Une équipe de chercheurs américains a découvert deux nouveaux anticorps puissants qui pourraient permettre de créer un vaccin contre le virus du sida, selon des travaux publiés jeudi 3 septembre.
Les scientifiques vont maintenant essayer d'exploiter ces vulnérabilités du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) pour élaborer de nouvelles approches afin de concevoir un vaccin. Ils espèrent empêcher ainsi l'infection responsable de plus de 25 millions de morts depuis 1981. Ces super anticorps appelés "bNAbs" ont des capacités étendues de neutralisation du VIH.
Le processus par lequel ces anticorps ont été découverts va probablement révéler encore plus de vulnérabilités du virus, estiment ces chercheurs, dont les travaux paraissent dans la revue états-unienne Science datée du 4 septembre. "Cette découverte représente en elle-même une percée prometteuse vers l'objectif de développer un vaccin efficace contre le sida car nous avons potentiellement une meilleure cible sur laquelle mobiliser nos efforts", explique Wayne Koff, directeur de la recherche et du développement du IAVI, l'Initiative mondiale
Source : Le Monde
Les scientifiques vont maintenant essayer d'exploiter ces vulnérabilités du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) pour élaborer de nouvelles approches afin de concevoir un vaccin. Ils espèrent empêcher ainsi l'infection responsable de plus de 25 millions de morts depuis 1981. Ces super anticorps appelés "bNAbs" ont des capacités étendues de neutralisation du VIH.
Le processus par lequel ces anticorps ont été découverts va probablement révéler encore plus de vulnérabilités du virus, estiment ces chercheurs, dont les travaux paraissent dans la revue états-unienne Science datée du 4 septembre. "Cette découverte représente en elle-même une percée prometteuse vers l'objectif de développer un vaccin efficace contre le sida car nous avons potentiellement une meilleure cible sur laquelle mobiliser nos efforts", explique Wayne Koff, directeur de la recherche et du développement du IAVI, l'Initiative mondiale
Source : Le Monde