elle nous avait apporté des croissants. » Une jeune femme pleine de « joie de vivre », qui faisait volontiers partager ses passions : les mygales et la french manucure. Une mère qui laisse quatre enfants deux autres vivant avec son ex-mari près de Poitiers.
*Le prénom a été changé.
 
c'est pour montrer qu'il n'ya pas que les arabes ou les musulmans qui égorgent leurs conjoints ?

je sais pas si les habitudes pris pendant l'aid , mais il est vrai que quand on a un drame ou il est question d'égorgement , y a souvent un arabe dans le coin !
c'est pour ça que omar radad est innocent
les français de souche utilisent des méthodes comme l'étranglement , le coup de fusil , les coups de marteaux sur la tete , bref rien de ragoutant non plus
 
" y a pas que " ? tu insinues que c est un domaine de prédilection chez les musulmans ?

ouiiiii

Des zpézialistes du mouss :langue:


En tout cas paix a son ame...

PS1 : c'est peu etre suite a la lecture du post " 3 femmes a Tanger égorgées " effet subliminal
PS2 : Ahh la jalousie... méfiez vous les filles....:fou:
 
Et bien.

Divorcer ne suffisait pas ... Il fallait tuer sauvagement, briser une famille, briser deux enfants psychologiquement, et finir sa vie en prison ...

Il a tout gagné le Francki !
 
PS2 : Ahh la jalousie... méfiez vous les filles....:fou:


Encore un fait divers qui vient confirmer que les violences faites aux femmes sont en augmentation et que les hommes sont de plus en plus tarés.


Triste pour cette mère de famille qui était appréciée dans son entourage, pensée à ses enfants, particulièrement son fils qui gardera cette dernière image de sa mère gravée dans sa mémoire à tout jamais...
 
Encore un fait divers qui vient confirmer que les violences faites aux femmes sont en augmentation et que les hommes sont de plus en plus tarés.


Triste pour cette mère de famille qui était appréciée dans son entourage, pensée à ses enfants, particulièrement son fils qui gardera cette dernière image de sa mère gravée dans sa mémoire à tout jamais...

C'est triste pour les pauvres enfants .

Pas plus pas moins qu'avant.
Othello malade de jalousie tua en son temps Desdémone
 
Tuée à coups de hache

Les qualificatifs sont difficiles à trouver pour décrire les gestes irréparables de ce père de famille. Même pour le procureur de la République d'Evreux, Marie-Suzanne Le Quéau. La magistrate n'évoque que les faits, tels qu'ils ont été racontés par Laurent L., 36 ans, le suspect numéro un dans l'assassinat de Claire Pannequin, l'enseignante de Louviers dont le corps a été découvert mardi dans l'incendie de sa maison, à Surville (lire nos éditions d'hier). « Il a tué sa compagne. De ce qu'il dit, d'abord avec une arbalète, puis à coups de hache. »

« L'arbalète n'a pas suffi »
Le parquet s'apprête à ouvrir une information judiciaire du chef d'assassinat : « Il a prémédité son geste. Il a acheté l'arbalète exprès, quelques jours avant les faits. » Dès qu'il s'est livré aux gendarmes, Laurent L. a expliqué avoir commis son crime durant la nuit de lundi à mardi, pendant que sa compagne et leurs deux enfants, un garçon et une fille âgés de 3 et 5 ans, dormaient. « Avec l'arc, il a tiré une flèche, mais celle-ci n'a pas été mortelle. Comme cela n'a pas suffi, il est donc allé chercher une hache pour la tuer. Le nombre de coups portés devra être déterminé par l'autopsie », explique le procureur. « Ensuite, il a vaqué à ses occupations habituelles, paternelles et professionnelles » : Laurent L. se serait couché ; le matin, il a emmené ses enfants à l'école ; puis, il est allé travailler « normalement », à son auto-école de Louviers. « Dans un second temps, il est revenu chez lui. Pour préparer l'incendie », indique Marie-Suzanne Le Quéau.
Selon nos informations, le meurtrier a enveloppé le corps sans vie de sa compagne dans plusieurs tissus et papiers. Il a pris ensuite un bidon de fioul et allumé le feu. Ce n'est qu'après l'arrivée des sapeurs-pompiers sur les lieux du sinistre et leur macabre découverte que le concubin s'est constitué prisonnier.

