Nationalité pour les juifs marocains à l'étranger : un projet sous le feu des critiques

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À l'heure où la guerre entre Israël et le Hamas se poursuit dans la bande de Gaza, une pétition pour la citoyenneté marocaine aux descendants juifs déposée cette semaine au Parlement marocain via le portail national de participation citoyenne « Eparticipation.ma » fait l'objet de critiques de la part des militants anti-normalisation.
Présentée par Houssain Ben Messaoud, la pétition propose d'accorder la nationalité marocaine à « tous les enfants et petits-enfants de juifs marocains, (…)

- Maroc / Israël, Palestine, Parlement marocain, Judaïsme marocain

Nationalité pour les juifs marocains à l'étranger : un projet sous le feu des critiques
 
Et ben voilà @Barlamane d'où vient cet article , il n'y a pas de projets loi , une pétition faites par des descendants de juifs Marocains qui aurait été envoyé au parlement via un portail électronique.
Pétition qui semble divisé les juifs Marocains car une partie de ceux du royaume y sont opposés.


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La proposition d’octroyer la nationalité marocaine aux descendants des juifs marocains suscite la controverse​



Actu Du Maroc
La communauté juive marocaine se trouve divisée face à une proposition législative controversée visant à octroyer la nationalité marocaine aux descendants des Juifs marocains. Cette initiative, en discussion depuis plus d’un an, ravive des questions sensibles d’identité, de religion et d’histoire dans le Maroc contemporain.

Au cœur de la polémique, Jacky Kadoch, président de la communauté juive de Marrakech-Safi, s’oppose fermement à cette proposition. Selon lui, « une telle proposition législative est empreinte de sectarisme, et il n’est pas acceptable d’appeler à une discrimination législative sur la base de la religion« . Kadoch insiste sur le fait que les lois actuelles sont suffisantes, affirmant que « les lois marocaines actuelles ne privent aucun Marocain, qu’il soit juif ou musulman, capable de prouver ses origines nationales, de l’accès à la nationalité« .

En revanche, Houcine Benmessaoud, l’initiateur de la proposition, défend ardemment son projet. Il soutient que « la proposition part d’une réalité et ne comporte aucun caractère sectaire« . Benmessaoud met en lumière les difficultés rencontrées par certains descendants de Juifs marocains : « Des personnes sont parties en Australie en 1920, et n’ont jamais demandé de passeport marocain. Il est donc difficile pour leurs descendants d’obtenir la nationalité marocaine« .

Le contexte géopolitique actuel ajoute une couche de complexité à ce débat déjà chargé. Benmessaoud reconnaît que « la situation au Moyen-Orient rend la proposition législative embarrassante, étant donné que les Marocains d’Israël sont considérés comme des tueurs et des soldats« . Cette déclaration souligne les tensions et les perceptions qui influencent le débat.

Pour que cette proposition soit examinée par le parlement, elle doit recueillir 20 000 signatures en 60 jours. Actuellement, avec seulement 18 signatures numériques et 270 signatures papier, l’objectif semble loin d’être atteint, reflétant peut-être les divisions au sein de la communauté.
 
Et ben voilà @Barlamane d'où vient cet article , il n'y a pas de projets loi , une pétition faites par des descendants de juifs Marocains qui aurait été envoyé au parlement via un portail électronique.
Pétition qui semble divisé les juifs Marocains car une partie de ceux du royaume y sont opposés.


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La communauté juive marocaine se trouve divisée face à une proposition législative controversée visant à octroyer la nationalité marocaine aux descendants des Juifs marocains. Cette initiative, en discussion depuis plus d’un an, ravive des questions sensibles d’identité, de religion et d’histoire dans le Maroc contemporain.

Au cœur de la polémique, Jacky Kadoch, président de la communauté juive de Marrakech-Safi, s’oppose fermement à cette proposition. Selon lui, « une telle proposition législative est empreinte de sectarisme, et il n’est pas acceptable d’appeler à une discrimination législative sur la base de la religion« . Kadoch insiste sur le fait que les lois actuelles sont suffisantes, affirmant que « les lois marocaines actuelles ne privent aucun Marocain, qu’il soit juif ou musulman, capable de prouver ses origines nationales, de l’accès à la nationalité« .

