La Cour de cassation en France a rejeté, ce mercredi, le pourvoi de l'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, dans "l'affaire des écoutes" (Bismuth), confirmant, ainsi, la peine de trois ans de prison, dont un an ferme, aménagé sous bracelet électronique, qui lui a été infligée en 2021, pour "corruption et trafic d'influence". Une première pour un ancien chef de l'Etat...
Son ancien avocat Thierry Herzog et le haut magistrat Gilbert Azibert ont écopé, à leur tour, de la même peine...
"Je veux redire ma parfaite innocence et demeure convaincu de mon bon droit. Ma détermination est totale sur ce dossier, comme sur les autres. La vérité finira par triompher. A ce moment-là, chacun aura à rendre compte devant les Français", a réagi l'ancien chef de l'Elysée, sur son compte X (ex-Twitter).
Cette affaire date de 2013, quand Sarkozy et Herzog ont été placés sur écoute, sur fond de l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de 2007.
Ces écoutes ont permis aux enquêteurs de découvrir que l'ancien président utilisait une ligne téléphonique secrète, enregistrée sous le pseudonyme "Paul Bismuth", pour communiquer avec son ancien avocat.
Au cours des ces échanges, Sarkozy a tenté d'obtenir des informations confidentielles auprès du haut magistrat Gilbert Azibert, sur ''l'affaire Bettencourt". En échange, Sarkozy aurait promis à Azibert un poste prestigieux à Monaco.
Son ancien avocat Thierry Herzog et le haut magistrat Gilbert Azibert ont écopé, à leur tour, de la même peine...
"Je veux redire ma parfaite innocence et demeure convaincu de mon bon droit. Ma détermination est totale sur ce dossier, comme sur les autres. La vérité finira par triompher. A ce moment-là, chacun aura à rendre compte devant les Français", a réagi l'ancien chef de l'Elysée, sur son compte X (ex-Twitter).
Cette affaire date de 2013, quand Sarkozy et Herzog ont été placés sur écoute, sur fond de l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de 2007.
Ces écoutes ont permis aux enquêteurs de découvrir que l'ancien président utilisait une ligne téléphonique secrète, enregistrée sous le pseudonyme "Paul Bismuth", pour communiquer avec son ancien avocat.
Au cours des ces échanges, Sarkozy a tenté d'obtenir des informations confidentielles auprès du haut magistrat Gilbert Azibert, sur ''l'affaire Bettencourt". En échange, Sarkozy aurait promis à Azibert un poste prestigieux à Monaco.
Nicolas Sarkozy: Un an ferme...bracelet à la main
Nicolas Sarkozy: Un an ferme...bracelet à la main
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