Omar Bongo, président du Gabon est mort

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La présidence gabonaise affirme que Bongo est vivant

Vu la fiabilité relative qu'on peut accorder aux informations gabonaises, on n'en sera pas sûr tant que l'on n'aura pas vu à nouveau le président Bongo sur scène...

Ils font peut-être trainer l'affaire pour des problèmes de succession ou d'héritage, qui sait ? :eek:
 
Kouchner a reçu son petit pot de vin mensuel, tout va bien à libreville !

lol oui il a fait en sorte d'être payé avant que le vieux crève.

Kouchner est vraiment ce qui se fait de PIRE en politique, pour moi c'est le summum de ce que j'exècre en politique et même humainement parlant prendre comme prétexte la famine des petits africains ou le désarroi des afghans pour légitimer ses positions individualiste et ses idées douteuses....
 
La présidence gabonaise s'insurge contre les médias français qui ont annoncé la mort d'Omar Bongo trop tôt.

ouais... il devait bouger encore :rolleyes:

en même temps il ne faut pas annoncer la mort d'un chef d'état africain trop tot, ceci pour plusieurs raisons :

il y a des dispositions à prendre pour éviter des émeutes, des coups d'états..

il faut laisser à certains le temps de faire disparaitre des documents confidentiels ou compromettants

il faut laisser à ceux dont le protecteur a disparu le temps de s'exiler

il faut aussi un peu de temps pour faire repartir les richesses non officielles du defunt, car si la mort est annoncée trop tot il y a blocage des avoirs.
 
Sarkozy rend un vibrant hommage à Bongo

Le président français, Nicolas Sarkozy, a rendu un hommage appuyé au président gabonais Omar Bongo Ondimba, décédé officiellement ce lundi à Barcelone, en Espagne.

Il a salué la mémoire d’"un grand et fidèle ami de la France", "une haute figure de l’Afrique (...) qui avait su gagner l’estime et le respect de l’ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain".

Le président français a de plus adressé sa "profonde sympathie" aux proches du président, ainsi qu’au peuple gabonais, rapporte le JDD

(Lundi 8 Juin - 19:51)
 
«L’Afrique sans la France, c’est une voiture sans chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant», disait-il à Libération en 1996.

oui sauf que la relation était beaucoup moins équilibré que cela !

les supertankers français chargeaient le petrole au large des cotes sans qu'aucun fonctionnaire de l'etat gabonais ne soit capable de contrôler et d’évaluer la production de total
Et comme cette mesure est nécessaire pour le paiement des royalties ……….bref les congolais se sont bien fait avoir
 
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