En revanche, Houcine Benmessaoud, l’initiateur de la proposition, défend ardemment son projet. Il soutient que « la proposition part d’une réalité et ne comporte aucun caractère sectaire« . Benmessaoud met en lumière les difficultés rencontrées par certains descendants de Juifs marocains : « Des personnes sont parties en Australie en 1920, et n’ont jamais demandé de passeport marocain. Il est donc difficile pour leurs descendants d’obtenir la nationalité marocaine« .

Le contexte géopolitique actuel ajoute une couche de complexité à ce débat déjà chargé. Benmessaoud reconnaît que « la situation au Moyen-Orient rend la proposition législative embarrassante, étant donné que les Marocains d’Israël sont considérés comme des tueurs et des soldats« . Cette déclaration souligne les tensions et les perceptions qui influencent le débat.

Pour que cette proposition soit examinée par le parlement, elle doit recueillir 20 000 signatures en 60 jours. Actuellement, avec seulement 18 signatures numériques et 270 signatures papier, l’objectif semble loin d’être atteint, reflétant peut-être les divisions au sein de la communauté.
IL n'y a pas que les juifs marocains qui y sont opposés mais une grande partie des marocains en general vu leur forte opposition a la normalisation et a l'infiltration sioniste chez nous
 
Et ben voilà @Barlamane d'où vient cet article , il n'y a pas de projets loi , une pétition faites par des descendants de juifs Marocains qui aurait été envoyé au parlement via un portail électronique.
Pétition qui semble divisé les juifs Marocains car une partie de ceux du royaume y sont opposés.


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La communauté juive marocaine se trouve divisée face à une proposition législative controversée visant à octroyer la nationalité marocaine aux descendants des Juifs marocains. Cette initiative, en discussion depuis plus d’un an, ravive des questions sensibles d’identité, de religion et d’histoire dans le Maroc contemporain.

Au cœur de la polémique, Jacky Kadoch, président de la communauté juive de Marrakech-Safi, s’oppose fermement à cette proposition. Selon lui, « une telle proposition législative est empreinte de sectarisme, et il n’est pas acceptable d’appeler à une discrimination législative sur la base de la religion« . Kadoch insiste sur le fait que les lois actuelles sont suffisantes, affirmant que « les lois marocaines actuelles ne privent aucun Marocain, qu’il soit juif ou musulman, capable de prouver ses origines nationales, de l’accès à la nationalité« .

En revanche, Houcine Benmessaoud, l’initiateur de la proposition, défend ardemment son projet. Il soutient que « la proposition part d’une réalité et ne comporte aucun caractère sectaire« . Benmessaoud met en lumière les difficultés rencontrées par certains descendants de Juifs marocains : « Des personnes sont parties en Australie en 1920, et n’ont jamais demandé de passeport marocain. Il est donc difficile pour leurs descendants d’obtenir la nationalité marocaine« .

Le contexte géopolitique actuel ajoute une couche de complexité à ce débat déjà chargé. Benmessaoud reconnaît que « la situation au Moyen-Orient rend la proposition législative embarrassante, étant donné que les Marocains d’Israël sont considérés comme des tueurs et des soldats« . Cette déclaration souligne les tensions et les perceptions qui influencent le débat.

Pour que cette proposition soit examinée par le parlement, elle doit recueillir 20 000 signatures en 60 jours. Actuellement, avec seulement 18 signatures numériques et 270 signatures papier, l’objectif semble loin d’être atteint, reflétant peut-être les divisions au sein de la communauté.

Merci Mielle, on y voit plus clair
Je comprends que
Ce n'est pas parrainé par un groupe parlementaire mais c'est bien une proposition de loi qui a besoin de 20 000 signatures pour être examinée (et déclarée recevable ou non)
 
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