« Ses explications ne sont pas claires »
Pourquoi ? C'est la question que se pose encore le procureur de la République : « Ses explications ne sont pas claires, pas cohérentes. Les mobiles de ce crime restent confus. Il s'agit sans doute d'une conjonction de plusieurs facteurs, professionnels et conjugaux. » Jusqu'alors, Laurent L. était inconnu de la justice et les gendarmes n'avaient jamais été appelés à son domicile pour un quelconque différend. « L'information judiciaire devra apporter des précisions », espère la magistrate s'agissant des raisons qui ont poussé ce père de famille tranquille à passer à l'acte.
La maison de Surville, située chemin des écoliers, a fait l'objet de multiples constatations par les gendarmes de la compagnie de Louviers. Et les armes ont été saisies pour examen. Quant aux enfants du couple, ils ont été pris en charge par leurs grands-parents dès mardi. Le suspect, lui, sera présenté aujourd'hui au juge d'instruction. Si le chef d'assassinat est retenu par la justice, Laurent L. encourt la réclusion criminelle à perpétuité devant la cour d'assises de l'Eure.
Jane Hitchcock
 
Justice L'étudiant avait abattu de trois balles son ancienne petite amie

Ce vendredi 23 novembre 2007, Alexis Bosio fait une terrible confession à son père. Cet étudiant en médecine de 24 ans lui raconte que la veille, il a tué Anne-Sophie Creton, son ex-petite amie, étudiante en ergothérapie à l'école Rockefeller (8e). Puis qu'il s'est débarrassé du corps dans le Rhône, au Parc de la Feyssine (Villeurbanne). Son père, médecin, peine à croire à ses aveux et emmène son fils en consultation au Vinatier. C'est à l'hôpital psychiatrique que la police interpellera Alexis quelques heures plus tard. A la suite de ses aveux, le corps de la jeune femme sera ensuite retrouvé au bord du fleuve, atteint de trois balles à la tête.

Un garçon sans histoire
Ce jeune homme comparaît à partir d'aujourd'hui devant la cour d'assises du Rhône pour « assassinat ». L'accusation a en effet retenu le caractère prémédité de son geste, malgré ses dénégations au cours de l'instruction. Alexis Bosio avait la réputation d'être un garçon tranquille et sans histoire. Mais il avait du mal à surmonter sa rupture avec Anne-Sophie, 22 ans, survenue un mois et demi avant le drame. Dépressif, il dit s'être procuré un pistolet pour se suicider. Mais auparavant, il a voulu remettre une lettre à Anne-Sophie. Ce jeudi 22 novembre, l'étudiante accepte de le rencontrer. Il la rejoint à Saint-Didier-au-Mont-d'or dans la soirée. Alexis raconte qu'un pneu de sa Clio vient de crever. Ils montent à bord de la petite Ford Ka de la jeune fille, roulent jusqu'à Sathonay-Village. C'est dans la voiture qu'il ouvre le feu à trois reprises à bout portant. « Le caractère prémédité ne fait aucun doute, estime François Saint-Pierre, l'avocat de la famille d'Anne-Sophie. L'arme était remplie de quatre cartouches et il avait simulé la crevaison de sa voiture. Les parents de la victime souhaitent une attitude digne de l'accusé. » Alexis Bosio a désormais trois jours pour faire la lumière sur son terrible geste, pour lequel il encoure la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu vendredi soir.

Frédéric Crouzet
 
Femme tuée par son ex-compagnon : le parquet accusé par la famille


La mère du petit Ibrahima, que son ex-concubin a avoué avoir tuée , avait plusieurs fois signalé à la police et à la justice qu'elle recevait des menaces de mort de son ancien compagnon, mais n'a pas été entendue, a déclaré, jeudi, l'avocate de sa famille, maître Yasmina Mechoucha Robin. "Depuis six mois, Tania (la mère de l'enfant) se rendait systématiquement chaque semaine au commissariat pour les prévenir des menaces qu'elle subissait" de la part de son ex-concubin, a indiqué le conseil, sur Europe 1. Il s'agissait de "menaces de mort", a-t-elle poursuivi, précisant que l'ex-compagnon employait "des mots très simples : Je vais te tuer ".

