Dans un plaidoyer passionné pour la liberté de culte, le président américain Barack Obama a défendu vendredi le droit d'installer une mosquée près du site des attentats du 11-Septembre à New York, intervenant pour la première fois dans ce dossier potentiellement explosif.
"En tant que citoyen, en tant que président, je crois que les musulmans ont le même droit de pratiquer leur religion que quiconque dans ce pays. Cela comprend le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire dans une propriété privée dans le sud de Manhattan", a affirmé M. Obama à l'occasion d'un repas de rupture du jeûne de ramadan à la Maison Blanche.
"Nous sommes aux Etats-Unis, et notre engagement en faveur de la liberté de religion doit être inaltérable. Le principe, selon lequel les gens de toutes les croyances sont les bienvenues dans ce pays et ne seront pas traités différemment par leur gouvernement, est essentiel à ce que nous sommes", a ajouté le président, en citant le premier amendement de la Constitution des Etats-Unis qui garantit la liberté de culte.
PS -climat d'islamophobie exacerbé" dans le pays à l'approche du 11 septembre, qui coïncide cette année avec la fin du ramadan, calculé sur le calendrier lunaire.
"En tant que citoyen, en tant que président, je crois que les musulmans ont le même droit de pratiquer leur religion que quiconque dans ce pays. Cela comprend le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire dans une propriété privée dans le sud de Manhattan", a affirmé M. Obama à l'occasion d'un repas de rupture du jeûne de ramadan à la Maison Blanche.
"Nous sommes aux Etats-Unis, et notre engagement en faveur de la liberté de religion doit être inaltérable. Le principe, selon lequel les gens de toutes les croyances sont les bienvenues dans ce pays et ne seront pas traités différemment par leur gouvernement, est essentiel à ce que nous sommes", a ajouté le président, en citant le premier amendement de la Constitution des Etats-Unis qui garantit la liberté de culte.
PS -climat d'islamophobie exacerbé" dans le pays à l'approche du 11 septembre, qui coïncide cette année avec la fin du ramadan, calculé sur le calendrier lunaire.