Ode au cochon.....

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Espiegle69

Evil Halouf
Puisque l'on peut être musulman et aimer la compagnie du plus bel animal que Dieu ait crée, j'ai nommé le cochon !!!!

C'est pourquoi, aujourd’hui dans un élan d’amour inextinguible, j’ai décidé de parler du cochon. Car quel animal saurait plus que lui mériter la gloire et la reconnaissance que lui vaudront cette ode ?

D’aucuns me répondront, d’un ton sec et péremptoire : « Pourquoi pas l’oryctérope ? »

A quoi je répondrais, calme et mesuré comme je sais l’être : « pas l’oryctérope parce que Vialatte lui a donné ses lettres de gloire, et que par ailleurs, l’oryctérope n’est rien d’autre qu’un cochon au groin monté en graine et au goût de fourmi, donc un hommage au cochon ne saurait que déteindre positivement sur son cousin l’oryctérope, fermons les guillemets et mettons un point ».


Parlons du cochon, donc. Le cochon est l’ami de l’homme, et même de l’amateur de Feng-shui. En effet, il peut se targuer de présenter deux (charmantes) oreilles orientées Est/Ouest balançant parfaitement un groin (humide et amical) et une queue en tire-bouchon formant l’axe Nord/Sud, et ne s’en tient pas là.

Ses pattes sont également disposées d’une manière agréable à l’œil et favorable à un déplacement gracieux et chaloupé : la patte avant gauche est située à l’extrémité d’une diagonale dont l’autre sommet est la patte arrière droite. Cette diagonale croise en son milieu l’autre diagonale PAD / PArG (vous me pardonnerez l’usage de ces termes scientifiques), réjouissant le géomètricien.

On trouve également à l’actif du cochon un éjaculat d’un demi-litre, ou 0,88 pinte (anglo-saxonne), et une gestation de trois mois, trois semaines et trois jours, qui a inspiré le titre de la dernière Palme d’Or à Cannes. On voit donc qu’en plus du mathématicien, le cochon inspire le cinéaste.

Par ailleurs, là où le rhinocéros barète vulgairement, où le renard roux glapit comme une anglaise aux grandes dents pincée au postérieur par un malappris et où la girafe n’a rien à dire, le cochon grouine avec distinction. Son Gruiiiiii, solennel, impérial, n’accepte aucune concession, quitte à atteindre les 115 décibels pour affirmer ses idéaux, toujours justes, car le cochon est un humaniste.

Le cochon porte également d’autres noms des plus poétiques, naissant ravissant porcelet pour évoluer en cochonnet (la pétanque est un des rares sports à avoir reconnu la grandeur du cochon). Après son sevrage, épisode déchirant de séparation, le cochonnet devient nourrin, ou cochette s’il s’agit d’une demoiselle.

Le cochon est aussi un auxiliaire essentiel à l’homme dans nombre d’activités : fouillant les sous-sols périgourdins, son groin indique à l’homme qu’il guide la présence des truffes, petits animaux discrets et délicieux. C’est ainsi par la grandeur d’âme du cochon, qui, magnanime, laisse à l’homme le fruit de ses recherches, que l’on peut faire des omelettes aux truffes, des truites au beurre de truffes ou du pâté aux truffes.


En ce qui concerne ce dernier, la contribution du cochon ne se limite d’ailleurs pas aux truffes : l’homme, toujours ingrat, tuera le cochon après la cueillette. Il lui coupera le cou sans prêter attention à ses cris déchirants, touillera le sang dans une bassine en cuivre avec du vinaigre (il pourra même touiller dans plusieurs sens, contrairement au touilleur d’aligot, qui risquerait alors de gâcher irréparablement sa concoction), brûlera ses soies au chalumeau à gaz, dévidera ses boyaux pour les brancher sur le robinet du jardin, et le découpera en morceaux avec le grand couteau conservé en haut de l'armoire, aiguisé pour l'occasion.


O truie, délicate et saine ! ô porc devenu ennemi ! Toi que l'on a, cochon qui s'en dédit, pris en grippe, je me souviens moins de tes "gruiiik" que de juste un bruit doux, ô mon tendre cochonou ! ...”
 
j'ai pas tout lu mais pour tout ce qu'il nous donne de ce qu'il a de meilleur (jambon, saucisson etc ....) je lui dit "Ôh cochon, mon beau cochon, comme tu es délicieux" !!
 
Puisque l'on peut être musulman et aimer la compagnie du plus bel animal que Dieu ait crée, j'ai nommé le cochon !!!!