"On l'entendait à peine, a relevé Me Mechoucha Robin. Il a fallu qu'elle se rende plusieurs fois au commissariat avant qu'on n'accepte de prendre sa plainte." La victime "allait même jusqu'à appeler le contrôleur judiciaire pour lui faire part du fait que (son ex-compagnon) ne respectait pas" l'interdiction, qui lui était faite, d'entrer en contact avec elle, en vertu du contrôle judiciaire auquel il était soumis. "Et là, elle n'a toujours pas été entendue", a souligné l'avocate. Si elle l'avait été, "peut-être qu'aujourd'hui, elle serait encore en vie", a précisé l'avocate, qui représente le père et le frère de Tania. Mis en examen depuis 2006 dans une affaire de viols collectifs datant de 2001-2002, le père d'Ibrahima était en outre soumis à un contrôle judiciaire depuis 2007 qui lui interdisait notamment de résider dans le Val-de-Marne.

La défense du procureur

Jeudi, le procureur de Créteil, Jean-Jacques Bosc, a rétorqué que le parquet avait fait "preuve de réactivité" face aux menaces de mort, ajoutant qu'il n'entendait pas "entrer dans une polémique" avec la famille de la victime. Jusqu'à décembre 2009, une dizaine de mains courantes ont bien été enregistrées au commissariat mais "il n'a pas été déposé de plainte" avant le 4 janvier, a affirmé le procureur. Selon lui, le suspect a ensuite été interpellé et placé en garde à vue le 7 janvier, trois jours après le dépôt de la plainte de la victime pour menaces de mort. L'homme, âgé de 28 ans, qui était séparé de la victime depuis plus d'un an, a ensuite été condamné pour ces menaces, le 9 février, à quatre mois de prison avec sursis, assortis d'une interdiction d'entrer en relation avec la victime, a-t-il expliqué. "Cette interdiction a été respectée" jusqu'au jour du meurtre, a précisé Jean-Jacques Bosc. Aurait-il fallu placer le suspect en détention provisoire à l'issue de son interpellation ou de son jugement ? "Ce n'est pas ce qui a été décidé (...) ce n'est pas ce qui était demandé par le parquet", a dit le magistrat. Dans une lettre datée du 21 janvier, la victime a par ailleurs écrit qu'elle avait recouvré "une certaine liberté" depuis l'interpellation de son ancien conjoint.

Quoi qu'il en soit, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a demandé au procureur général de Paris, Laurent Le Mesle, une enquête sur le contrôle des mesures de suivi ordonnées envers le père du petit Ibrahima. Elle présentera également la semaine prochaine au Parlement le dispositif de bracelet électronique mobile pour maris violents évoqué fin novembre par le gouvernement.
 
Nous avons recensé depuis le début de l’année 2010 les violences entre conjoints qui se sont soldées par la mort de la femme et qui ont été publiées dans la presse. Cette liste n’est donc probablement pas exhaustive.

2 janvier, Rambouillet (Yvelines). Une femme d’une cinquantaine d’années est violée puis tuée d’un coup au visage par son concubin.
Il a été mis en examen pour homicide et viol.

3 janvier, Verneuil-sur-Avre (Eure). Christian, 45 ans, tue à coups de poing et de tabouret sa compagne, Isabelle, 43 ans. Il est mis en examen et écroué.

5 janvier, Saint-Maurice-des- Champs (Saône-et-Loire). Cécile, maire de cette petite commune, meurt, tuée par balles. Son mari est mis en examen pour assassinat.

12 janvier, Provins (Seine-et- Marne). Une femme de 52 ans périt sous les balles du 22 long rifle de son mari. Il ne supportait pas leur séparation. Il a été mis en examen.

14 janvier, Marseille (Bouchesdu- Rhône).Emma, 40ans, est tuée à coups de marteau par son mari, mis en examen et écroué.

17 janvier, Chémery (Loir-et- Cher). Sérafé, 26 ans, meurt sous les dix-neuf coups de couteau portés par son ex-mari, en présence de leurs deux enfants âgés de 1an et 3 ans. Il a été mis en examen pour assassinat et écroué.

