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Soomy
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Phénomène : Baba Achour ou Baba Noël ?
Alors que les traditions marocaines commencent à disparaître, une association crée Baba Achour pour sauver la mémoire collective.
Dans les magasins de jouets, les poupées à l’effigie du Père Noël connaissent un véritable succès. A des prix défiant toute concurrence, elles sont à la portée de toutes les bourses et l’acte d’achat en soi ne semble poser aucun problème «culturel» aux parents. «Et c’est normal de s’occidentaliser ! Nos enfants connaissent Noël et Halloween, mais pas Baba Achour. Ce personnage qui a longtemps habité la légende marocaine reste un parfait inconnu», constate Najima Tay-Tay Ghozali, présidente de l’Association Conte’Act pour l’éducation et les cultures. Révoltée contre l’amnésie populaire, cette passionnée des traditions a donc décidé de donner vie à Baba Achour. Détrompez-vous, il ne s’agit pas d’une vengeance personnelle, mais plutôt d’un attachement à ce qui constitue l’identité marocaine. «Par manque de conscience, on a perdu la véritable portée d’Achoura à laquelle on colle, malheureusement, l’étiquette de sorcellerie et de magie noire. Or, Achoura n’a rien à voir avec ces idées fausses», confie Najima Tay-Tay Ghozali légitimant la nécessité d’un retour en arrière pour remettre les choses à leur place initiale.
http://www.infomaroc.net/general/97552-phenomene--baba-achour-ou-baba-noeln.html
Alors que les traditions marocaines commencent à disparaître, une association crée Baba Achour pour sauver la mémoire collective.
Dans les magasins de jouets, les poupées à l’effigie du Père Noël connaissent un véritable succès. A des prix défiant toute concurrence, elles sont à la portée de toutes les bourses et l’acte d’achat en soi ne semble poser aucun problème «culturel» aux parents. «Et c’est normal de s’occidentaliser ! Nos enfants connaissent Noël et Halloween, mais pas Baba Achour. Ce personnage qui a longtemps habité la légende marocaine reste un parfait inconnu», constate Najima Tay-Tay Ghozali, présidente de l’Association Conte’Act pour l’éducation et les cultures. Révoltée contre l’amnésie populaire, cette passionnée des traditions a donc décidé de donner vie à Baba Achour. Détrompez-vous, il ne s’agit pas d’une vengeance personnelle, mais plutôt d’un attachement à ce qui constitue l’identité marocaine. «Par manque de conscience, on a perdu la véritable portée d’Achoura à laquelle on colle, malheureusement, l’étiquette de sorcellerie et de magie noire. Or, Achoura n’a rien à voir avec ces idées fausses», confie Najima Tay-Tay Ghozali légitimant la nécessité d’un retour en arrière pour remettre les choses à leur place initiale.
http://www.infomaroc.net/general/97552-phenomene--baba-achour-ou-baba-noeln.html
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Soomy
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La famille Bouche fêtera Noël au Maroc [diapo]
Ils préparaient leur aventure de longue date. La famille Bouche a quitté Tanger pour descendre la côte marocaine et le Sahara Occidental. Ils partagent aujourd'hui les premiers mois de leur aventure à travers le témoignage du papa et skipper, Pascal Bouche.
« A l'arrivée des fêtes de fin d'année, nous avons envie de faire le point » écrit Pascal Bouche. « Cette année 2010 fut pour nous une année de grands bouleversements et de grands changements. Après cinq années de persévérance, d'obstacles divers, de leurs résolutions au-delà de nos espérances, nous sommes arrivés à tourner cette première page qu'est la préparation d'un tel voyage pour pouvoir larguer les amarres et vivre pleinement notre rêve. »
« Rien n'est identique à ce que nous imaginions. Nous cherchions une liberté, des rencontres, de l'humanité, du rêve. Dire que nous n'avons rien vécu de tout cela, serait mentir mais beaucoup d'autres choses et sentiments sont venus s'y ajouter. »
Aborder aussi... la misère
« Tout d'abord, ce sentiment que la misère est partout, juste à nos frontières. Nous imaginons qu'elle est aussi présente en France mais habitués, nous ne la remarquions pas. Elle transpirait légèrement en Espagne où l'on nous parlait de crise économique persévérante. Trois ans que cela dure et que les entreprises se réduisent, ferment laissant de plus en plus de personnes sur le carreau. Cette pauvreté nous semblait acceptable tant le niveau de vie moyen semblait proche de celui présent en France. »
« Arrivés au Portugal, cette pauvreté s'est révélée à nous de façon plus « misérable ». Les enfants des rues sont présents et il subsiste encore des mini-bidonvilles. Ces derniers ont tendance à disparaître non pas parce que le problème est résolu mais tout simplement parce que les pouvoirs publics les démolissent systématiquement pour des raisons « touristiques ». Où partent les habitants de ces bidonvilles rasés ? »
la suite sur :
http://www.letelegramme.com/local/m...ra-noel-au-maroc-diapo-08-12-2010-1132749.php
Ils préparaient leur aventure de longue date. La famille Bouche a quitté Tanger pour descendre la côte marocaine et le Sahara Occidental. Ils partagent aujourd'hui les premiers mois de leur aventure à travers le témoignage du papa et skipper, Pascal Bouche.
« A l'arrivée des fêtes de fin d'année, nous avons envie de faire le point » écrit Pascal Bouche. « Cette année 2010 fut pour nous une année de grands bouleversements et de grands changements. Après cinq années de persévérance, d'obstacles divers, de leurs résolutions au-delà de nos espérances, nous sommes arrivés à tourner cette première page qu'est la préparation d'un tel voyage pour pouvoir larguer les amarres et vivre pleinement notre rêve. »
« Rien n'est identique à ce que nous imaginions. Nous cherchions une liberté, des rencontres, de l'humanité, du rêve. Dire que nous n'avons rien vécu de tout cela, serait mentir mais beaucoup d'autres choses et sentiments sont venus s'y ajouter. »
Aborder aussi... la misère
« Tout d'abord, ce sentiment que la misère est partout, juste à nos frontières. Nous imaginons qu'elle est aussi présente en France mais habitués, nous ne la remarquions pas. Elle transpirait légèrement en Espagne où l'on nous parlait de crise économique persévérante. Trois ans que cela dure et que les entreprises se réduisent, ferment laissant de plus en plus de personnes sur le carreau. Cette pauvreté nous semblait acceptable tant le niveau de vie moyen semblait proche de celui présent en France. »
« Arrivés au Portugal, cette pauvreté s'est révélée à nous de façon plus « misérable ». Les enfants des rues sont présents et il subsiste encore des mini-bidonvilles. Ces derniers ont tendance à disparaître non pas parce que le problème est résolu mais tout simplement parce que les pouvoirs publics les démolissent systématiquement pour des raisons « touristiques ». Où partent les habitants de ces bidonvilles rasés ? »
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http://www.letelegramme.com/local/m...ra-noel-au-maroc-diapo-08-12-2010-1132749.php
Ibnoucidou
juste you and me ! forever my lover
Tu dois nous dire ce que tu en penses toi d'abord non?
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Soomy
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la vérité j'en pense pas grand chose..
mais bon c'est les "fêtes de fin d'année" comme ils disent et je voulais un peu voir comment ca se passe au Maroc...est ce que c'est une "tradition" qui s'est répandu là bas, ou est ce que ca reste marginal....et voilà je voulais faire un peu partager
finallement c'est surtout les expat' et les touristes qui suivent de près cette fête
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Soomy
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