PROCHE-ORIENT - Les autorités israéliennes ne l'ont pas laissé rentrer dans la bande de Gaza...
Le dirigeant du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot n'a pu pénétrer dans la bande de Gaza lundi en raison d'un «refus catégorique» des autorités israéliennes, selon ses propres termes.
«On a été reconduits par les autorités israéliennes», a-t-il expliqué à l'AFP en précisant avoir attendu deux ou trois heures en vain au point de passage d'Erez, entre Israël et le territoire palestinien. «La raison invoquée, c'est que les délégations politiques n'ont pas le droit de rentrer à Gaza», contrairement aux délégations humanitaires et diplomatiques.
Visite à Bethléem
Un responsable militaire israélien a affirmé ne pas être au courant du cas spécifique de Besancenot et de sa délégation indiquant que «pour obtenir l'autorisation d'entrer à Gaza une demande doit être déposée plusieurs jours à l'avance auprès de l'armée qui décide en dernière instance». Israël maintient un blocus de ce territoire contrôlé par le Hamas, théâtre d'une opération israélienne ayant fait plus de 1.400 morts palestiniens fin 2008-début 2009.
Olivier Besancenot, qui a entamé samedi une visite en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, doit à présent se rendre dans le camp de réfugiés de Bethléem, en Cisjordanie, avant de s'entretenir avec le militant pacifiste israélien Uri Avneri, a-t-il indiqué.
«Témoigner de sa solidarité»
Le dirigeant du NPA a rencontré samedi des militants d'extrême gauche, israéliens et palestiniens, juifs et arabes, engagés «dans la lutte contre l'occupation israélienne». Il s'est entretenu dimanche à Naplouse (nord de la Cisjordanie) avec Hussein Khader, député du parti Fatah d'Abbas. Son retour en France est prévu mardi.
Le NPA avait expliqué samedi dans un communiqué que Besancenot avait pour «objectif principal de témoigner de sa solidarité (...) avec la population palestinienne et avec ceux qui, en Israël, s'opposent à la politique criminelle de leur Etat».
>> En raison de débordements systématiques, nous nous voyons contraints de fermer cet article aux commentaires. Si vous avez des infos ou des témoignages intéressants, n'hésitez pas à nous les envoyer au 33320@ 20minutes.fr
Avec agence
Le dirigeant du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot n'a pu pénétrer dans la bande de Gaza lundi en raison d'un «refus catégorique» des autorités israéliennes, selon ses propres termes.
«On a été reconduits par les autorités israéliennes», a-t-il expliqué à l'AFP en précisant avoir attendu deux ou trois heures en vain au point de passage d'Erez, entre Israël et le territoire palestinien. «La raison invoquée, c'est que les délégations politiques n'ont pas le droit de rentrer à Gaza», contrairement aux délégations humanitaires et diplomatiques.
Visite à Bethléem
Un responsable militaire israélien a affirmé ne pas être au courant du cas spécifique de Besancenot et de sa délégation indiquant que «pour obtenir l'autorisation d'entrer à Gaza une demande doit être déposée plusieurs jours à l'avance auprès de l'armée qui décide en dernière instance». Israël maintient un blocus de ce territoire contrôlé par le Hamas, théâtre d'une opération israélienne ayant fait plus de 1.400 morts palestiniens fin 2008-début 2009.
Olivier Besancenot, qui a entamé samedi une visite en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, doit à présent se rendre dans le camp de réfugiés de Bethléem, en Cisjordanie, avant de s'entretenir avec le militant pacifiste israélien Uri Avneri, a-t-il indiqué.
«Témoigner de sa solidarité»
Le dirigeant du NPA a rencontré samedi des militants d'extrême gauche, israéliens et palestiniens, juifs et arabes, engagés «dans la lutte contre l'occupation israélienne». Il s'est entretenu dimanche à Naplouse (nord de la Cisjordanie) avec Hussein Khader, député du parti Fatah d'Abbas. Son retour en France est prévu mardi.
Le NPA avait expliqué samedi dans un communiqué que Besancenot avait pour «objectif principal de témoigner de sa solidarité (...) avec la population palestinienne et avec ceux qui, en Israël, s'opposent à la politique criminelle de leur Etat».
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