18 janvier, Orléans (Loiret). Une quinquagénaire meurt égorgée par son ex-mari, 51 ans. Il a été mis en examen pour assassinat et écroué.

21 janvier, Saint-Nazaire (Loire- Atlantique).Marina, 29 ans, est tuée à coups de couteau par le père de l’enfant dont elle était enceinte de septmois. Il est mis en examen pour homicide volontaire et écroué.

23 janvier, Antony (Hauts-de- Seine). Un homme de 25 ans abat sa compagne de 23 ans d’un coup de fusil avant de retourner l’arme contre lui.

27 janvier, Aubervilliers (Seine- Saint-Denis). Adriana, 58 ans, meurt étranglée par son compagnon. Il se rend à la police, est mis en examen et écroué.

1er février, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Eliane, 43 ans, meurt des coups de couteau portés par son mari, 51 ans. Il se suicide.

13 février, Choisy-le-Roi (Val-de- Marne). Une femme est tuée à coups de ciseaux à la carotide. Son mari, récidiviste, avait déjà été interné en psychiatrie.

16 février, Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Tanja, 26 ans, est tuée à coups de couteau par son ex-compagnon, Mahamadou, 28 ans, qui prend la fuite avec leur enfant, Ibrahima. Il est mis en examen pour enlèvement et homicide.

19 février, Bois-d’Arcy (Yvelines). Maria, âgée de 26 ans, est tuée par son ex-mari, José, 35 ans, par arme à feu. Il retourne ensuite l’arme contre lui.

21 février,Montpellier (Hérault). Une institutrice de 41 ans est tuée de deux coups de fusil de chasse par son compagnon de 44 ans dont elle partageait la vie depuis quelques mois. Il se donne la mort.

21 février, Montgeron (Essonne). Nathalie, 36 ans, meurt égorgée par son compagnon. Il se rend de luimême au commissariat de la ville.

22 février, Ablis (Yvelines). Une femme de 26 ans est poignardée à sept reprises par son ex-compagnon dont elle était séparée depuis deux ans. L’homme a été présenté à un juge hier.
 
Le choix de votre fait divers est étrange...
Nous pourrions évoquer celui du mari Marocain qui a arraché les yeux de sa femme à Nîmes par exemple, ou celui de cette jeune marseillaise lapidée dans un terrain vague ...
Ou celui de Mohamadou Doucouré qui vient juste de tuer sa femme à Fontenay sous bois...
 
Le choix de votre fait divers est étrange...
Nous pourrions évoquer celui du mari Marocain qui a arraché les yeux de sa femme à Nîmes par exemple, ou celui de cette jeune marseillaise lapidée dans un terrain vague ...
Ou celui de Mohamadou Doucouré qui vient juste de tuer sa femme à Fontenay sous bois...

ah vraiment tu trouves ça étrange ,dans quel sens étrangement orienté ?

sinon y a aussi la longue liste là haut , mais ,contrairement à eux , les 3 cas atroces que tu me cites ont été particulièrement médiatisés . D ailleurs j ai aussi évoqué le cas de mamadou eh oui la violence faite contre les femmes n est pas sélective ou culturelle .
Mais alors quid de marina , cécile , isabelle , éliane assassinées par leurs conjoints ?
 
ah vraiment tu trouves ça étrange ,dans quel sens étrangement orienté ?

sinon y a aussi la longue liste là haut , mais ,contrairement à eux , les 3 cas atroces que tu me cites ont été particulièrement médiatisés . D ailleurs j ai aussi évoqué le cas de mamadou eh oui la violence faite contre les femmes n est pas sélective ou culturelle .
Mais alors quid de marina , cécile , isabelle , éliane assassinées par leurs conjoints ?

Laisses le il est juste la pour cracher son venin faut pas lui accorder plus d'importance qu'il ne le mérite
 
jeudi 25 février 2010 - 11:51


Un retraité a tué son épouse en l'étranglant, dans la nuit de mercredi à jeudi, avant de se donner la mort par pendaison.


