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Coronavirus. Recherche : le Montpelliérain Medincell mise sur l’Ivermectine qui tue le virus en 48h
Alors que l'on parle surtout de l’hydroxychloroquine, la biotech héraultaise Medincell lance un projet de recherche à base d’Ivermectine qui tuerait le virus en 48h.
Publié le 27 Avr 20 à 17:29
Installée à Jacou, près de Montpellier, la pépite de la recherche médicale montpelliéraine, la société pharmaceutique Medincell, s’est faite un nom et a assuré son incroyable développement (plus de 130 collaborateurs de plus de 25 nationalités différentes) en concevant la technologie BEPO.
Dosage thérapeutiques
BEPO désigne un dispositif sous-cutané de quelques millimètres, entièrement biorésorbable, installé sur la patient. Ce dispositif libère dans l’organisme un principe actif à doses programmées, ce qui permet de contrôler pendant plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois la délivrance régulière de la dose thérapeutique optimale.
Medincell a déjà adapté sa technologie BEPO a plusieurs traitements (traitement de maintenance de la schizophrénie, antipsychotique, gestion de la douleur post-opératoire et de l’inflammation, contraception, transplantation d’organes) : « MedinCell, avec BEPO, rend les traitements médicaux plus efficients », explique Christophe Douat, président du Directoire de la biotech.
L’efficacité de l’Ivermectine
Le dirigeant annonce que la pépite de la recherche médicale s’est mobilisée pour lancer un programme de recherche spécial Covid-19. Concrètement, Christophe Douat confirme que Medincell « explore depuis plusieurs semaines la troisième voie entre traitement et vaccin pour lutter contre le Covid-19 : la prévention ».
Le programme mené par Medincell vise à mettre au point une formulation d’Ivermectine, médicament utilisé pour traiter les parasitoses (comme la gale).
Le directeur de Medcincell, Christophe Douat, rappelle que l’Ivermectine peut tuer le virus en 48h
Déjà utilisé sur le SRAS
Pourquoi l’Ivermectine ? « Parce que ce médicament est considéré de longue date comme un médicament sûr et efficace pour traiter certaines maladies parasitaires », affirme Christophe Douat qui rappelle son action sur des virus tels que le SRAS, la rage, la grippe, le VIH, la dengue ou le West Nile : « Cette efficacité a été démontrée in vivo ou in vitro dans le passé, laissant ainsi entrevoir un potentiel contre le Covid-19 », estime-t-il.
L’idée de la société héraultaise Medincell : mettre un point un dispositif injectable à base d’Ivermectine pour protéger les personnes non-infectées par le Covid-19 « et rompre ainsi la chaine de transmission », précise Christophe Douat, qui ajoute : « un tel outil pourrait jouer un rôle crucial dans la gestion de la pandémie du Covid-19, en permettant à de nombreuses personnes dans le monde, notamment les plus exposées et les plus à risque, d’être protégées ».
Pas de vaccin avant longtemps
Pour le dirigeant, il s’agit d’explorer ainsi « une troisième voie : le temps de mise au point des vaccins est très long et il faudra certainement attendre plusieurs années, et sans certitude que les recherches aboutissent… À ce jour, aucun vaccin n’a jamais été développé pour un Coronavirus, et un virus peut muter, rendant le vaccin inefficace… Notre produit reprend un concept déjà utilisé dans le VIH pour protéger les populations à risque », conclut le dirigeant montpelliérain.
Coronavirus. Recherche : le Montpelliérain Medincell mise sur l’Ivermectine qui tue le virus en 48h
Alors que l'on parle surtout de l’hydroxychloroquine, la biotech héraultaise Medincell lance un projet de recherche à base d’Ivermectine qui tuerait le virus en 48h.
Publié le 27 Avr 20 à 17:29
Installée à Jacou, près de Montpellier, la pépite de la recherche médicale montpelliéraine, la société pharmaceutique Medincell, s’est faite un nom et a assuré son incroyable développement (plus de 130 collaborateurs de plus de 25 nationalités différentes) en concevant la technologie BEPO.
Dosage thérapeutiques
BEPO désigne un dispositif sous-cutané de quelques millimètres, entièrement biorésorbable, installé sur la patient. Ce dispositif libère dans l’organisme un principe actif à doses programmées, ce qui permet de contrôler pendant plusieurs jours, plusieurs semaines ou plusieurs mois la délivrance régulière de la dose thérapeutique optimale.
Medincell a déjà adapté sa technologie BEPO a plusieurs traitements (traitement de maintenance de la schizophrénie, antipsychotique, gestion de la douleur post-opératoire et de l’inflammation, contraception, transplantation d’organes) : « MedinCell, avec BEPO, rend les traitements médicaux plus efficients », explique Christophe Douat, président du Directoire de la biotech.
L’efficacité de l’Ivermectine
Le dirigeant annonce que la pépite de la recherche médicale s’est mobilisée pour lancer un programme de recherche spécial Covid-19. Concrètement, Christophe Douat confirme que Medincell « explore depuis plusieurs semaines la troisième voie entre traitement et vaccin pour lutter contre le Covid-19 : la prévention ».
Le programme mené par Medincell vise à mettre au point une formulation d’Ivermectine, médicament utilisé pour traiter les parasitoses (comme la gale).
Le directeur de Medcincell, Christophe Douat, rappelle que l’Ivermectine peut tuer le virus en 48h
Déjà utilisé sur le SRAS
Pourquoi l’Ivermectine ? « Parce que ce médicament est considéré de longue date comme un médicament sûr et efficace pour traiter certaines maladies parasitaires », affirme Christophe Douat qui rappelle son action sur des virus tels que le SRAS, la rage, la grippe, le VIH, la dengue ou le West Nile : « Cette efficacité a été démontrée in vivo ou in vitro dans le passé, laissant ainsi entrevoir un potentiel contre le Covid-19 », estime-t-il.
De plus, Medincell connaît ce produit : la biotech développe déjà une formulation d’Ivermectine injectable à action prolongée pendant plusieurs mois pour neutraliser le vecteur de la malaria.C’est la troisième voie : l’Ivermectine peut protéger les personnes non-infectées par le Covid-19 et rompre la chaine de transmission »
L’idée de la société héraultaise Medincell : mettre un point un dispositif injectable à base d’Ivermectine pour protéger les personnes non-infectées par le Covid-19 « et rompre ainsi la chaine de transmission », précise Christophe Douat, qui ajoute : « un tel outil pourrait jouer un rôle crucial dans la gestion de la pandémie du Covid-19, en permettant à de nombreuses personnes dans le monde, notamment les plus exposées et les plus à risque, d’être protégées ».
Pas de vaccin avant longtemps
Pour le dirigeant, il s’agit d’explorer ainsi « une troisième voie : le temps de mise au point des vaccins est très long et il faudra certainement attendre plusieurs années, et sans certitude que les recherches aboutissent… À ce jour, aucun vaccin n’a jamais été développé pour un Coronavirus, et un virus peut muter, rendant le vaccin inefficace… Notre produit reprend un concept déjà utilisé dans le VIH pour protéger les populations à risque », conclut le dirigeant montpelliérain.