À 43 ans, Alain na pas envie de continuer à bénéficier du RMI ou même, demain, du RSA.
Ce toulousain a travaillé quinze ans comme agent hospitalier à Purpan, puis une dizaine dannée comme conducteur de bus, avant dêtre licencié en 2002, selon La Dépêche.
«Jai fait une dépression nerveuse suite à mon divorce, et jai perdu mon emploi» confie-t-il à La Dépêche.
Après son licenciement, Alain part à l'étranger.
Dabord en Thaïlande, puis au Maroc, où il devient entraîneur de chevaux de course, avant de se retrouver au Sénégal.
En 2008, Alain rentre en France, pour cause de crise économique.
Le voilà bénéficiaire du RMI, mais Alain précise «Je nai aucune envie de le rester».
Alors, comme il ne trouve pas de travail, il envisage une solution.
Une solution extrême.
«Je n'ai jamais dépendu de personne.Je veux faire les choses par moi-même» avoue Alain.
Et cest ainsi quil a décidé doffrir un rein contre un emploi stable, précise La Dépêche.
Jeudi, il a déposé une dizaine d'annonces sur des sites de recherche d'emploi.
Alain dit dans La Dépêche que «beaucoup de gens sont à la recherche d'un rein, pour soi ou pour un proche: peut-être un chef d'entreprise, qui aura le pouvoir de me donner un emploi. De toute façon, personne n'engage, j'ai envoyé déjà des centaines de CV, et personne ne veut de moi. J'aimerais bien travailler de nouveau dans le domaine hospitalier. Et je m'engage à me faire opérer dans l'établissement qui voudra bien me recruter. Dans la crise, il faut chercher des issues. Moi, j'ai trouvé celle-là. En plus, je ferai quelque chose de bien.»
Mais Alain nest pas né de la dernière pluie.
Il a bien lintention de prendre des précautions pour ne pas se faire gruger.
«Je sais ce que je risque médicalement, mais mon père adoptif vit bien avec un seul rein, alors pourquoi pas moi ? Et surtout, j'assurerai mes arrières. Il ne faudrait pas que je donne un rein, et qu'on me vire au bout de trois mois. Je veux un emploi stable. Je vais m'entourer d'avocats».
"J'y crois pas, je n'ai eu qu'une seule proposition, et elle est tombée à l'eau" nous confie Alain, ce lundi, "déçu."
Ce toulousain a travaillé quinze ans comme agent hospitalier à Purpan, puis une dizaine dannée comme conducteur de bus, avant dêtre licencié en 2002, selon La Dépêche.
«Jai fait une dépression nerveuse suite à mon divorce, et jai perdu mon emploi» confie-t-il à La Dépêche.
Après son licenciement, Alain part à l'étranger.
Dabord en Thaïlande, puis au Maroc, où il devient entraîneur de chevaux de course, avant de se retrouver au Sénégal.
En 2008, Alain rentre en France, pour cause de crise économique.
Le voilà bénéficiaire du RMI, mais Alain précise «Je nai aucune envie de le rester».
Alors, comme il ne trouve pas de travail, il envisage une solution.
Une solution extrême.
«Je n'ai jamais dépendu de personne.Je veux faire les choses par moi-même» avoue Alain.
Et cest ainsi quil a décidé doffrir un rein contre un emploi stable, précise La Dépêche.
Jeudi, il a déposé une dizaine d'annonces sur des sites de recherche d'emploi.
Alain dit dans La Dépêche que «beaucoup de gens sont à la recherche d'un rein, pour soi ou pour un proche: peut-être un chef d'entreprise, qui aura le pouvoir de me donner un emploi. De toute façon, personne n'engage, j'ai envoyé déjà des centaines de CV, et personne ne veut de moi. J'aimerais bien travailler de nouveau dans le domaine hospitalier. Et je m'engage à me faire opérer dans l'établissement qui voudra bien me recruter. Dans la crise, il faut chercher des issues. Moi, j'ai trouvé celle-là. En plus, je ferai quelque chose de bien.»
Mais Alain nest pas né de la dernière pluie.
Il a bien lintention de prendre des précautions pour ne pas se faire gruger.
«Je sais ce que je risque médicalement, mais mon père adoptif vit bien avec un seul rein, alors pourquoi pas moi ? Et surtout, j'assurerai mes arrières. Il ne faudrait pas que je donne un rein, et qu'on me vire au bout de trois mois. Je veux un emploi stable. Je vais m'entourer d'avocats».
"J'y crois pas, je n'ai eu qu'une seule proposition, et elle est tombée à l'eau" nous confie Alain, ce lundi, "déçu."