Le drame s'est produit aux alentours de 4 h du matin, au Bas de la Celle sur la commune de la Celle-sur-Nièvre, entre Prémery et La Charité-sur-Loire. Un retraité de la SNCF a tué son épouse plus jeune, qui travaillait également à la SNCF en tant que contrôleuse. Il s'est ensuite donné la mort par pendaison après avoir appelé la fille de sa femme qui a contacté les secours. La fille du couple, une adolescente de 14 ans, dormait dans sa chambre.

jdc
 
Drame familial au village de Gilette (06) Publié le 04/02/2010


Un homme a tué à coups de fusil une femme, avant de retourner l'arme contre lui et de se donner la mort
Un septuagénaire a tué hier matin à coups de fusil son ancienne compagne dans le village de Gilette (Alpes-Maritimes), avant de retourner l'arme contre lui et de se donner la mort. Les faits se sont déroulés en pleine rue, devant le bureau de poste, vers 6H30. La femme, 53 ans, mère d'une jeune fille de 16 ans, a été atteinte en plein visage.

Le couple était séparé depuis plusieurs mois. L'homme, âgé de 72 ans, habitait dans une caravane dans le village voisin de Roquestéron. Selon des témoins, il venait assez souvent à Gilette où il proclamait à qui voulait l'entendre que "ça allait mal finir". Le village perché de Gilette compte un millier d'habitants.

france 3
 
« Je l’avais eue au téléphone dix minutes avant, elle devait passer me voir quand ça s’est produit ! Je n’arrive pas toujours à y croire… » Abasourdie, les yeux cernés par une trop courte nuit, Sylvie est encore incrédule. Dimanche, Nathalie P., sa voisine et amie, est morte, tuée par son compagnon. Le drame s’est déroulé vers 16 h 30 dans la cuisine de l’appartement où la jeune femme de 36 ans avait emménagé en 2002, au 12e étage d’un immeuble d’une résidence de Montgeron (Essonne).
Franck C., 41 ans, avec qui elle vivait depuis quelques années et avec lequel elle avait eu une petite fille, âgée de 4 ans aujourd’hui, l’a égorgée. Un seul coup a suffi pour provoquer une entaille très profonde, qui n’a laissé aucune chance de survie à la jeune femme.
A peine son geste exécuté, Franck C. a appelé de lui-même les secours. Dans la foulée, il s’est rendu au commissariat pour se dénoncer, emmenant avec lui sa fillette, mais laissant sur place le fils de Nathalie, âgé de 12 ans, qu’elle avait eu d’un précédent mariage. C’est le garçon qui a accueilli les pompiers et a annoncé la terrible nouvelle aux voisins, dont Jennifer, une autre amie de Nathalie. « Quand j’ai vu Maxime*, il m’a dit : On m’a enlevé ce que j’avais de plus cher au monde. Je lui ai demandé ce qui se passait, et c’est là qu’il m’a dit : Il a tué ma mère, ma mère est morte. C’était affreux, il m’a dit ça avec un mélange de haine et de désespoir », murmure la jeune femme. Le garçon ainsi que sa jeune demi-soeur ont été hospitalisés dimanche soir en état de choc. Les enquêteurs pensent que Maxime a pu être témoin de la scène. Mais les enfants ne sont pas en état d’être interrogés.
Hier, les policiers ont repris l’interrogatoire de Franck pour tenter de comprendre son geste. Son coup de folie semble avoir été motivé par un motif bien dérisoire : la jalousie. Depuis quelque temps, il soupçonnait Nathalie d’avoir une aventure. La découverte d’une photo d’elle et d’un autre homme sur son appareil photo, dimanche, l’aurait fait sortir de ses gonds. Dans le voisinage, on confirme que le couple connaissait des difficultés, mais personne n’aurait imaginé cette issue fatale. Inconnu des services de police, il ne souffrait d’aucune abolition du discernement au moment de son geste, d’après les experts psychiatres. Décrite comme « serviable » et « généreuse », Nathalie travaillait de nuit au marché de Rungis (Val-de-Marne). Une vraie « battante », qui avait aussi un caractère bien trempé et aimait l’ordre et la propreté. « Elle ne se laissait pas faire, reconnaît Sylvie. Mais c’était vraiment un amour, avec ses enfants et avec les autres. Samedi, elle m’avait emmenée faire les courses, car je ne peux pas marcher et hier matin (NDLR : dimanche), elle nous avait apporté des croissants. » Une jeune femme pleine de « joie de vivre », qui faisait volontiers partager ses passions : les mygales et la french manucure. Une mère qui laisse quatre enfants deux autres vivant avec son ex-mari près de Poitiers.
*Le prénom a été changé.

