L’agence de notation Standard & Poor’s a décidé de relever la note souveraine du Maroc de négative à stable, la note à long terme étant BBB- et pour la dette à court terme, en devises et en DH, elle est de A-3. Cette amélioration de l’appréciation du Maroc est due à la réduction du déficit public, passé de 7,3% en 2012 à 5,4% en 2013, avec la perspective de continuer à baisser en 2014 (5,2%) et de se situer aux alentours des 4% en 2017.
L’agence apprécie donc à leur juste valeur les efforts du Maroc, qui a dû faire face à une explosion des coûts de la paix sociale en 2011, quand le gouvernement el Fassi avait poussé sur les concessions. Les efforts budgétaires consentis actuellement, essentiellement au niveau de la maîtrise des subventions de la Caisse de compensation, sont aussi entrés en considération dans l’établissement de la note souveraine du Maroc. Et la perspective de libéraliser entièrement le prix de l’énergie a également dû contribuer à ce relèvement de la note souveraine du Maroc.
Par ailleurs, S&P considère que les besoins de financement pourront être satisfaits dans une grande proportion par les marchés financiers internationaux et par l’apport d’argent des investissements directs étrangers, en croissance. Quant à la balance des paiements, elle est passée à 7.5% en 2013 contre 10% une année auparavant, et cette amélioration revient à la stabilité des transferts de fonds des MRE et aux concours financiers des pays du Golfe qui investissement massivement au Maroc.
http://www.panorapost.com/note-souveraine-s-p-releve-la-note-du-maroc-a-stable/
L’agence apprécie donc à leur juste valeur les efforts du Maroc, qui a dû faire face à une explosion des coûts de la paix sociale en 2011, quand le gouvernement el Fassi avait poussé sur les concessions. Les efforts budgétaires consentis actuellement, essentiellement au niveau de la maîtrise des subventions de la Caisse de compensation, sont aussi entrés en considération dans l’établissement de la note souveraine du Maroc. Et la perspective de libéraliser entièrement le prix de l’énergie a également dû contribuer à ce relèvement de la note souveraine du Maroc.
Par ailleurs, S&P considère que les besoins de financement pourront être satisfaits dans une grande proportion par les marchés financiers internationaux et par l’apport d’argent des investissements directs étrangers, en croissance. Quant à la balance des paiements, elle est passée à 7.5% en 2013 contre 10% une année auparavant, et cette amélioration revient à la stabilité des transferts de fonds des MRE et aux concours financiers des pays du Golfe qui investissement massivement au Maroc.
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