C'est pourquoi, aujourd’hui dans un élan d’amour inextinguible, j’ai décidé de parler du cochon. Car quel animal saurait plus que lui mériter la gloire et la reconnaissance que lui vaudront cette ode ?

D’aucuns me répondront, d’un ton sec et péremptoire : « Pourquoi pas l’oryctérope ? »

A quoi je répondrais, calme et mesuré comme je sais l’être : « pas l’oryctérope parce que Vialatte lui a donné ses lettres de gloire, et que par ailleurs, l’oryctérope n’est rien d’autre qu’un cochon au groin monté en graine et au goût de fourmi, donc un hommage au cochon ne saurait que déteindre positivement sur son cousin l’oryctérope, fermons les guillemets et mettons un point ».


Parlons du cochon, donc. Le cochon est l’ami de l’homme, et même de l’amateur de Feng-shui. En effet, il peut se targuer de présenter deux (charmantes) oreilles orientées Est/Ouest balançant parfaitement un groin (humide et amical) et une queue en tire-bouchon formant l’axe Nord/Sud, et ne s’en tient pas là.

Ses pattes sont également disposées d’une manière agréable à l’œil et favorable à un déplacement gracieux et chaloupé : la patte avant gauche est située à l’extrémité d’une diagonale dont l’autre sommet est la patte arrière droite. Cette diagonale croise en son milieu l’autre diagonale PAD / PArG (vous me pardonnerez l’usage de ces termes scientifiques), réjouissant le géomètricien.

On trouve également à l’actif du cochon un éjaculat d’un demi-litre, ou 0,88 pinte (anglo-saxonne), et une gestation de trois mois, trois semaines et trois jours, qui a inspiré le titre de la dernière Palme d’Or à Cannes. On voit donc qu’en plus du mathématicien, le cochon inspire le cinéaste.

Par ailleurs, là où le rhinocéros barète vulgairement, où le renard roux glapit comme une anglaise aux grandes dents pincée au postérieur par un malappris et où la girafe n’a rien à dire, le cochon grouine avec distinction. Son Gruiiiiii, solennel, impérial, n’accepte aucune concession, quitte à atteindre les 115 décibels pour affirmer ses idéaux, toujours justes, car le cochon est un humaniste.

Le cochon porte également d’autres noms des plus poétiques, naissant ravissant porcelet pour évoluer en cochonnet (la pétanque est un des rares sports à avoir reconnu la grandeur du cochon). Après son sevrage, épisode déchirant de séparation, le cochonnet devient nourrin, ou cochette s’il s’agit d’une demoiselle.

Le cochon est aussi un auxiliaire essentiel à l’homme dans nombre d’activités : fouillant les sous-sols périgourdins, son groin indique à l’homme qu’il guide la présence des truffes, petits animaux discrets et délicieux. C’est ainsi par la grandeur d’âme du cochon, qui, magnanime, laisse à l’homme le fruit de ses recherches, que l’on peut faire des omelettes aux truffes, des truites au beurre de truffes ou du pâté aux truffes.


En ce qui concerne ce dernier, la contribution du cochon ne se limite d’ailleurs pas aux truffes : l’homme, toujours ingrat, tuera le cochon après la cueillette. Il lui coupera le cou sans prêter attention à ses cris déchirants, touillera le sang dans une bassine en cuivre avec du vinaigre (il pourra même touiller dans plusieurs sens, contrairement au touilleur d’aligot, qui risquerait alors de gâcher irréparablement sa concoction), brûlera ses soies au chalumeau à gaz, dévidera ses boyaux pour les brancher sur le robinet du jardin, et le découpera en morceaux avec le grand couteau conservé en haut de l'armoire, aiguisé pour l'occasion.


O truie, délicate et saine ! ô porc devenu ennemi ! Toi que l'on a, cochon qui s'en dédit, pris en grippe, je me souviens moins de tes "gruiiik" que de juste un bruit doux, ô mon tendre cochonou ! ...”
Car tout est bon en toi : chair, graisse, muscle, tripe !
On t’aime galantine, on t’adore boudin.
Ton pied, dont une sainte a consacré le type,
Empruntant son arôme au sol périgourdin,

Eût réconcilié Socrate avec Xantippe.
Ton filet, qu’embellit le cornichon badin,
Forme le déjeuner de l’humble citadin ;
Et tu passes avant l’oie au frère Philippe.

Mérites précieux et de tous reconnus !
Morceaux marqués d’avance, innombrables, charnus !
Philosophe indolent, qui mange et que l’on mange !

Comme dans notre orgueil nous sommes bien venus
A vouloir, n’est-ce pas, te reprocher ta fange !
Adorable cochon ! Animal roi ! - Cher ange !
 
ton texte est le fruit d'une production 100% tienne ?