c'est quoi la source ??
c'est bizarrement raconté, ça fait pas article de faits divers (trop de details) ....
 
c'est quoi la source ??
c'est bizarrement raconté, ça fait pas article de faits divers (trop de details) ....

je te rassure ce n est pas moi qui ai écrit l article et je donne tjrs des sources crédibles
http://www.leparisien.fr/faits-dive...d-une-dispute-conjugale-23-02-2010-825632.php
c est l édition locale internet , d ou le ton de proximité
le parisien .

les commentaire sont assez révélateurs de l état d esprit de certains en France
http://www.leparisien.fr/reactions/...onjugale-23-02-2010-825632&page=0#reaction_03
 
je te rassure ce n est pas moi qui ai écrit l article et je donne tjrs des sources crédibles
http://www.leparisien.fr/faits-dive...d-une-dispute-conjugale-23-02-2010-825632.php
c est l édition locale internet , d ou le ton de proximité
le parisien .

les commentaire sont assez révélateurs de l état d esprit de certains en France
http://www.leparisien.fr/reactions/...onjugale-23-02-2010-825632&page=0#reaction_03

je met pas en doute "ton bladi professionnalisme"(hihi) .... c'était par curiosité, ça m'a interpellé ;)

les commentaires ..... tssss :rolleyes:

merci
 
je met pas en doute "ton bladi professionnalisme"(hihi) .... c'était par curiosité, ça m'a interpellé ;)

les commentaires ..... tssss :rolleyes:

merci

c est vraiment dingue la mauvaise foi tourne carrément à la parano !!!mais en meme temps la vérité est tellement plus dure à avaler ..
 
Jugé pour avoir décapité sa femme
Philippe Cousin, 53 ans est jugé ce lundi pour avoir décapité sa femme, Nicole en 2007.


Photo : AFP
C’est un crime qui fait froid dans le dos. Un de ces crimes hors norme que la cour d'assises du Pas-de-Calais, à Saint-Omer s'apprête à juger, ces deux prochains jours. Le meurtre de Nicole, décapitée par son mari, un matin d’avril 2007.

Un drame survenu au sein d’un couple en apparence sans histoires. Un coup de folie que l'accusé, Philippe Cousin n'a toujours pas réussi à expliquer qualifiant lui-même son acte "d’horreur". Les juges devraient donc essayer de comprendre le passage à l’acte de cet homme, décrit comme un être "obéissant" et "respectueux".

Le lundi 16 avril 2007, cet ancien cadre de la Poste, alors âgé de 50 ans, tue sa femme en la décapitant avec un couteau de cuisine. Il appelle ensuite le commissariat de police d'Arras pour se dénoncer: "Excusez-moi de vous déranger, j'ai tué ma femme" déclare t-il.

Elle aurait refusé d’avoir un enfant
Il explique d'abord son geste par une dispute verbale d'ordre domestique, avant d'évoquer le refus de son épouse d'avoir un enfant, selon les enquêteurs. Nicole aurait toujours refusé, selon son mari, toutes relations sexuelles susceptibles de lui donner un enfant, car elle craignait de lui transmettre la maladie de son père, décédé de la sclérose en plaques. L'autopsie du corps de la victime a par ailleurs confirmé qu'elle était vierge.

Il vivait sous la domination de sa femme
La "conjonction" de ses 50 ans, deux semaines avant les faits, et de "cette absence de paternité" ont causé chez Philippe Cousin un "syndrome de la cocotte-minute", pense son avocat Me Didier Robiquet, qui précise que son client a suivi une "longue psychothérapie" en maison d'arrêt.

Epousé 21 ans plus tôt, Philippe Cousin évoque les "reproches" réguliers que sa femme lui adressait, notamment quelques semaines avant le drame, lorsqu'elle aurait menacé de le quitter.
Les experts psychologues décrivent une relation de couple dominant-dominé qui a pu engendrer une frustration et une agressivité réprimée pendant plusieurs années.

Selon les experts psychiatres qui l'ont examiné, il n'était cependant pas atteint de trouble psychique ou neuro-psychique ayant pu abolir ou altérer le contrôle de ses actes.









j adore les explications sa femme était une harpie donc elle méritait de mourir ou du moins on peut le comprendre :rolleyes:
 
Une jeune femme tuée à coups de masse
A Belleville-en-Caux, une femme de 25 ans a été retrouvée morte de plusieurs coups de masse


Une femme de 25 ans a été retrouvée morte à Belleville-en-Caux, en Seine-Maritime par la gendarmerie, le dimanche 7 mars vers 17 heures. Elle a été frappée de plusieurs coups de masse.

Les enquêteurs sont à la recherche de son compagnon, disparu avec le véhicule du couple. Leur petit garçon de 2 ans a pour l'instant été confié aux services sociaux.




france 3
 
« Je l’avais eue au téléphone dix minutes avant, elle devait passer me voir quand ça s’est produit ! Je n’arrive pas toujours à y croire… » Abasourdie, les yeux cernés par une trop courte nuit, Sylvie est encore incrédule. Dimanche, Nathalie P., sa voisine et amie, est morte, tuée par son compagnon. Le drame s’est déroulé vers 16 h 30 dans la cuisine de l’appartement où la jeune femme de 36 ans avait emménagé en 2002, au 12e étage d’un immeuble d’une résidence de Montgeron (Essonne).
Franck C., 41 ans, avec qui elle vivait depuis quelques années et avec lequel elle avait eu une petite fille, âgée de 4 ans aujourd’hui, l’a égorgée. Un seul coup a suffi pour provoquer une entaille très profonde, qui n’a laissé aucune chance de survie à la jeune femme.
A peine son geste exécuté, Franck C. a appelé de lui-même les secours. Dans la foulée, il s’est rendu au commissariat pour se dénoncer, emmenant avec lui sa fillette, mais laissant sur place le fils de Nathalie, âgé de 12 ans, qu’elle avait eu d’un précédent mariage. C’est le garçon qui a accueilli les pompiers et a annoncé la terrible nouvelle aux voisins, dont Jennifer, une autre amie de Nathalie. « Quand j’ai vu Maxime*, il m’a dit : On m’a enlevé ce que j’avais de plus cher au monde. Je lui ai demandé ce qui se passait, et c’est là qu’il m’a dit : Il a tué ma mère, ma mère est morte. C’était affreux, il m’a dit ça avec un mélange de haine et de désespoir », murmure la jeune femme. Le garçon ainsi que sa jeune demi-soeur ont été hospitalisés dimanche soir en état de choc. Les enquêteurs pensent que Maxime a pu être témoin de la scène. Mais les enfants ne sont pas en état d’être interrogés.
Hier, les policiers ont repris l’interrogatoire de Franck pour tenter de comprendre son geste. Son coup de folie semble avoir été motivé par un motif bien dérisoire : la jalousie. Depuis quelque temps, il soupçonnait Nathalie d’avoir une aventure. La découverte d’une photo d’elle et d’un autre homme sur son appareil photo, dimanche, l’aurait fait sortir de ses gonds. Dans le voisinage, on confirme que le couple connaissait des difficultés, mais personne n’aurait imaginé cette issue fatale. Inconnu des services de police, il ne souffrait d’aucune abolition du discernement au moment de son geste, d’après les experts psychiatres. Décrite comme « serviable » et « généreuse », Nathalie travaillait de nuit au marché de Rungis (Val-de-Marne). Une vraie « battante », qui avait aussi un caractère bien trempé et aimait l’ordre et la propreté. « Elle ne se laissait pas faire, reconnaît Sylvie. Mais c’était vraiment un amour, avec ses enfants et avec les autres. Samedi, elle m’avait emmenée faire les courses, car je ne peux pas marcher et hier matin (NDLR : dimanche), elle nous avait apporté des croissants. » Une jeune femme pleine de « joie de vivre », qui faisait volontiers partager ses passions : les mygales et la french manucure. Une mère qui laisse quatre enfants deux autres vivant avec son ex-mari près de Poitiers.
*Le prénom a été changé.
en voilà un terroriste chretien
 
Retour
Haut