Juste curiosité :D

Puisque l'on peut être musulman et aimer la compagnie du plus bel animal que Dieu ait crée, j'ai nommé le cochon !!!!

C'est pourquoi, aujourd’hui dans un élan d’amour inextinguible, j’ai décidé de parler du cochon. Car quel animal saurait plus que lui mériter la gloire et la reconnaissance que lui vaudront cette ode ?

D’aucuns me répondront, d’un ton sec et péremptoire : « Pourquoi pas l’oryctérope ? »

A quoi je répondrais, calme et mesuré comme je sais l’être : « pas l’oryctérope parce que Vialatte lui a donné ses lettres de gloire, et que par ailleurs, l’oryctérope n’est rien d’autre qu’un cochon au groin monté en graine et au goût de fourmi, donc un hommage au cochon ne saurait que déteindre positivement sur son cousin l’oryctérope, fermons les guillemets et mettons un point ».


Parlons du cochon, donc. Le cochon est l’ami de l’homme, et même de l’amateur de Feng-shui. En effet, il peut se targuer de présenter deux (charmantes) oreilles orientées Est/Ouest balançant parfaitement un groin (humide et amical) et une queue en tire-bouchon formant l’axe Nord/Sud, et ne s’en tient pas là.

Ses pattes sont également disposées d’une manière agréable à l’œil et favorable à un déplacement gracieux et chaloupé : la patte avant gauche est située à l’extrémité d’une diagonale dont l’autre sommet est la patte arrière droite. Cette diagonale croise en son milieu l’autre diagonale PAD / PArG (vous me pardonnerez l’usage de ces termes scientifiques), réjouissant le géomètricien.

On trouve également à l’actif du cochon un éjaculat d’un demi-litre, ou 0,88 pinte (anglo-saxonne), et une gestation de trois mois, trois semaines et trois jours, qui a inspiré le titre de la dernière Palme d’Or à Cannes. On voit donc qu’en plus du mathématicien, le cochon inspire le cinéaste.

Par ailleurs, là où le rhinocéros barète vulgairement, où le renard roux glapit comme une anglaise aux grandes dents pincée au postérieur par un malappris et où la girafe n’a rien à dire, le cochon grouine avec distinction. Son Gruiiiiii, solennel, impérial, n’accepte aucune concession, quitte à atteindre les 115 décibels pour affirmer ses idéaux, toujours justes, car le cochon est un humaniste.

Le cochon porte également d’autres noms des plus poétiques, naissant ravissant porcelet pour évoluer en cochonnet (la pétanque est un des rares sports à avoir reconnu la grandeur du cochon). Après son sevrage, épisode déchirant de séparation, le cochonnet devient nourrin, ou cochette s’il s’agit d’une demoiselle.

Le cochon est aussi un auxiliaire essentiel à l’homme dans nombre d’activités : fouillant les sous-sols périgourdins, son groin indique à l’homme qu’il guide la présence des truffes, petits animaux discrets et délicieux. C’est ainsi par la grandeur d’âme du cochon, qui, magnanime, laisse à l’homme le fruit de ses recherches, que l’on peut faire des omelettes aux truffes, des truites au beurre de truffes ou du pâté aux truffes.


En ce qui concerne ce dernier, la contribution du cochon ne se limite d’ailleurs pas aux truffes : l’homme, toujours ingrat, tuera le cochon après la cueillette. Il lui coupera le cou sans prêter attention à ses cris déchirants, touillera le sang dans une bassine en cuivre avec du vinaigre (il pourra même touiller dans plusieurs sens, contrairement au touilleur d’aligot, qui risquerait alors de gâcher irréparablement sa concoction), brûlera ses soies au chalumeau à gaz, dévidera ses boyaux pour les brancher sur le robinet du jardin, et le découpera en morceaux avec le grand couteau conservé en haut de l'armoire, aiguisé pour l'occasion.


O truie, délicate et saine ! ô porc devenu ennemi ! Toi que l'on a, cochon qui s'en dédit, pris en grippe, je me souviens moins de tes "gruiiik" que de juste un bruit doux, ô mon tendre cochonou ! ...”
 
j'ai pas tout lu mais pour tout ce qu'il nous donne de ce qu'il a de meilleur (jambon, saucisson etc ....) je lui dit "Ôh cochon, mon beau cochon, comme tu es délicieux" !!

T'as rien compris bordel !!! :fou:

C'est une ôde au cochon de la part de ceux qui n'en mangent pas.....

Et toi tu me parles de saucisson fait à base de tripes de ce noble animal.....:(
 
Puisque l'on peut être musulman et aimer la compagnie du plus bel animal que Dieu ait crée, j'ai nommé le cochon !!!!

C'est pourquoi, aujourd’hui dans un élan d’amour inextinguible, j’ai décidé de parler du cochon. Car quel animal saurait plus que lui mériter la gloire et la reconnaissance que lui vaudront cette ode ?

D’aucuns me répondront, d’un ton sec et péremptoire : « Pourquoi pas l’oryctérope ? »

A quoi je répondrais, calme et mesuré comme je sais l’être : « pas l’oryctérope parce que Vialatte lui a donné ses lettres de gloire, et que par ailleurs, l’oryctérope n’est rien d’autre qu’un cochon au groin monté en graine et au goût de fourmi, donc un hommage au cochon ne saurait que déteindre positivement sur son cousin l’oryctérope, fermons les guillemets et mettons un point ».


Parlons du cochon, donc. Le cochon est l’ami de l’homme, et même de l’amateur de Feng-shui. En effet, il peut se targuer de présenter deux (charmantes) oreilles orientées Est/Ouest balançant parfaitement un groin (humide et amical) et une queue en tire-bouchon formant l’axe Nord/Sud, et ne s’en tient pas là.

Ses pattes sont également disposées d’une manière agréable à l’œil et favorable à un déplacement gracieux et chaloupé : la patte avant gauche est située à l’extrémité d’une diagonale dont l’autre sommet est la patte arrière droite. Cette diagonale croise en son milieu l’autre diagonale PAD / PArG (vous me pardonnerez l’usage de ces termes scientifiques), réjouissant le géomètricien.

On trouve également à l’actif du cochon un éjaculat d’un demi-litre, ou 0,88 pinte (anglo-saxonne), et une gestation de trois mois, trois semaines et trois jours, qui a inspiré le titre de la dernière Palme d’Or à Cannes. On voit donc qu’en plus du mathématicien, le cochon inspire le cinéaste.

Par ailleurs, là où le rhinocéros barète vulgairement, où le renard roux glapit comme une anglaise aux grandes dents pincée au postérieur par un malappris et où la girafe n’a rien à dire, le cochon grouine avec distinction. Son Gruiiiiii, solennel, impérial, n’accepte aucune concession, quitte à atteindre les 115 décibels pour affirmer ses idéaux, toujours justes, car le cochon est un humaniste.

Le cochon porte également d’autres noms des plus poétiques, naissant ravissant porcelet pour évoluer en cochonnet (la pétanque est un des rares sports à avoir reconnu la grandeur du cochon). Après son sevrage, épisode déchirant de séparation, le cochonnet devient nourrin, ou cochette s’il s’agit d’une demoiselle.

Le cochon est aussi un auxiliaire essentiel à l’homme dans nombre d’activités : fouillant les sous-sols périgourdins, son groin indique à l’homme qu’il guide la présence des truffes, petits animaux discrets et délicieux. C’est ainsi par la grandeur d’âme du cochon, qui, magnanime, laisse à l’homme le fruit de ses recherches, que l’on peut faire des omelettes aux truffes, des truites au beurre de truffes ou du pâté aux truffes.


En ce qui concerne ce dernier, la contribution du cochon ne se limite d’ailleurs pas aux truffes : l’homme, toujours ingrat, tuera le cochon après la cueillette. Il lui coupera le cou sans prêter attention à ses cris déchirants, touillera le sang dans une bassine en cuivre avec du vinaigre (il pourra même touiller dans plusieurs sens, contrairement au touilleur d’aligot, qui risquerait alors de gâcher irréparablement sa concoction), brûlera ses soies au chalumeau à gaz, dévidera ses boyaux pour les brancher sur le robinet du jardin, et le découpera en morceaux avec le grand couteau conservé en haut de l'armoire, aiguisé pour l'occasion.


O truie, délicate et saine ! ô porc devenu ennemi ! Toi que l'on a, cochon qui s'en dédit, pris en grippe, je me souviens moins de tes "gruiiik" que de juste un bruit doux, ô mon tendre cochonou ! ...”

Magnifique declaration...

J'ajouterais deux extraits celebres qui illustrent cette ode !!!

:D

YouTube- spider cochon vrai version

Attention a celle ci !! L'air une fois ecoute, ne se detache plus de notre cervelle !! :p

YouTube- Leon's pig

J'adore cette scene !! :rouge:
 
Non, j'avoue......

Je ne suis pas capable de ce genre d'exploit littéraire.....:laue:

curiosité savante chère Blabilette. Cet evil halouf nous fait manger du boudin de la veille réchauffé

T'es vraiment qu'une Poucave......

oh c'est juste que j'avais lu le texte quelque part .. et je voulais confirmation ...
merci les amis.
Sinon je ne mange pas de halouf...
.. QUOIQUE .. la dernière fois j'ai acheté un friand au boeuf...
quelques jours après, je tombais sur une autre vendeuse, je demande le même friand, elle me dit que ce n'est pas du 100% boeuf mais que c'est mélangé.

:eek:

est-ce que j'ai pêché? :rolleyes:
 
oh c'est juste que j'avais lu le texte quelque part .. et je voulais confirmation ...
merci les amis.
Sinon je ne mange pas de halouf...
.. QUOIQUE .. la dernière fois j'ai acheté un friand au boeuf...
quelques jours après, je tombais sur une autre vendeuse, je demande le même friand, elle me dit que ce n'est pas du 100% boeuf mais que c'est mélangé.

:eek:

est-ce que j'ai pêché?

Absolument !!!!

Tu dois immédiatement aller te couper les veines près d'un hôpital, te vider de ton sang afin de bénéficier d'une transfusion sanguine complète......:eek:
 
Car tout est bon en toi : chair, graisse, muscle, tripe !
On t’aime galantine, on t’adore boudin.
Ton pied, dont une sainte a consacré le type,
Empruntant son arôme au sol périgourdin,

Eût réconcilié Socrate avec Xantippe.
Ton filet, qu’embellit le cornichon badin,
Forme le déjeuner de l’humble citadin ;
Et tu passes avant l’oie au frère Philippe.

Mérites précieux et de tous reconnus !
Morceaux marqués d’avance, innombrables, charnus !
Philosophe indolent, qui mange et que l’on mange !

Comme dans notre orgueil nous sommes bien venus
A vouloir, n’est-ce pas, te reprocher ta fange !
Adorable cochon ! Animal roi ! - Cher ange !

http://www.bmlisieux.com/curiosa/dubled02.htm

Pffff.....:rolleyes:
 
Absolument !!!!

Tu dois immédiatement aller te couper les veines près d'un hôpital, te vider de ton sang afin de bénéficier d'une transfusion sanguine complète......:eek:

mais ce n'était pas intentionnel !!! par contre si je me coupe les veines, je pêcherai doublement car la torture serait délibérée !
ah ... y a moyen de se confesser ? :D
 
mais ce n'était pas intentionnel !!! par contre si je me coupe les veines, je pêcherai doublement car la torture serait délibérée !
ah ... y a moyen de se confesser ? : D

moi j dis arrête les mélanges et passe au pur porc !!!!!!!!!!!!

comme ca tu n'auras pas de regrets !! :D

je vous jure, c'est très bon !! :D
 
moi j dis arrête les mélanges et passe au pur porc !!!!!!!!!!!!

comme ca tu n'auras pas de regrets !!

je vous jure, c'est très bon !! D

je n'aime pas sa couleur ni sa texture ..
mm .. autrement j'aurais PEUT ETRE considéré tes propos ...
hélas.. je n'aime pas me forcer la main ...

Pas de confession qui tienne !!!!

Seule alternative : adopte 5 orphelins..............et un cochon domestique....
mais tu comprends pas.. j'ai pas les moyens!!! ... :(
déjà moi je me nourris au friand au boeuf .. un seul par midi ..
alors abecquer trois estomacs et un gros halouf ... je ne vois pas comment ..
 
je n'aime pas sa couleur ni sa texture ..
mm .. autrement j'aurais PEUT ETRE considéré tes propos ...
hélas.. je n'aime pas me forcer la main ...


mais tu comprends pas.. j'ai pas les moyens!!! ... :(
déjà moi je me nourris au friand au boeuf .. un seul par midi ..
alors abecquer trois estomacs et un gros halouf ... je ne vois pas comment ..

Friand de boeuf, en barquette je présume ?? y a des gens qui mangent ça ??

Mange des pâtes, c'est plus économique !!! ;)
 
Je ne connais pas beaucoup de gens pauvres qui mangent des friands au boeuf......


Vraiment Chelou cette Blabilette......:eek:, elle doit travailler chez Charal.....

c'est pas ça..
au fait j'ai des ticket restau..
et j'ai aussi un compromis avec ma boulangerie .. pas besoin d'utiliser entièrement le montant du ticket..
donc un friand au boeuf par jour je juge que c bien, y a des protéine ( viande ) pour pas cher ..
et pis ça me fait des économies sur les tickets.. one per week ...
 
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